Un livre exceptionnel avec un style simple et captivant. Un mélange d’univers que les lecteurs découvrent au fil des séquences et des pages de ce livre qui traduit une envie apparente chez son auteur de partager une certaine façon de voir les choses. Le récit est imprégné d’une fibre humaniste très présente, de beaucoup d’amour et de force de détails qui renseignent sur les différentes vies de son auteur. «Je suis quelqu’un qui a envie de partager beaucoup de choses en ce moment même. Et C’est une course contre la montre. Je suis en train de me battre avec le temps parce que j’ai peur que le temps ne me suffise pas pour tout dire, pour tout partager, tout raconter», souligne l’auteur qui se définit comme «un raconteur d’histoires».
À l’autre bout du monde, un homme en souffrance se motive pour sauver son foyer à son retour au Maroc. À son grand désarroi, la vie a libéré d’insaisissables fantômes, déterré de mystérieux cadavres, révélé de sinistres spectres dont il ignorait l’existence. Écrasé par son destin, il part en quête d’amour de bras en bras, de ville en ville, allant de Casablanca à Kuala Lumpur, Moscou, Paris, Nairobi, Venise, Marrakech, Ouarzazate. Pour apaiser son âme, il confie à des mots sa peine, ses amours éphémères, son errance sans fin. Les phrases s’alignent, les chapitres s’enchaînent, les personnages prennent vie.
C’est un concentré d’inspirations que nous offre l’auteur pour qui ce roman constitue une rupture avec ses autres écrits. «C’est une rupture parce que, même dans ma vie, il y avait une rupture. En 2014, j’étais à Moscou pour une rencontre sur l’entrepreneuriat des jeunes dans le monde. Et je suis rentré, et il y a eu une rupture dans ma vie personnelle. Bon, ne parlons pas de soi, ça n’a pas d’importance. Mais toujours est-il que je me suis retrouvé, j’avais envie d’écrire quelque chose de fort, quelque chose de nouveau, quelque chose de différent. J’ai donc commencé cette même année et j’ai terminé l’écriture en 2022», explique l’invité. C’est cette sensibilité qui a donné naissance à un livre qui parle au cœur et à l’esprit, qui est une véritable avalanche d’émotions. La douleur et la sincérité transpirent du texte. L’auteur a eu le courage de s’être mis à nu pour traiter des sujets sensibles avec intelligence.
«Je suis comme une éponge. Je peux être avec vous, on discute, je vous écoute. Quelque temps plus tard, ce que vous avez dit va ressortir d’une certaine manière. Et dans les matériaux que je vois autour de moi, il y a moi ! Je vis des choses, comme tout le monde, dans lesquelles quelqu’un d’autre va se retrouver, peut-être. Il n’est pas question que je raconte ce qui m’est arrivé, c’est simplement raconter à travers un personnage qui est fictif des choses qui sont réelles. Et j’ai voulu, dans ce roman, prendre le lecteur et la lectrice et les emmener. Je les balade à travers le monde», souligne l’invité du Book Club «Le Matin».
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À l’autre bout du monde, un homme en souffrance se motive pour sauver son foyer à son retour au Maroc. À son grand désarroi, la vie a libéré d’insaisissables fantômes, déterré de mystérieux cadavres, révélé de sinistres spectres dont il ignorait l’existence. Écrasé par son destin, il part en quête d’amour de bras en bras, de ville en ville, allant de Casablanca à Kuala Lumpur, Moscou, Paris, Nairobi, Venise, Marrakech, Ouarzazate. Pour apaiser son âme, il confie à des mots sa peine, ses amours éphémères, son errance sans fin. Les phrases s’alignent, les chapitres s’enchaînent, les personnages prennent vie.
C’est un concentré d’inspirations que nous offre l’auteur pour qui ce roman constitue une rupture avec ses autres écrits. «C’est une rupture parce que, même dans ma vie, il y avait une rupture. En 2014, j’étais à Moscou pour une rencontre sur l’entrepreneuriat des jeunes dans le monde. Et je suis rentré, et il y a eu une rupture dans ma vie personnelle. Bon, ne parlons pas de soi, ça n’a pas d’importance. Mais toujours est-il que je me suis retrouvé, j’avais envie d’écrire quelque chose de fort, quelque chose de nouveau, quelque chose de différent. J’ai donc commencé cette même année et j’ai terminé l’écriture en 2022», explique l’invité. C’est cette sensibilité qui a donné naissance à un livre qui parle au cœur et à l’esprit, qui est une véritable avalanche d’émotions. La douleur et la sincérité transpirent du texte. L’auteur a eu le courage de s’être mis à nu pour traiter des sujets sensibles avec intelligence.
«Je suis comme une éponge. Je peux être avec vous, on discute, je vous écoute. Quelque temps plus tard, ce que vous avez dit va ressortir d’une certaine manière. Et dans les matériaux que je vois autour de moi, il y a moi ! Je vis des choses, comme tout le monde, dans lesquelles quelqu’un d’autre va se retrouver, peut-être. Il n’est pas question que je raconte ce qui m’est arrivé, c’est simplement raconter à travers un personnage qui est fictif des choses qui sont réelles. Et j’ai voulu, dans ce roman, prendre le lecteur et la lectrice et les emmener. Je les balade à travers le monde», souligne l’invité du Book Club «Le Matin».
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