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Le Maroc fait face à un grave déficit en santé mentale, avec seulement 1,13 psychiatre pour 100.000 habitants et des infrastructures insuffisantes et mal réparties. Près de la moitié des préfectures et provinces n’ont pas d’établissements spécialisés et les capacités d’accueil sont concentrées à Casablanca-Settat et Marrakech-Safi. La Cour des comptes met en garde contre les conséquences sociales et économiques d’un tel manque d’attention à la santé mentale.
Santé mentale au Maroc : La Cour des comptes tire la sonnette d'alarme
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16 Décembre 2024
À 19:24
