Le public y découvrira une collection de collages numériques post-figuratifs sur papier, dessinés à la main et assistés par l’intelligence artificielle, inspirés par les voyages d’Ibn Battuta. Cette exposition est organisée par la Fondation nationale des musées et la Fondation de la culture islamique, en collaboration avec l'ambassade d'Espagne au Maroc.
Miguel Ripoll est une figure singulière de la création numérique contemporaine. Depuis plus de deux décennies, il explore les frontières entre l’intelligence artificielle, le geste humain et la mémoire matérielle de l’art. Pionnier du dialogue homme-machine dès 1999, il a développé des méthodologies linguistiques et de programmation qui anticipaient de plusieurs décennies le discours actuel sur «L’art de l’IA». Ses premières expérimentations en codage génératif ont été exposées au Musée Reina Sofía (Madrid), à l’Académie des arts de Berlin et à l’Institut Cervantès, et figurent aujourd’hui dans des collections permanentes, comme celle du Design Museum de Barcelone.
Depuis 2021, Ripoll mêle l’intelligence artificielle (IA) et les médias numériques mixtes faits à la main dans une démarche où chaque œuvre est recomposée, éditée, puis matérialisée sur toile ou papier d’archives, avant que tous les fichiers numériques soient supprimés. Ce processus donne naissance à des objets uniques, fusionnant tradition et technologie de pointe.
Son travail, à la croisée du numérique, du théâtre et de la presse écrite, a été publié dans «Communication Arts», «Creative Review», «Computer Arts», «Prompt Magazine», «Curatory Magazine» et «PAC». Il a été interviewé par la «BBC» et «Deutsche Welle», et a fait la une de «El País», «El Mundo» et «ABC».
Diplômé summa cum laude de Goldsmiths (University of London), chercheur à UCL et ancien professeur invité à l’Université polytechnique de Valence, Miguel Ripoll a, également, donné des conférences à Columbia, Lund et à l’IESE Business School.
Polyglotte, maîtrisant cinq langues naturelles et quatre langages de programmation, il a traduit Tom Sharpe et Alan Hollinghurst pour «Anagrama», publié des essais sur l’esthétique numérique et siégé dans des jurys aux côtés de lauréats du prix Nobel.
Son approche, nourrie par un double socle technique et humaniste, s’ancre dans la tension entre la logique mécanique et le geste humain. Son retour à la création artistique à plein temps en 2023 marque l’aboutissement de décennies de recherche et l’émergence d’un langage visuel inédit, redéfinissant les préoccupations, les techniques et les matériaux de l’art contemporain.
Miguel Ripoll est une figure singulière de la création numérique contemporaine. Depuis plus de deux décennies, il explore les frontières entre l’intelligence artificielle, le geste humain et la mémoire matérielle de l’art. Pionnier du dialogue homme-machine dès 1999, il a développé des méthodologies linguistiques et de programmation qui anticipaient de plusieurs décennies le discours actuel sur «L’art de l’IA». Ses premières expérimentations en codage génératif ont été exposées au Musée Reina Sofía (Madrid), à l’Académie des arts de Berlin et à l’Institut Cervantès, et figurent aujourd’hui dans des collections permanentes, comme celle du Design Museum de Barcelone.
Depuis 2021, Ripoll mêle l’intelligence artificielle (IA) et les médias numériques mixtes faits à la main dans une démarche où chaque œuvre est recomposée, éditée, puis matérialisée sur toile ou papier d’archives, avant que tous les fichiers numériques soient supprimés. Ce processus donne naissance à des objets uniques, fusionnant tradition et technologie de pointe.
Son travail, à la croisée du numérique, du théâtre et de la presse écrite, a été publié dans «Communication Arts», «Creative Review», «Computer Arts», «Prompt Magazine», «Curatory Magazine» et «PAC». Il a été interviewé par la «BBC» et «Deutsche Welle», et a fait la une de «El País», «El Mundo» et «ABC».
Diplômé summa cum laude de Goldsmiths (University of London), chercheur à UCL et ancien professeur invité à l’Université polytechnique de Valence, Miguel Ripoll a, également, donné des conférences à Columbia, Lund et à l’IESE Business School.
Polyglotte, maîtrisant cinq langues naturelles et quatre langages de programmation, il a traduit Tom Sharpe et Alan Hollinghurst pour «Anagrama», publié des essais sur l’esthétique numérique et siégé dans des jurys aux côtés de lauréats du prix Nobel.
Son approche, nourrie par un double socle technique et humaniste, s’ancre dans la tension entre la logique mécanique et le geste humain. Son retour à la création artistique à plein temps en 2023 marque l’aboutissement de décennies de recherche et l’émergence d’un langage visuel inédit, redéfinissant les préoccupations, les techniques et les matériaux de l’art contemporain.
