Le Royal Golf de Mohammedia a accueilli la semaine dernière (du 17 au 20 mars), la 16e édition de la Coupe Lalla Meryem de golf. Rendez-vous golfique incontournable, la Coupe Lalla Meryem qui fait partie du Ladies European Tour, a regroupé cette année des joueuses professionnelles venues des 5 continents.
Après trois jours de compétition (la journée du 17 était dédiée aux Pro-am), c'est l'Allemande Anja Monke qui a remporté la finale disputée samedi 20 mars. Avec un score de 8 coups sous le par, Anja Monke a signé au Royal Golf de Mohammedia le troisième titre de sa carrière dans le circuit européen après l'Open de France et Dubai Ladies Masters gagnés en 2008. Anja Monke était à un coup d'avance sur la Suédoise Carin Koch qui a réalisé un score total de 7 coups sous le par. La troisième place, elle, a été occupée par la Française Virginie Lagoutte-Clément qui a rendu une carte de 210 avec un score de -6 sous le par.
Un niveau très élevé des joueuses
Organisée pour la première fois au Royal Golf de Mohammedia, la Coupe Lalla Meryem, dotée d'un Prize Money de 275.000 euros, a été caractérisée cette année par un niveau très élevé des 110 joueuses qui y participaient. Maria Verchenova (Russie), Lydia Hall (pays de Galles), l'Anglaise Melissa Reid, Bettina Hauert ou encore l'Irlandaise Martina Gillen ont développé lors de ce tournoi un jeu très solide. D'ailleurs, il a fallu attendre le dernier jour de la compétition pour connaître le nom de la gagnante vu la concurrence acharnée qui a eu lieu entre certaines joueuses.
Ainsi, lors du premier tour, la Russe Maria Verchenova a pris le meilleur départ avec une carte de 67. Grâce à un jeu très précis, la jeune joueuse a su attirer les regards des observateurs et des journalistes. Toutefois, Verchenova n'a pas réussi à préserver sa place de leader, puisque la Suédoise Carin Koch s'est imposée lors du deuxième tour en rendant une carte de 69. Et ce n'est qu'au dernier Tour que Anja Monke a sorti le «grand jeu», remportant ainsi le tournoi.
Une participation plus qu'honorable des proettes marocaines
Malgré une élimination précoce, les joueuses marocaines qui ont pris part à ce grand événement golfique, en l'occurrence Maha Haddioui et Mounia Amalou Sayah, ont fait preuve d'opiniâtreté et de volonté. En effet, la Coupe Lalla Meryem a été une occasion pour nos deux championnes de côtoyer des joueuses de renommée internationale. La participation à ce prestigieux tournoi a permis indubitablement à nos joueuses d'acquérir de l'expérience et surtout envisager l'avenir avec beaucoup de sérénité.
Par ailleurs, la ville de Mohammedia qui a abrité pour la première fois cette manifestation peut se targuer d'avoir réussi ce pari. Outre la valorisation de son Royal golf (parmi les plus anciens au Maroc), la ville des roses bénéficiera certainement des retombées touristiques de l'événement très médiatisé cette année. Il faut signaler en effet que l'objectif principal de l'Association du Trophée Hassan II de Golf, présidée par S.A.R. le Prince Moulay Rachid, est de faire du Maroc une destination du tourisme golfique. La réussite de la Coupe Lalla Meryem ainsi que du Trophée Hassan II qui a eu lieu à Royal Dar Essalam à Rabat ne peut que contribuer à la réalisation de cet objectif.
Après trois jours de compétition (la journée du 17 était dédiée aux Pro-am), c'est l'Allemande Anja Monke qui a remporté la finale disputée samedi 20 mars. Avec un score de 8 coups sous le par, Anja Monke a signé au Royal Golf de Mohammedia le troisième titre de sa carrière dans le circuit européen après l'Open de France et Dubai Ladies Masters gagnés en 2008. Anja Monke était à un coup d'avance sur la Suédoise Carin Koch qui a réalisé un score total de 7 coups sous le par. La troisième place, elle, a été occupée par la Française Virginie Lagoutte-Clément qui a rendu une carte de 210 avec un score de -6 sous le par.
Un niveau très élevé des joueuses
Organisée pour la première fois au Royal Golf de Mohammedia, la Coupe Lalla Meryem, dotée d'un Prize Money de 275.000 euros, a été caractérisée cette année par un niveau très élevé des 110 joueuses qui y participaient. Maria Verchenova (Russie), Lydia Hall (pays de Galles), l'Anglaise Melissa Reid, Bettina Hauert ou encore l'Irlandaise Martina Gillen ont développé lors de ce tournoi un jeu très solide. D'ailleurs, il a fallu attendre le dernier jour de la compétition pour connaître le nom de la gagnante vu la concurrence acharnée qui a eu lieu entre certaines joueuses.
Ainsi, lors du premier tour, la Russe Maria Verchenova a pris le meilleur départ avec une carte de 67. Grâce à un jeu très précis, la jeune joueuse a su attirer les regards des observateurs et des journalistes. Toutefois, Verchenova n'a pas réussi à préserver sa place de leader, puisque la Suédoise Carin Koch s'est imposée lors du deuxième tour en rendant une carte de 69. Et ce n'est qu'au dernier Tour que Anja Monke a sorti le «grand jeu», remportant ainsi le tournoi.
Une participation plus qu'honorable des proettes marocaines
Malgré une élimination précoce, les joueuses marocaines qui ont pris part à ce grand événement golfique, en l'occurrence Maha Haddioui et Mounia Amalou Sayah, ont fait preuve d'opiniâtreté et de volonté. En effet, la Coupe Lalla Meryem a été une occasion pour nos deux championnes de côtoyer des joueuses de renommée internationale. La participation à ce prestigieux tournoi a permis indubitablement à nos joueuses d'acquérir de l'expérience et surtout envisager l'avenir avec beaucoup de sérénité.
Par ailleurs, la ville de Mohammedia qui a abrité pour la première fois cette manifestation peut se targuer d'avoir réussi ce pari. Outre la valorisation de son Royal golf (parmi les plus anciens au Maroc), la ville des roses bénéficiera certainement des retombées touristiques de l'événement très médiatisé cette année. Il faut signaler en effet que l'objectif principal de l'Association du Trophée Hassan II de Golf, présidée par S.A.R. le Prince Moulay Rachid, est de faire du Maroc une destination du tourisme golfique. La réussite de la Coupe Lalla Meryem ainsi que du Trophée Hassan II qui a eu lieu à Royal Dar Essalam à Rabat ne peut que contribuer à la réalisation de cet objectif.
