La Cathédrale, l'un des bâtiments emblématiques de la métropole, a de nouveau été le théâtre d’un véritable feu d’artifice comique, avec un line-up de stars talentueux qui ont su captiver et ravir les spectateurs jusqu’à la dernière minute de ce festival organisé par l'agence Tendansia.
Asmaa El Arabi, connue pour ses sketches percutants et son humour décalé, a ouvert le bal avec une performance qui a immédiatement mis le public dans l’ambiance. Elena Nagapetyan, avec son style unique et ses anecdotes hilarantes, a suscité des éclats de rire retentissants dans toute la salle.
Plus tard dans la soirée, Mimo Lazrak, jeune talent marocain de 22 ans, a enchanté l'audience avec son charisme et ses jeux de mots intelligents, tandis que Merwane Benlazar a su transformer habilement des situations vécues au quotidien en véritables moments d’hilarité. Ilyes Djadel, avant son passage tant attendu à l’Olympia plus tard cette année, a offert une performance mémorable, laissant le public abasourdi par son énergie et sa capacité à enchaîner les blagues percutantes, avant que Redouanne Harjane, artiste à l'humour fin et au regard intelligent sur la société, ne clôture la soirée en apothéose.
Les humoristes ont enchaîné les sketches et les blagues, tenant en haleine l'audience avec leurs anecdotes hilarantes et leurs observations astucieuses sur la vie quotidienne. Les réactions du public, ponctuées de rires ininterrompus et de sourires éclatants, témoignaient de l'impact immédiat et puissant de chaque prestation.
Les spectateurs, eux, se sont laissés emporter par la magie du moment, oubliant les soucis du quotidien pour se plonger dans un tourbillon de joie et de légèreté. En sortant du spectacle, les visages rayonnaient de bonheur, les discussions enthousiastes et les éclats de rire résonnaient encore longtemps après la fin des performances, faisant de cette première soirée un succès mémorable et prometteur pour l'avenir du ComediaBlanca.
Dans une déclaration à la presse à cette occasion, Meriem Bouayad, co-fondratrice et co-productrice à Tendansia, a relevé l’engouement du public pour cette première édition du festival international du rire de Casablanca, soulignant les retours positifs sur l’organisation mais aussi sur le choix des comédiens qui ont animé les des deux soirées.
Expliquant que la sélection des artistes a été faite à titre personnel, Mme Bouayad a indiqué qu’en effet ils se sont d’abord basés sur leurs préférences personnelles dans le choix des comédiens pour les deux soirées du festival.
De son côté, Amir Rouani, metteur en scène du festival, a expliqué que la production du ComediaBlanca reprend les codes du direct, avec une touche artistique dans la synchronisation de la musique et des couleurs, illustrant l’univers du festival dès l’entrée de la Cathédrale.
Chez les humouristes, Asmaa El Arabi, s’est dite heureuse de sa participation en tant que Casablancaise à cette première édition de ComediaBlanca, confiant que son sketch est inspiré de sa vie quotidienne de femme, de maman, mais aussi des dictâtes de la beauté et de la pression imposés par la société aux femmes.
Le jeune Mimo Lazrak, qui a reçu une standing ovation de la part du public, a soutenu que son sketch revient sur son parcours qui s’était vu freiner à cause du Covid, mais aussi sur la réaction de ses parents sur son choix de carrière.
Pour sa part, l’humoriste Ilyes Djadel qui n’en ai pas à sa première venue au Maroc pour participer à un festival du rire, a tenu à remercier le public marocain, révélant que sa tournée le conduira prochainement à plusieurs villes du Royaume.
La soirée a également été marquée par une surprise de taille avec le passage inattendu de Naestro, un artiste indépendant français au style musical unique d'Urban Opéra. Connu pour sa capacité à fusionner des éléments d'opéra classique avec des rythmes urbains modernes, il a envouté le public avec une performance exceptionnelle.
Cette dernière soirée du festival a non seulement été un succès en termes d'affluence, mais elle a également conforté la place de ComediaBlanca comme un rendez-vous incontournable pour les amateurs d’humour à Casablanca. Les performances exceptionnelles des humoristes, combinées à l'enthousiasme et à la réceptivité du public, ont fait de cet événement un triomphe mémorable.
En sortant de la cathédrale, les visages rayonnaient de bonheur, et les discussions enthousiastes sur les moments forts de la soirée résonnaient encore. ComediaBlanca a ainsi réussi son pari : transformer la Cathédrale du Sacré-Cœur en un sanctuaire de rires et de joie, et offrir à Casablanca un festival du rire à la hauteur de ses ambitions.
Ainsi, cette première édition du Festival international du rire de Casablanca a été une véritable réussite, grâce notamment au casting artistique, posant ainsi les jalons d’un événement qui s’inscrira durablement dans le paysage culturel casablancais.
Asmaa El Arabi, connue pour ses sketches percutants et son humour décalé, a ouvert le bal avec une performance qui a immédiatement mis le public dans l’ambiance. Elena Nagapetyan, avec son style unique et ses anecdotes hilarantes, a suscité des éclats de rire retentissants dans toute la salle.
Plus tard dans la soirée, Mimo Lazrak, jeune talent marocain de 22 ans, a enchanté l'audience avec son charisme et ses jeux de mots intelligents, tandis que Merwane Benlazar a su transformer habilement des situations vécues au quotidien en véritables moments d’hilarité. Ilyes Djadel, avant son passage tant attendu à l’Olympia plus tard cette année, a offert une performance mémorable, laissant le public abasourdi par son énergie et sa capacité à enchaîner les blagues percutantes, avant que Redouanne Harjane, artiste à l'humour fin et au regard intelligent sur la société, ne clôture la soirée en apothéose.
Les humoristes ont enchaîné les sketches et les blagues, tenant en haleine l'audience avec leurs anecdotes hilarantes et leurs observations astucieuses sur la vie quotidienne. Les réactions du public, ponctuées de rires ininterrompus et de sourires éclatants, témoignaient de l'impact immédiat et puissant de chaque prestation.
Les spectateurs, eux, se sont laissés emporter par la magie du moment, oubliant les soucis du quotidien pour se plonger dans un tourbillon de joie et de légèreté. En sortant du spectacle, les visages rayonnaient de bonheur, les discussions enthousiastes et les éclats de rire résonnaient encore longtemps après la fin des performances, faisant de cette première soirée un succès mémorable et prometteur pour l'avenir du ComediaBlanca.
Dans une déclaration à la presse à cette occasion, Meriem Bouayad, co-fondratrice et co-productrice à Tendansia, a relevé l’engouement du public pour cette première édition du festival international du rire de Casablanca, soulignant les retours positifs sur l’organisation mais aussi sur le choix des comédiens qui ont animé les des deux soirées.
Expliquant que la sélection des artistes a été faite à titre personnel, Mme Bouayad a indiqué qu’en effet ils se sont d’abord basés sur leurs préférences personnelles dans le choix des comédiens pour les deux soirées du festival.
De son côté, Amir Rouani, metteur en scène du festival, a expliqué que la production du ComediaBlanca reprend les codes du direct, avec une touche artistique dans la synchronisation de la musique et des couleurs, illustrant l’univers du festival dès l’entrée de la Cathédrale.
Chez les humouristes, Asmaa El Arabi, s’est dite heureuse de sa participation en tant que Casablancaise à cette première édition de ComediaBlanca, confiant que son sketch est inspiré de sa vie quotidienne de femme, de maman, mais aussi des dictâtes de la beauté et de la pression imposés par la société aux femmes.
Le jeune Mimo Lazrak, qui a reçu une standing ovation de la part du public, a soutenu que son sketch revient sur son parcours qui s’était vu freiner à cause du Covid, mais aussi sur la réaction de ses parents sur son choix de carrière.
Pour sa part, l’humoriste Ilyes Djadel qui n’en ai pas à sa première venue au Maroc pour participer à un festival du rire, a tenu à remercier le public marocain, révélant que sa tournée le conduira prochainement à plusieurs villes du Royaume.
La soirée a également été marquée par une surprise de taille avec le passage inattendu de Naestro, un artiste indépendant français au style musical unique d'Urban Opéra. Connu pour sa capacité à fusionner des éléments d'opéra classique avec des rythmes urbains modernes, il a envouté le public avec une performance exceptionnelle.
Cette dernière soirée du festival a non seulement été un succès en termes d'affluence, mais elle a également conforté la place de ComediaBlanca comme un rendez-vous incontournable pour les amateurs d’humour à Casablanca. Les performances exceptionnelles des humoristes, combinées à l'enthousiasme et à la réceptivité du public, ont fait de cet événement un triomphe mémorable.
En sortant de la cathédrale, les visages rayonnaient de bonheur, et les discussions enthousiastes sur les moments forts de la soirée résonnaient encore. ComediaBlanca a ainsi réussi son pari : transformer la Cathédrale du Sacré-Cœur en un sanctuaire de rires et de joie, et offrir à Casablanca un festival du rire à la hauteur de ses ambitions.
Ainsi, cette première édition du Festival international du rire de Casablanca a été une véritable réussite, grâce notamment au casting artistique, posant ainsi les jalons d’un événement qui s’inscrira durablement dans le paysage culturel casablancais.