Organisé par l’Association Essaouira Mogador, avec le soutien du ministère de la Jeunesse, de la culture et de la communication du Maroc, de l’Ambassade d’Italie au Maroc et de l’Institut culturel italien de Rabat, cet événement promet une immersion captivante dans l’univers du cinéma transalpin.
Cette année, la programmation mettra à l’honneur les femmes, à travers des films portés par des figures féminines emblématiques du cinéma italien. Après le succès de l’édition précédente, qui avait attiré plus de 1.000 spectateurs chaque jour, cette nouvelle sélection célèbre la sensibilité et la puissance du regard féminin. Le documentaire «Womeness» d’Yvonne Sciò sera l’un des temps forts de cette édition, proposant une série de portraits inspirants de cinq femmes d’exception : Dacia Maraini, Emma Bonino, Sussan Deyhim, Tomaso Binga et Setsuko Klossowska de Rola. «Pour le dixième anniversaire de sa disparition, un documentaire sur l’inoubliable Virna Lisi nous fera connaître non seulement la carrière de cette merveilleuse actrice, mais aussi la vie privée de celle qui a refusé Hollywood pour rentrer chez elle, dans sa famille et dans son cinéma. L’histoire d’une vie professionnelle féminine qui sera au cœur du programme», indique Laura Delli Colli, directrice artistique de l’événement.
L’édition 2025 introduit une nouveauté majeure : une mise en regard entre le cinéma marocain et italien. Le Maroc, dont le rayonnement cinématographique ne cesse de croître sur la scène internationale, sera représenté à travers trois films illustrant l’émergence d’une nouvelle génération de cinéastes visionnaires. Comme le souligne Youness Ajarrai, critique et spécialiste du septième art, «le cinéma marocain s’impose aujourd’hui avec des réalisations primées et des infrastructures en plein essor».
Dans un souci de transmission et d’accessibilité, l’Établissement d’épanouissement artistique et culturel Hassania 2 renouvelle son engagement en faveur de la jeunesse en proposant un programme éducatif dédié aux élèves. Chaque jour, 250 jeunes spectateurs assisteront à des projections adaptées à leur âge, accompagnées de guides explicatifs. Par ailleurs, des master class animées par des professionnels du cinéma leur permettront d’approfondir leur compréhension du langage cinématographique.
Un concours d’écriture de scénario, lancé en mars dernier, viendra enrichir cette initiative. Trois lauréats seront sélectionnés par un jury et auront l’opportunité de voir leurs travaux mis en avant. En point d’orgue du festival, un court métrage réalisé par les élèves sera projeté en clôture de l’événement.
Sous la direction artistique de Laura Delli Colli, présidente du Syndicat des journalistes cinématographiques italiens, et de Giorgio Gosetti, critique et directeur de festivals, «Dolce Vita à Mogador» s’impose comme un événement majeur dans le paysage culturel marocain. Entre projections, débats et rencontres, ce festival continue de tisser un pont culturel entre l’Italie et le Maroc, offrant au public une expérience cinématographique unique et enrichissante.
Cette année, la programmation mettra à l’honneur les femmes, à travers des films portés par des figures féminines emblématiques du cinéma italien. Après le succès de l’édition précédente, qui avait attiré plus de 1.000 spectateurs chaque jour, cette nouvelle sélection célèbre la sensibilité et la puissance du regard féminin. Le documentaire «Womeness» d’Yvonne Sciò sera l’un des temps forts de cette édition, proposant une série de portraits inspirants de cinq femmes d’exception : Dacia Maraini, Emma Bonino, Sussan Deyhim, Tomaso Binga et Setsuko Klossowska de Rola. «Pour le dixième anniversaire de sa disparition, un documentaire sur l’inoubliable Virna Lisi nous fera connaître non seulement la carrière de cette merveilleuse actrice, mais aussi la vie privée de celle qui a refusé Hollywood pour rentrer chez elle, dans sa famille et dans son cinéma. L’histoire d’une vie professionnelle féminine qui sera au cœur du programme», indique Laura Delli Colli, directrice artistique de l’événement.
L’édition 2025 introduit une nouveauté majeure : une mise en regard entre le cinéma marocain et italien. Le Maroc, dont le rayonnement cinématographique ne cesse de croître sur la scène internationale, sera représenté à travers trois films illustrant l’émergence d’une nouvelle génération de cinéastes visionnaires. Comme le souligne Youness Ajarrai, critique et spécialiste du septième art, «le cinéma marocain s’impose aujourd’hui avec des réalisations primées et des infrastructures en plein essor».
Dans un souci de transmission et d’accessibilité, l’Établissement d’épanouissement artistique et culturel Hassania 2 renouvelle son engagement en faveur de la jeunesse en proposant un programme éducatif dédié aux élèves. Chaque jour, 250 jeunes spectateurs assisteront à des projections adaptées à leur âge, accompagnées de guides explicatifs. Par ailleurs, des master class animées par des professionnels du cinéma leur permettront d’approfondir leur compréhension du langage cinématographique.
Un concours d’écriture de scénario, lancé en mars dernier, viendra enrichir cette initiative. Trois lauréats seront sélectionnés par un jury et auront l’opportunité de voir leurs travaux mis en avant. En point d’orgue du festival, un court métrage réalisé par les élèves sera projeté en clôture de l’événement.
Sous la direction artistique de Laura Delli Colli, présidente du Syndicat des journalistes cinématographiques italiens, et de Giorgio Gosetti, critique et directeur de festivals, «Dolce Vita à Mogador» s’impose comme un événement majeur dans le paysage culturel marocain. Entre projections, débats et rencontres, ce festival continue de tisser un pont culturel entre l’Italie et le Maroc, offrant au public une expérience cinématographique unique et enrichissante.
