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Porté par la délégation de l’Union européenne au Maroc, en partenariat avec le ministère de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication et la Wilaya de Rabat-Salé-Kénitra, le festival Jazz à Rabat s’est achevé après trois jours de programmation métissée, alternant chaque soir deux concerts et deux rencontres. Le directeur artistique, Abdelmajid Bekkas, a salué l’enthousiasme du public pour cette nouvelle formule, tandis que le chef adjoint de la délégation de l’UE, Daniele Dotto, a souligné l’importance du dialogue musical entre artistes marocains et européens.
La soirée de clôture a offert un bouquet sonore audacieux, mêlant jazz, rythmes gnaoua, sonorités amazighes et rock psychédélique. Le Mehdi Qamoum Quartet et l’A.M.E. Trio ont ouvert la scène par une joute musicale intense, suivis par une prestation vibrante du Bab L’Bluz Quartet aux côtés du Lina Nyberg Quartet.
Pour Mehdi Qamoum, artiste gnaoui originaire d’Agadir, cette participation représentait « un objectif de longue date ». Il a rappelé que le dialogue entre jazz et Gnaoua s’imposait naturellement, les deux puisant dans des racines africaines communes. À ses yeux, ce festival est avant tout « une opportunité de rencontres humaines avant d’être artistiques », soulignant que les échanges et passerelles nourrissent durablement les musiques traditionnelles et modernes.
Fort de ce succès, les organisateurs entameront sans délai les préparatifs de la 28ᵉ édition, avec l’ambition de renforcer encore cette passerelle culturelle unique.
La soirée de clôture a offert un bouquet sonore audacieux, mêlant jazz, rythmes gnaoua, sonorités amazighes et rock psychédélique. Le Mehdi Qamoum Quartet et l’A.M.E. Trio ont ouvert la scène par une joute musicale intense, suivis par une prestation vibrante du Bab L’Bluz Quartet aux côtés du Lina Nyberg Quartet.
Pour Mehdi Qamoum, artiste gnaoui originaire d’Agadir, cette participation représentait « un objectif de longue date ». Il a rappelé que le dialogue entre jazz et Gnaoua s’imposait naturellement, les deux puisant dans des racines africaines communes. À ses yeux, ce festival est avant tout « une opportunité de rencontres humaines avant d’être artistiques », soulignant que les échanges et passerelles nourrissent durablement les musiques traditionnelles et modernes.
Fort de ce succès, les organisateurs entameront sans délai les préparatifs de la 28ᵉ édition, avec l’ambition de renforcer encore cette passerelle culturelle unique.
