Connexion
En grande difficulté depuis le début de la saison, le KAC de Kénitra a traversé une fin d'année mouvementée. Après un changement d'entraîneur et un remaniement au niveau des joueurs, l'équipe fanion du Gharb au palmarès éloquent (Coupe du Trône et championnat du Maroc) connaît depuis deux saisons une période creuse, voire même très pénible.
La saison dernière, le représentant de Kénitra cher à la famille Doumou, n'a tenu sa place en Division d'Elite 1 que grâce à une rapide réaction d'orgueil dans les ultimes journées du Championnat. En effet, chez les équipes menacées de relégation, le KAC a eu la chance de demeurer parmi l'élite en glanant de précieux points, notamment à l'IZK et à l'ASS. Ces derniers ont filé droit vers la deuxième Division. Comme d'habitude, c'est l'entraîneur Oscar Fullone qui a fourni un travail de titan pour sauver l'équipe des affres de la relégation. Sans oublier des dirigeants dévoués qui n'ont ménagé aucun effort pour soutenir leur équipe et lui permettre d'oublier une année cauchemardesque… Lors de la nouvelle saison, on espérait que le KAC, avec la même équipe dirigeante, allait se donner les moyens de ses ambitions pour oublier l'insipide saison dernière et celle qui l'a précédée.
Il n'en fut rien puisque l'équipe continue à manger son pain noir malgré les bonnes volontés de ses dirigeants et le soutien inconditionnel de ses fidèles supporters.
D'abord la malchance a démarré avec l'entame de la saison, car l'équipe a fait un départ raté. Des défaites, des matches nuls et de rares victoires qui ont créé de sérieuses préoccupations aux dirigeants kénitréens. A cela s'ajoute un climat de tension au sein du club. Devant cette situation, les mauvais résultats aidant, l'entraîneur Oscar Fullone décide de mettre fin à sa fonction. Mais une autre version dit le contraire : c'est le comité qui aurait pris la décision de limoger le technicien argentin. Toujours est-il que le KAC, avec ou sans Oscar, n'est pas sorti de la crise.
Après le départ d'Oscar, la responsabilité de l'équipe a été confiée à Abdelkhalek Louzani, un technicien connu et reconnu de tous. Il a été engagé pour une période déterminée jusqu'à la fin de la saison.
Louzani a disputé son premier match du championnat dimanche face au WAC et il a la confiance totale des Kénitréens (dirigeants, joueurs et supporters). Un seul objectif : le maintien.
Pour le réaliser, il reste à l'entraîneur quatorze journées de matches. C'est jouable. Et puis, les places en bas du tableau sont si serrées qu'il suffit d'une victoire de l'une et de la défaite de l'autre mal classée pour que la situation change du tout au tout… Les écarts en effet ne sont pas excessifs. C'est pour cela que le KAC doit impérativement gagner des points, aussi bien à domicile qu'à l'extérieur. Le travail que Abdelkhalek Louzani a entrepris avec détermination et beaucoup de volonté devrait se concrétiser par de bons résultats. Le coach du club s'évertue donc à chercher de nouvelles solutions pour stopper l'hémorragie. Car depuis le début de la saison, le bilan comptable est épouvantable : deux victoires seulement lors des quinze premières rencontres !
Louzani attend «une réaction d'orgueil» de la part de ses protégés comme celle enregistrée lors de la onzième journée (2-1) face au Hassania d'Agadir. Tous les sportifs kénitréens souhaitent que les joueurs montrent et démontrent que tout ce qui a été dit sur eux pendant des mois n'est pas vrai. La position du KAC lui impose de faire plus que durant les six premiers mois. En clair, pendant les matches aller du Championnat. Cela vaut pour tous, y compris pour l'entraîneur. Car cela doit nécessairement passer par le collectif.
Et malgré le départ de certains joueurs, dont Barbache, le KAC dispose encore de jeunes éléments qui ont de l'enthousiasme et possèdent l'étoffe pour s'en sortir. Il a débuté le semestre le plus important de sa carrière. Une descente serait catastrophique pour un des clubs les plus prestigieux du football marocain. Les dirigeants kénitréens le savent. L'idéal serait de faire une belle série tout de suite. Pour mieux se replacer et pour se mettre hors du danger de la relégation, il faudra gagner des matches, se montrer impitoyable. L'avenir de tout un club en dépend ! Faisons confiance à Abdelkhalek Louzani qui sait négocier les virages les plus dangereux.
La saison dernière, le représentant de Kénitra cher à la famille Doumou, n'a tenu sa place en Division d'Elite 1 que grâce à une rapide réaction d'orgueil dans les ultimes journées du Championnat. En effet, chez les équipes menacées de relégation, le KAC a eu la chance de demeurer parmi l'élite en glanant de précieux points, notamment à l'IZK et à l'ASS. Ces derniers ont filé droit vers la deuxième Division. Comme d'habitude, c'est l'entraîneur Oscar Fullone qui a fourni un travail de titan pour sauver l'équipe des affres de la relégation. Sans oublier des dirigeants dévoués qui n'ont ménagé aucun effort pour soutenir leur équipe et lui permettre d'oublier une année cauchemardesque… Lors de la nouvelle saison, on espérait que le KAC, avec la même équipe dirigeante, allait se donner les moyens de ses ambitions pour oublier l'insipide saison dernière et celle qui l'a précédée.
Il n'en fut rien puisque l'équipe continue à manger son pain noir malgré les bonnes volontés de ses dirigeants et le soutien inconditionnel de ses fidèles supporters.
D'abord la malchance a démarré avec l'entame de la saison, car l'équipe a fait un départ raté. Des défaites, des matches nuls et de rares victoires qui ont créé de sérieuses préoccupations aux dirigeants kénitréens. A cela s'ajoute un climat de tension au sein du club. Devant cette situation, les mauvais résultats aidant, l'entraîneur Oscar Fullone décide de mettre fin à sa fonction. Mais une autre version dit le contraire : c'est le comité qui aurait pris la décision de limoger le technicien argentin. Toujours est-il que le KAC, avec ou sans Oscar, n'est pas sorti de la crise.
Après le départ d'Oscar, la responsabilité de l'équipe a été confiée à Abdelkhalek Louzani, un technicien connu et reconnu de tous. Il a été engagé pour une période déterminée jusqu'à la fin de la saison.
Louzani a disputé son premier match du championnat dimanche face au WAC et il a la confiance totale des Kénitréens (dirigeants, joueurs et supporters). Un seul objectif : le maintien.
Pour le réaliser, il reste à l'entraîneur quatorze journées de matches. C'est jouable. Et puis, les places en bas du tableau sont si serrées qu'il suffit d'une victoire de l'une et de la défaite de l'autre mal classée pour que la situation change du tout au tout… Les écarts en effet ne sont pas excessifs. C'est pour cela que le KAC doit impérativement gagner des points, aussi bien à domicile qu'à l'extérieur. Le travail que Abdelkhalek Louzani a entrepris avec détermination et beaucoup de volonté devrait se concrétiser par de bons résultats. Le coach du club s'évertue donc à chercher de nouvelles solutions pour stopper l'hémorragie. Car depuis le début de la saison, le bilan comptable est épouvantable : deux victoires seulement lors des quinze premières rencontres !
Louzani attend «une réaction d'orgueil» de la part de ses protégés comme celle enregistrée lors de la onzième journée (2-1) face au Hassania d'Agadir. Tous les sportifs kénitréens souhaitent que les joueurs montrent et démontrent que tout ce qui a été dit sur eux pendant des mois n'est pas vrai. La position du KAC lui impose de faire plus que durant les six premiers mois. En clair, pendant les matches aller du Championnat. Cela vaut pour tous, y compris pour l'entraîneur. Car cela doit nécessairement passer par le collectif.
Et malgré le départ de certains joueurs, dont Barbache, le KAC dispose encore de jeunes éléments qui ont de l'enthousiasme et possèdent l'étoffe pour s'en sortir. Il a débuté le semestre le plus important de sa carrière. Une descente serait catastrophique pour un des clubs les plus prestigieux du football marocain. Les dirigeants kénitréens le savent. L'idéal serait de faire une belle série tout de suite. Pour mieux se replacer et pour se mettre hors du danger de la relégation, il faudra gagner des matches, se montrer impitoyable. L'avenir de tout un club en dépend ! Faisons confiance à Abdelkhalek Louzani qui sait négocier les virages les plus dangereux.
