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À mesure que janvier se rapproche, une interrogation revient dans les discussions du secteur automobile marocain. Qui succédera au Volkswagen Tiguan ? Et surtout, à quoi ressemblera la prochaine Voiture de l’Année au Maroc ? Sans annonce officielle à ce stade, le Car Of The Year Morocco 2026 s’impose déjà comme un sujet de réflexion, tant le contexte du marché a évolué en peu de temps. Le COTY Morocco, organisé par l’Association des Importateurs de Véhicules Automobiles au Maroc (AIVAM), s’est progressivement installé comme un indicateur des tendances du marché national. Chaque année, le modèle élu reflète, au-delà de ses qualités propres, les attentes des consommateurs et les orientations prises par les constructeurs présents au Maroc.
Les deux dernières éditions donnent des éléments de lecture intéressants. En 2024, le titre avait été attribué au Renault Arkana, premier SUV coupé de la marque au losange, proposé exclusivement en motorisation hybride. Un choix qui avait mis en lumière la montée en puissance des technologies électrifiées dans l’offre locale. En 2025, le Volkswagen Tiguan avait pris le relais, confirmant l’attrait persistant pour les SUV, tout en valorisant un modèle reconnu pour son équilibre global, son confort et son niveau technologique.
Deux SUV consécutifs au palmarès. Deux modèles issus de constructeurs européens bien établis. De quoi alimenter les interrogations à l’approche de l’édition 2026. Le scénario va-t-il se répéter ? Ou le jury pourrait-il surprendre cette fois-ci ? Le marché automobile marocain n’est plus celui d’il y a deux ou trois ans. Avec plus de 54 marques commercialisées et plus de 300 modèles disponibles, l’offre s’est densifiée à un rythme inédit. De nouveaux acteurs, notamment chinois, occupent désormais une place visible et active. Certains proposent des véhicules électriques ou hybrides technologiquement avancés, à des niveaux de prix compétitifs.
Dans ce contexte, plusieurs questions restent ouvertes. Le futur lauréat sera-t-il à nouveau un SUV, ou un autre segment pourrait-il enfin s’imposer ? Le palmarès restera-t-il fidèle au diesel, comme en 2025 avec le Tiguan, basculera-t-il à nouveau vers l’hybride, comme en 2024 avec l’Arkana, ou verra-t-on, cette fois, un modèle 100% électrique s’imposer au sommet du classement ? Une marque chinoise pourrait-elle, pour la première fois, franchir ce cap symbolique et s’imposer face aux constructeurs historiques ?
Autre inconnue majeure : la sélection des modèles éligibles. Entre renouvellements de gammes, lancements récents et nouvelles générations attendues, la liste des prétendants potentiels s’annonce particulièrement large, renforçant l’incertitude autour du verdict final.
À quelques jours du traditionnel rendez-vous de janvier, le COTY Morocco 2026 reste donc entouré de points d’interrogation. Des questions qui traduisent, avant tout, la transformation rapide et profonde du marché automobile marocain et la difficulté croissante de désigner un modèle capable de faire l’unanimité.
Les deux dernières éditions donnent des éléments de lecture intéressants. En 2024, le titre avait été attribué au Renault Arkana, premier SUV coupé de la marque au losange, proposé exclusivement en motorisation hybride. Un choix qui avait mis en lumière la montée en puissance des technologies électrifiées dans l’offre locale. En 2025, le Volkswagen Tiguan avait pris le relais, confirmant l’attrait persistant pour les SUV, tout en valorisant un modèle reconnu pour son équilibre global, son confort et son niveau technologique.
Deux SUV consécutifs au palmarès. Deux modèles issus de constructeurs européens bien établis. De quoi alimenter les interrogations à l’approche de l’édition 2026. Le scénario va-t-il se répéter ? Ou le jury pourrait-il surprendre cette fois-ci ? Le marché automobile marocain n’est plus celui d’il y a deux ou trois ans. Avec plus de 54 marques commercialisées et plus de 300 modèles disponibles, l’offre s’est densifiée à un rythme inédit. De nouveaux acteurs, notamment chinois, occupent désormais une place visible et active. Certains proposent des véhicules électriques ou hybrides technologiquement avancés, à des niveaux de prix compétitifs.
Dans ce contexte, plusieurs questions restent ouvertes. Le futur lauréat sera-t-il à nouveau un SUV, ou un autre segment pourrait-il enfin s’imposer ? Le palmarès restera-t-il fidèle au diesel, comme en 2025 avec le Tiguan, basculera-t-il à nouveau vers l’hybride, comme en 2024 avec l’Arkana, ou verra-t-on, cette fois, un modèle 100% électrique s’imposer au sommet du classement ? Une marque chinoise pourrait-elle, pour la première fois, franchir ce cap symbolique et s’imposer face aux constructeurs historiques ?
Autre inconnue majeure : la sélection des modèles éligibles. Entre renouvellements de gammes, lancements récents et nouvelles générations attendues, la liste des prétendants potentiels s’annonce particulièrement large, renforçant l’incertitude autour du verdict final.
À quelques jours du traditionnel rendez-vous de janvier, le COTY Morocco 2026 reste donc entouré de points d’interrogation. Des questions qui traduisent, avant tout, la transformation rapide et profonde du marché automobile marocain et la difficulté croissante de désigner un modèle capable de faire l’unanimité.
