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"Et pour cause! Ce buteur hors pair n'a pas tardé à faire vibrer le stade El Abdi par ses splendides réalisations qui en ont fait la terreur des défenses au grand plaisir des supporters doukkalis. A l'instar de Simon Arnaud au Chabab Rif d'Al Hoceima ou de Fabrice Ondama du Wydad, ce talentueux buteur est l'un des rares joueurs étrangers à avoir apporté un plus à notre championnat depuis le célèbre Moussa Ndaw. En effet, depuis la fin de carrière de l'ex-coéquipier de Fakhreddine, l'on a vu défiler de nombreux joueurs africains sans aucune véritable valeur ajoutée pour notre football.
Karl Max est, lui, un bohémien et un philosophe du ballon rond :«Pour moi, le football est un jeu sans plus. Je le pratique par plaisir, le plus simplement du monde, sans chercher à me compliquer la vie. Il y a certains footballeurs qui, au lieu de jouer sans fioritures et mettre le ballon au fond des filets, donnent une passe décisive à un coéquipier, trouvent le moyen d'en rajouter et de se perdre dans un jeu plein de déchets», se plaît à souligner ce footballeur longiligne du haut de son 1m88.
Le jeune tchadien, qui se plaît énormément dans la paisible ville d'El Jadida, explique son arrivée dans la cité où ont vu le jour les Baba, Wazir, Krimau, Samam, El Abdi, Bouatra et autres Spagna, Moubarik Cherif et Chicha. «Grâce à mon agent, j'ai pris contact avec les dirigeants du Difaâ et j'ai ainsi signé un contrat de 3 ans qui prendra fin le 30 juin 2014. Et je pense sincèrement que j'ai fait le bon choix dans une cité où il fait bon vivre et où les gens me témoignent respect et affection ; ce que j'essaie de leur rendre en les comblant par mes buts», poursuit K. Max.
Danny (c'est son petit prénom !) a commencé dès son jeune âge à taper dans un ballon au lycée avant de signer au club Tourbillon du Tchad puis de porter les couleurs de Coton Sport de Garoua. Par la suite, il rejoindra l'équipe Missile FC du Gabon.
En 2007, Karl Max avait été testé par le club français FC Monaco mais les négociations n'ayant pas abouti, il a rejoint Coton Sport au Cameroun. Par ailleurs, ce jeune attaquant pétri de qualités a reçu des offres émanant du Golfe, mais faute de passeport, il n'a pu rejoindre un club de Dubai qui sollicitait ardemment ses services. La Jeunesse Sportive de Kabylie l'avait également contacté mais le club algérien s'est heurté au refus des dirigeants de Karl Max qui estimaient que l'offre financière de la JSK n'était pas à la hauteur de la valeur de leur joueur.
Karl Max, philosophe, croit au destin. «Il était écrit quelque part que j'atterrirais dans cette belle cité balnéaire, fief de légendaires footballeurs, m'a-t-on dit. Maintenant que je suis là, je donnerai le meilleur de moi-même, car toutes les conditions pour m'épanouir y existent. Mon entraîneur, mes coéquipiers et mes dirigeants font tout pour que je m'intègre, et je m'emploierai à ne pas les décevoir», conclut-il Attention donc, on n'a pas encore fini de parler de Karl et de ses buts. Les défenseurs n'ont qu'à bien se tenir, car ce canonnier venu du Tchad ne fait que commencer son baroud d'honneur.
Concernant l'équipe qu'il admire au Maroc, Karl Max esquisse un sourire et dit:
«Le Difaâ bien entendu. Puis le Raja qui pratique un jeu académique et qui me plaît énormément. Mais le 10-1 que les Verts ont infligé à mon ancienne équipe Tourbillon m'est resté en travers de la gorge»."
Karl Max est, lui, un bohémien et un philosophe du ballon rond :«Pour moi, le football est un jeu sans plus. Je le pratique par plaisir, le plus simplement du monde, sans chercher à me compliquer la vie. Il y a certains footballeurs qui, au lieu de jouer sans fioritures et mettre le ballon au fond des filets, donnent une passe décisive à un coéquipier, trouvent le moyen d'en rajouter et de se perdre dans un jeu plein de déchets», se plaît à souligner ce footballeur longiligne du haut de son 1m88.
Le jeune tchadien, qui se plaît énormément dans la paisible ville d'El Jadida, explique son arrivée dans la cité où ont vu le jour les Baba, Wazir, Krimau, Samam, El Abdi, Bouatra et autres Spagna, Moubarik Cherif et Chicha. «Grâce à mon agent, j'ai pris contact avec les dirigeants du Difaâ et j'ai ainsi signé un contrat de 3 ans qui prendra fin le 30 juin 2014. Et je pense sincèrement que j'ai fait le bon choix dans une cité où il fait bon vivre et où les gens me témoignent respect et affection ; ce que j'essaie de leur rendre en les comblant par mes buts», poursuit K. Max.
Danny (c'est son petit prénom !) a commencé dès son jeune âge à taper dans un ballon au lycée avant de signer au club Tourbillon du Tchad puis de porter les couleurs de Coton Sport de Garoua. Par la suite, il rejoindra l'équipe Missile FC du Gabon.
En 2007, Karl Max avait été testé par le club français FC Monaco mais les négociations n'ayant pas abouti, il a rejoint Coton Sport au Cameroun. Par ailleurs, ce jeune attaquant pétri de qualités a reçu des offres émanant du Golfe, mais faute de passeport, il n'a pu rejoindre un club de Dubai qui sollicitait ardemment ses services. La Jeunesse Sportive de Kabylie l'avait également contacté mais le club algérien s'est heurté au refus des dirigeants de Karl Max qui estimaient que l'offre financière de la JSK n'était pas à la hauteur de la valeur de leur joueur.
Karl Max, philosophe, croit au destin. «Il était écrit quelque part que j'atterrirais dans cette belle cité balnéaire, fief de légendaires footballeurs, m'a-t-on dit. Maintenant que je suis là, je donnerai le meilleur de moi-même, car toutes les conditions pour m'épanouir y existent. Mon entraîneur, mes coéquipiers et mes dirigeants font tout pour que je m'intègre, et je m'emploierai à ne pas les décevoir», conclut-il Attention donc, on n'a pas encore fini de parler de Karl et de ses buts. Les défenseurs n'ont qu'à bien se tenir, car ce canonnier venu du Tchad ne fait que commencer son baroud d'honneur.
Concernant l'équipe qu'il admire au Maroc, Karl Max esquisse un sourire et dit:
«Le Difaâ bien entendu. Puis le Raja qui pratique un jeu académique et qui me plaît énormément. Mais le 10-1 que les Verts ont infligé à mon ancienne équipe Tourbillon m'est resté en travers de la gorge»."
