La culture amazighe est le socle sur lequel repose l’identité marocaine. Et ce n’est pas étonnant de noter l’intérêt croissant des Marocains et des Marocaines pour cet héritage patrimonial, qui continue à s’épanouir à vue d’œil. De la poésie, à la chorégraphie, des symboles aux costumes, chaque expression de cette culture est porteuse de valeurs vertueuses qui ont voyagé dans le temps.
Cette richesse sera mise en lumière du 15 au 19 janvier, dans le cadre du Festival «Afous Afous», à travers une programmation diversifiée faite de performances musicales, d’expositions d’art, de rencontres littéraires, d’ateliers créatifs et de projections cinématographiques.
Cette richesse sera mise en lumière du 15 au 19 janvier, dans le cadre du Festival «Afous Afous», à travers une programmation diversifiée faite de performances musicales, d’expositions d’art, de rencontres littéraires, d’ateliers créatifs et de projections cinématographiques.
Image et son
Le Festival «Afous Afous» s’ouvre sur une note musicale captivante avec le duo Sarah et Ismaël, en soirée du 15 janvier, au Théâtre 121. Armés de leur «bendir», de leur guitare et de leurs voix envoûtantes, ces deux artistes brillent par leur réinterprétation moderne des chants amazighs. Leurs arrangements contemporains mêlant jazz, funk, soul et pop séduisent un large public au Maroc comme dans le monde. Autre moment à ne pas manquer : le 18 janvier, le jardin de l’Institut vibrera au rythme de l’Ahwach, la danse emblématique des traditions amazighes à partir de 18h
Côté arts visuels, des expositions diverses prendront place et se poursuivront jusqu’au 9 février. On y découvrira le fruit de la résidence «Regards croisés sur les atours de la femme amazighe» d’Ilham Fouwad et Cami, qui met en lumière les habits traditionnels et les savoir-faire artisanaux des tribus amazighes comme les Ayt Wawzguit et les Ida Ou-Nadif. La féminité et le tatouage berbère sont au cœur des sculptures de Aïcha Abouhaj, l'artiste multidisciplinaire casablancaise. Enfin, Ange Blanc présente une collection de costumes amazighs qui donnent un aperçu fascinant sur la diversité stylistique des régions amazighes.
Côté arts visuels, des expositions diverses prendront place et se poursuivront jusqu’au 9 février. On y découvrira le fruit de la résidence «Regards croisés sur les atours de la femme amazighe» d’Ilham Fouwad et Cami, qui met en lumière les habits traditionnels et les savoir-faire artisanaux des tribus amazighes comme les Ayt Wawzguit et les Ida Ou-Nadif. La féminité et le tatouage berbère sont au cœur des sculptures de Aïcha Abouhaj, l'artiste multidisciplinaire casablancaise. Enfin, Ange Blanc présente une collection de costumes amazighs qui donnent un aperçu fascinant sur la diversité stylistique des régions amazighes.
Rencontres et ateliers
Le Festival «Afous Afous» sera, également, l'occasion de rencontrer des experts de la culture amazighe, pour des conférences et des débats divers. L’universitaire Nadia Kaaouas présentera un exposé sur «Le patrimoine immatériel à l’ère numérique». L’auteur Hassan Fourrat explorera l’oralité et son rôle dans la transmission de la culture. Et pour les amateurs de la bande dessinée, un rendez-vous est donné avec les artistes du collectif Alkhariqun.
Le Festival sera aussi l’occasion à s’adonner à des ateliers pour adultes et jeunesses, pour explorer de plus près la richesse de la culture amazighe. Une initiation à l’alphabet et à l’écriture Tifinagh sera sonnée par Mohamed Toumi. Wafa El Gadi donnera un atelier d’écriture de contes, alors que la plasticienne Latifa En Najari offrira un atelier sur la philosophie amazighe. Un photocall Cosplay Amazigh, des jeux de société, des ateliers marionnette... Le programme créatif s’étale sur les quatre derniers jours du festival, libérant la créativité autour de la culture amazighe.
Tout au long du Festival, le marché solidaire proposera des produits d’artisanat, mettant en valeur le savoir-faire amazigh dans la confection des bijoux, du textile, des objets de décoration et des produits alimentaires : une occasion de découvrir des trésors cachés de l’artisanat marocain et de soutenir une économie locale durable.
Le Festival sera aussi l’occasion à s’adonner à des ateliers pour adultes et jeunesses, pour explorer de plus près la richesse de la culture amazighe. Une initiation à l’alphabet et à l’écriture Tifinagh sera sonnée par Mohamed Toumi. Wafa El Gadi donnera un atelier d’écriture de contes, alors que la plasticienne Latifa En Najari offrira un atelier sur la philosophie amazighe. Un photocall Cosplay Amazigh, des jeux de société, des ateliers marionnette... Le programme créatif s’étale sur les quatre derniers jours du festival, libérant la créativité autour de la culture amazighe.
Tout au long du Festival, le marché solidaire proposera des produits d’artisanat, mettant en valeur le savoir-faire amazigh dans la confection des bijoux, du textile, des objets de décoration et des produits alimentaires : une occasion de découvrir des trésors cachés de l’artisanat marocain et de soutenir une économie locale durable.