À travers une collaboration entre le Musée collectif de Casablanca, l’Ambassade du Mexique au Maroc et l’Université Internationale de Rabat, cette exposition à la mémoire de ce qui est et de ce qui n’est plus amène pour la première fois au Maroc une approche artistique du «Día de Muertos».
Ce dialogue entre art contemporain et mémoire collective prend racine dans la disparition des figuiers de Barbarie au Maroc et le projet d’art et de recherche développé par le Musée collectif de Casablanca sur la mémoire des plantes et des insectes. Il explore les liens entre les êtres perdus et la nature disparue et les liens culturels et artistiques entre le Maroc et le Mexique.
L’exposition, curatée par l’artiste-chercheuse Eugénie Forno, s’adresse tant à la communauté universitaire qu’à un large public extérieur. Elle intervient en mettant en scène un autel et une offrande aux couleurs vibrantes, inspirés des traditions mexicaines. L'autel est dédié aux figuiers de Barbarie disparus du Maroc ainsi qu'aux environnementalistes mexicains Homero Gómez González, Tomás Rojo Valencia et Nayeli Guerrero, qui ont perdu la vie en raison de leur lutte pour la protection de l'environnement et de la nature. Mohamed Fariji, artiste et directeur artistique de l'«Atelier de l’observatoire», accompagne cette installation de son œuvre les «Codex de Laassilat», réalisée à partir de fibre de cactus, de ses épines et de la cochenille. Eugénie Forno, artiste, chercheuse et curatrice, expose sa série «Memento vitae», créée comme une recherche visuelle entre la mémoire des vivants et des disparus et l’imaginaire autour du «Día de Muertos.
Ce dialogue entre art contemporain et mémoire collective prend racine dans la disparition des figuiers de Barbarie au Maroc et le projet d’art et de recherche développé par le Musée collectif de Casablanca sur la mémoire des plantes et des insectes. Il explore les liens entre les êtres perdus et la nature disparue et les liens culturels et artistiques entre le Maroc et le Mexique.
L’exposition, curatée par l’artiste-chercheuse Eugénie Forno, s’adresse tant à la communauté universitaire qu’à un large public extérieur. Elle intervient en mettant en scène un autel et une offrande aux couleurs vibrantes, inspirés des traditions mexicaines. L'autel est dédié aux figuiers de Barbarie disparus du Maroc ainsi qu'aux environnementalistes mexicains Homero Gómez González, Tomás Rojo Valencia et Nayeli Guerrero, qui ont perdu la vie en raison de leur lutte pour la protection de l'environnement et de la nature. Mohamed Fariji, artiste et directeur artistique de l'«Atelier de l’observatoire», accompagne cette installation de son œuvre les «Codex de Laassilat», réalisée à partir de fibre de cactus, de ses épines et de la cochenille. Eugénie Forno, artiste, chercheuse et curatrice, expose sa série «Memento vitae», créée comme une recherche visuelle entre la mémoire des vivants et des disparus et l’imaginaire autour du «Día de Muertos.