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Selon les experts de la FAO, la gestion de l’eau souffre de plusieurs incohérences

Absence d’un cadre budgétaire stratégique fonctionnel, asymétrie entre les besoins de contrôle de prélèvement d’eau et les moyens des agences des bassins hydrauliques, promotion de l’industrie et du tourisme dans des zones à stress hydrique… Sont parmi les incohérences dans la gestion de l’eau relevées par le diagnostic établi par le programme «agriculture et alimentation durable » initié par la FAO en 2015. Un premier constat a été dévoilé hier à Rabat. Parmi les mesures prises par le Maroc pour sécuriser ses ressources en eau, Hasnaoui Moulay Driss, chef de la division des ressources en eau au Secrétariat d'Etat chargé de l'eau a évoqué la loi sur l'eau, adoptée en 2016 et qui a introduit des réformes visant la valorisation des ressources hydriques.

Absence d’un cadre budgétaire stratégique fonctionnel, asymétrie entre les besoins de contrôle de prélèvement d’eau et les moyens des agences des bassins hydrauliques, promotion de l’industrie et du tourisme dans des zones à stress hydrique… Sont parmi les incohérences dans la gestion de l’eau relevées par le diagnostic établi par le programme «agriculture et alimentation durable » initié par la FAO en 2015. Un premier constat a été dévoilé hier à Rabat. Parmi les mesures prises par le Maroc pour sécuriser ses ressources en eau, Hasnaoui Moulay Driss, chef de la division des ressources en eau au Secrétariat d'Etat chargé de l'eau a évoqué la loi sur l'eau, adoptée en 2016 et qui a introduit des réformes visant la valorisation des ressources hydriques.
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