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Samedi 18 Mai 2024
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Al Aoula : Voici la programmation pour la saison 2023-2024

Une nouvelle grille de programmes se prépare pour les téléspectateurs d’Al Aoula. La chaîne promet «des nouveautés captivantes» pour la saison 2023-2024.

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En tête d'affiche, la série 100% marocaine «Ila dak l’hal». Le récit de ce drame s'inspire des réalités de la société marocaine. Programmée tous les lundis et mercredis à 21h30, cette série croise les destins de Zineb, Farah et Atiga, trois femmes en quête de liberté, de dignité et de guérison après des vies marquées par l'exploitation et la souffrance. Leur rencontre les propulse vers un avenir incertain où elles devront surmonter de nombreux défis pour retrouver leur véritable moi. Signée Mourad El Khaoudi, cette série réunit Dounia Boutazout, Aziz Hattab, Maria Nadim, Aziz Dadas, Sahar Seddiki, Noufissa Benchhida, Ghita Berrada et Farid Bouazzaoui.

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En parallèle, une nouvelle case intitulée «Cycle de cinéma» promet de réjouir les amateurs de films en diffusant une sélection de blockbusters marocains. De plus, un documentaire révélateur nommé «Waraa sitar» plongera les téléspectateurs tous les lundis à 22h30 dans les coulisses de métiers souvent méconnus. Il met en lumière les efforts, la préparation et la passion qui se cachent derrière les services et les produits que nous consommons quotidiennement. De la mer où le poisson est pêché, aux rails sur lesquels circulent les trains en passant par les studios où les animateurs radio donnent vie à leurs émissions. «Waraa Sitar» dévoile l'envers du décor. Ce voyage fascinant met en avant la détermination et le dévouement de ces professionnels, dont le travail en amont est essentiel, mais souvent méconnu du grand public. C'est un hommage vibrant et authentique à tous ceux qui œuvrent dans l'ombre pour enrichir notre quotidien.

Cette saison, Al Aoula mise sur la proximité, l'innovation et la découverte, en présentant une grille de programmes riche, diverse et renouvelée. L'offre est vaste, couvrant des domaines aussi variés que l'information, la politique, l'économie, le divertissement, la fiction, la culture et le documentaire. En parallèle du maintien des émissions populaires, de nouvelles émissions et fictions, abordant une multitude de thématiques, seront proposées pour «satisfaire les attentes variées de son auditoire».

Cycle cinéma, tous les vendredis à 21h30

• «Mica» : Un enfant issu d’un bidonville de Meknès se retrouve propulsé comme homme à tout faire dans un club de Tennis de Casablanca fréquenté par la nomenklatura marocaine. Prêt à tout pour changer son destin, il va se faire remarquer par Sophia, une ex-championne, qui va le prendre sous son aile. Ce film est réalisé par Ismaël Ferroukhi.

• «Burn out» : Dans ce film de Nour-Eddine Lakhmari, un jeune cireur de chaussures, Ayoub, I3 ans, rêve d’acheter une prothèse pour la jambe de sa mère handicapée. Un brillant jeune chef d’entreprise, Jad, 40 ans, semble tout avoir dans la vie, mais reste obsédé par l’idée de se libérer de son défunt père. M. Faridi, 55 ans, politicien, a perdu son fils dans un accident de voiture. Il essaye de combler son manque de tendresse par les services rémunérés d’une jeune femme, Aïda, 25 ans, interne des hôpitaux qui mène une double vie. C’est le récit de rencontres atypiques et inattendues où des personnes issues de milieux radicalement différents sont mises face à face décrivant ainsi la population contrastée et hétéroclite d’une grande ville.

• «Le dernier round» : Rachid, un jeune adolescent qui survit au Maroc, boxe dans des combats clandestins pour récolter l'argent nécessaire afin de payer un passeur pour l'emmener, lui et ses deux amis, Salek et «Low» vers l'autre côté du Détroit. Le voyage commence à Casablanca et se poursuit à Tanger. Là, ils embarqueront sur un bateau qui traverse la mer de nuit et fait naufrage... Ce film est réalisé par Mohamed Fekrane.

• «Le Mont Moussa» : Dans des circonstances tout à fait anodines, Marouane croise le jeune Hakim, un jeune aphasique, cloué dans un fauteuil roulant qui a choisi de vivre à l'écart du monde, seul face à ses démons intérieurs. S'immiscer dans ses univers secrets ne sera pas sans conséquences pour Marouane. Ce film est réalisé par Driss Mrini.

• «Les femmes du pavillon J» : Trois patientes et une infirmière d'un pavillon psychiatrique de Casablanca confrontent leurs souffrances et développent une amitié forte, échappant à elles-mêmes en de salutaires virées nocturnes qui les ramènent peu à peu à la vie. Une amitié forte se tisse entre ces femmes qui vont tout faire pour sortir de leur enfermement personnel et se viennent mutuellement en aide par tous les moyens possibles. Ce drame de Mohamed Nadif met le focus sur la condition féminine dans le Maroc d'aujourd'hui.

• «Achoura» : Quatre gosses jouent à se faire peur et se rendent dans une demeure condamnée, réputée maudite. L'un d'eux disparaît dans des circonstances mystérieuses. Les trois survivants refoulent le souvenir de ce qui a bien pu se passer, jusqu'à ce que Samir ressurgisse 25 ans plus tard. La bande recomposée va devoir se confronter à son passé. Ce thriller est signé Talal Selhami.

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