Volkswagen a entamé la production en série du Tayron, un nouveau SUV positionné juste en dessous du Touareg, au sein de son usine emblématique de Wolfsburg. Cet ajout marque une étape importante pour le constructeur allemand, qui mise sur ce modèle pour renforcer sa gamme européenne et répondre aux attentes d’un marché en quête de véhicules polyvalents et électrifiés.
>> Lire aussi : Nouveau lifting de la Volkswagen Golf 8
La chaîne de montage de Wolfsburg, déjà occupée par des modèles phares comme la Golf, le Tiguan et le Touran, accueille désormais le Tayron, un SUV proposé en version cinq ou sept places. Ce lancement a mobilisé des équipes issues de multiples disciplines, un effort collectif salué par Uwe Schwartz, directeur de l’usine. Selon lui, la réussite de cette opération réside dans une collaboration fluide entre les différents départements, notamment les achats et le développement technique.
Christian Vollmer, membre du directoire en charge de la production, souligne l’importance stratégique de ce lancement : «Wolfsburg reste un modèle pour notre réseau de production, et l’intégration réussie du Tayron envoie un signal fort». Un défi supplémentaire consistait à insérer ce nouveau modèle sur la chaîne de montage 4, tout en maintenant la production du Tiguan.
Le Tayron, dont les premières unités sont destinées aux showrooms européens pour mars prochain, propose une offre moteur diversifiée, incluant deux versions hybrides rechargeables capables de parcourir plus de 100 km en mode électrique et offrant une autonomie totale de 850 km.
Le premier exemplaire produit, une version Ultra Violet Metallic équipée d’un moteur TDI 2.0 litres, reflète un équilibre entre modernité et continuité. Volkswagen semble avoir pris soin de ne pas brusquer sa clientèle traditionnelle tout en préparant l’avenir. Ce positionnement est prudent, mais pertinent face à la montée en puissance des SUV électrifiés sur le marché européen.
Si le Tayron n’a pas la vocation de révolutionner le segment, il complète judicieusement la gamme de Volkswagen et pourrait devenir un pilier stratégique, particulièrement en Europe. La polyvalence de ses configurations, combinée à une production optimisée dans un site historique comme Wolfsburg, est un atout indéniable. Reste à voir si ce nouveau venu saura s’imposer face à une concurrence de plus en plus affûtée dans la catégorie des SUV familiaux.
Avec son lancement progressif et une gamme moteur adaptée aux différentes attentes, le Tayron s’inscrit dans la continuité des modèles à succès de Volkswagen, tout en préparant le terrain pour une transition énergétique incontournable.
>> Lire aussi : Nouveau lifting de la Volkswagen Golf 8
La chaîne de montage de Wolfsburg, déjà occupée par des modèles phares comme la Golf, le Tiguan et le Touran, accueille désormais le Tayron, un SUV proposé en version cinq ou sept places. Ce lancement a mobilisé des équipes issues de multiples disciplines, un effort collectif salué par Uwe Schwartz, directeur de l’usine. Selon lui, la réussite de cette opération réside dans une collaboration fluide entre les différents départements, notamment les achats et le développement technique.
Christian Vollmer, membre du directoire en charge de la production, souligne l’importance stratégique de ce lancement : «Wolfsburg reste un modèle pour notre réseau de production, et l’intégration réussie du Tayron envoie un signal fort». Un défi supplémentaire consistait à insérer ce nouveau modèle sur la chaîne de montage 4, tout en maintenant la production du Tiguan.
Le Tayron, dont les premières unités sont destinées aux showrooms européens pour mars prochain, propose une offre moteur diversifiée, incluant deux versions hybrides rechargeables capables de parcourir plus de 100 km en mode électrique et offrant une autonomie totale de 850 km.
Le premier exemplaire produit, une version Ultra Violet Metallic équipée d’un moteur TDI 2.0 litres, reflète un équilibre entre modernité et continuité. Volkswagen semble avoir pris soin de ne pas brusquer sa clientèle traditionnelle tout en préparant l’avenir. Ce positionnement est prudent, mais pertinent face à la montée en puissance des SUV électrifiés sur le marché européen.
Si le Tayron n’a pas la vocation de révolutionner le segment, il complète judicieusement la gamme de Volkswagen et pourrait devenir un pilier stratégique, particulièrement en Europe. La polyvalence de ses configurations, combinée à une production optimisée dans un site historique comme Wolfsburg, est un atout indéniable. Reste à voir si ce nouveau venu saura s’imposer face à une concurrence de plus en plus affûtée dans la catégorie des SUV familiaux.
Avec son lancement progressif et une gamme moteur adaptée aux différentes attentes, le Tayron s’inscrit dans la continuité des modèles à succès de Volkswagen, tout en préparant le terrain pour une transition énergétique incontournable.