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Casablanca a accueilli, le mercredi 19 novembre courant, l’inauguration de la première Africa EV Mobility Expo, un nouveau rendez-vous consacré à la mobilité électrique sur le continent. Nous étions présents à Anfa Park pour suivre l’ouverture officielle, marquée par la participation du ministère de l’Industrie et du Commerce, de l’AMICA (Association marocaine pour l’industrie et le commerce de l’automobile) et du partenaire chinois MIE Events. L’événement pose les bases d’une plateforme africaine qui veut rapprocher industriels, investisseurs et technologies autour de la transition électrique.
Dès la cérémonie d’ouverture, le ministre de l’Industrie et du commerce, Ryad Mezzour, a rappelé le poids du partenariat stratégique entre le Maroc et la Chine. Un partenariat lancé en 2016, lors de la Visite Royale à Pékin, et qui n’a cessé de se renforcer au fil des projets industriels. Pour lui, ce salon reflète cette dynamique : la Chine reste un partenaire clé dans la montée en puissance de la filière automobile marocaine et dans le développement de toute la chaîne de valeur des batteries.
Sur scène, le ministre a salué la présence massive des industriels chinois. Leurs stands montrent des technologies, des prototypes et des solutions déjà éprouvées sur d’autres marchés. Il a insisté sur leur rôle dans la progression du secteur au Maroc, rappelant que le pays dispose aujourd’hui d’une capacité d’un million de véhicules produits chaque année, en plus de 400.000 à 500.000 deux-roues et trois-roues. Un volume qui exprime une réelle maturité industrielle. Cette année, les ventes devraient d’ailleurs atteindre entre 180.000 et 200.000 véhicules, confirmant une demande solide.
L’intervention du ministre a aussi porté sur la transformation profonde en cours. Les technologies évoluent. Les besoins changent. Les investissements s’accélèrent. Selon lui, la réussite passera par une compréhension commune et un modèle de collaboration équilibré entre industriels marocains et partenaires étrangers. Le travail déjà engagé sur les batteries électriques en est un exemple. Les projets conjoints montrent que ce type d’alliance peut générer des résultats rapides et concrets.
À Anfa Park, l’atmosphère reflète cette idée. Les stands affichent des solutions variées : véhicules électriques urbains, utilitaires légers, scooters, batteries, systèmes de charge, composants électroniques. Les exposants cherchent des partenaires. Les visiteurs viennent découvrir des technologies encore peu visibles sur le marché local. Le salon devient ainsi un point de rencontre et un terrain d’échanges pour les industriels africains intéressés par la transition électrique.
En marge de l’inauguration, le ministre a insisté sur la nouvelle génération d’entrepreneurs marocains qui monte en puissance. Il a évoqué des profils capables d’interagir avec les industriels étrangers, de comprendre les enjeux technologiques et de s’inscrire dans une dynamique de collaboration. L’objectif est clair : créer de la valeur, de l’emploi et préparer un écosystème qui avance au même rythme que les marchés mondiaux.
L’Africa EV Mobility Expo démarre donc avec une ambition forte : devenir la principale plateforme africaine dédiée à la mobilité propre. Casablanca s’affirme comme le point d’ancrage de cette dynamique. Le salon ouvre une porte vers de futurs partenariats, vers des synergies régionales et vers une transition énergétique qui s’étend désormais à tout le continent. Il s’agit d’un rendez-vous qui veut s’inscrire dans la durée et accompagner une étape clé pour la mobilité africaine.
Dès la cérémonie d’ouverture, le ministre de l’Industrie et du commerce, Ryad Mezzour, a rappelé le poids du partenariat stratégique entre le Maroc et la Chine. Un partenariat lancé en 2016, lors de la Visite Royale à Pékin, et qui n’a cessé de se renforcer au fil des projets industriels. Pour lui, ce salon reflète cette dynamique : la Chine reste un partenaire clé dans la montée en puissance de la filière automobile marocaine et dans le développement de toute la chaîne de valeur des batteries.
Sur scène, le ministre a salué la présence massive des industriels chinois. Leurs stands montrent des technologies, des prototypes et des solutions déjà éprouvées sur d’autres marchés. Il a insisté sur leur rôle dans la progression du secteur au Maroc, rappelant que le pays dispose aujourd’hui d’une capacité d’un million de véhicules produits chaque année, en plus de 400.000 à 500.000 deux-roues et trois-roues. Un volume qui exprime une réelle maturité industrielle. Cette année, les ventes devraient d’ailleurs atteindre entre 180.000 et 200.000 véhicules, confirmant une demande solide.
L’intervention du ministre a aussi porté sur la transformation profonde en cours. Les technologies évoluent. Les besoins changent. Les investissements s’accélèrent. Selon lui, la réussite passera par une compréhension commune et un modèle de collaboration équilibré entre industriels marocains et partenaires étrangers. Le travail déjà engagé sur les batteries électriques en est un exemple. Les projets conjoints montrent que ce type d’alliance peut générer des résultats rapides et concrets.
À Anfa Park, l’atmosphère reflète cette idée. Les stands affichent des solutions variées : véhicules électriques urbains, utilitaires légers, scooters, batteries, systèmes de charge, composants électroniques. Les exposants cherchent des partenaires. Les visiteurs viennent découvrir des technologies encore peu visibles sur le marché local. Le salon devient ainsi un point de rencontre et un terrain d’échanges pour les industriels africains intéressés par la transition électrique.
En marge de l’inauguration, le ministre a insisté sur la nouvelle génération d’entrepreneurs marocains qui monte en puissance. Il a évoqué des profils capables d’interagir avec les industriels étrangers, de comprendre les enjeux technologiques et de s’inscrire dans une dynamique de collaboration. L’objectif est clair : créer de la valeur, de l’emploi et préparer un écosystème qui avance au même rythme que les marchés mondiaux.
L’Africa EV Mobility Expo démarre donc avec une ambition forte : devenir la principale plateforme africaine dédiée à la mobilité propre. Casablanca s’affirme comme le point d’ancrage de cette dynamique. Le salon ouvre une porte vers de futurs partenariats, vers des synergies régionales et vers une transition énergétique qui s’étend désormais à tout le continent. Il s’agit d’un rendez-vous qui veut s’inscrire dans la durée et accompagner une étape clé pour la mobilité africaine.
