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La parade inaugurale a transformé les rues de la ville en un véritable théâtre vivant. Des troupes de Maâlems venues de tout le Maroc, parées de costumes chatoyants et d’ornements scintillants, ont déambulé sous les acclamations du public. « C’est notre moussem à nous, un moment sacré de retrouvailles et de transmission », confie l’un des maâlems d’Essaouira, ému de participer à cette grande communion.
Sur la grande scène Moulay El Hassan, le festival a pris un envol saisissant. Dans un décor digne des grandes nuits africaines, le Maâlem Hamid El Kasri a ouvert le bal avec la puissance spirituelle et la profondeur qui font de lui une légende vivante. À ses côtés, la Compagnie Bakalama du Sénégal a électrisé l’audience avec un show spectaculaire mêlant danses frénétiques, costumes flamboyants et percussions fulgurantes. Une véritable vague d’énergie brute, portée par des artistes en transe, vêtus de costumes spectaculaires aux couleurs vives, motifs africains et accessoires chorégraphiques rythmant chacun de leurs gestes.
Les voix féminines n’étaient pas en reste : la Marocaine Abir El Abed a suspendu le temps avec ses envolées mélodiques, tandis que Kya Loum, étoile montante de la soul ouest-africaine, a ancré la soirée dans une intensité émotionnelle rare. Ce croisement de sensibilités, entre douceur et puissance, entre tradition et modernité, esquisse ce que Neila Tazi, productrice du festival, décrit comme « un projet culturel national porteur d’une vision philosophique et humaine profonde. »
Dans son discours d’ouverture, elle a rappelé la portée symbolique et universelle de l’événement : « Ce festival n’est pas seulement un rendez-vous musical. C’est une célébration du patrimoine, du dialogue et de l’humanité partagée. La culture est l’une des forces les plus puissantes dont nous disposons pour rapprocher les peuples. »
Parmi les milliers de spectateurs massés devant la scène, plusieurs personnalités étaient présentes, notamment André Azoulay, Conseiller de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, toujours fidèle au rendez-vous souiri, ainsi que des artistes, diplomates, journalistes et festivaliers de tous horizons.
À Essaouira, les vents portent les musiques du monde. Et cette première nuit l’a prouvé : la magie opère toujours.
Sur la grande scène Moulay El Hassan, le festival a pris un envol saisissant. Dans un décor digne des grandes nuits africaines, le Maâlem Hamid El Kasri a ouvert le bal avec la puissance spirituelle et la profondeur qui font de lui une légende vivante. À ses côtés, la Compagnie Bakalama du Sénégal a électrisé l’audience avec un show spectaculaire mêlant danses frénétiques, costumes flamboyants et percussions fulgurantes. Une véritable vague d’énergie brute, portée par des artistes en transe, vêtus de costumes spectaculaires aux couleurs vives, motifs africains et accessoires chorégraphiques rythmant chacun de leurs gestes.
Les voix féminines n’étaient pas en reste : la Marocaine Abir El Abed a suspendu le temps avec ses envolées mélodiques, tandis que Kya Loum, étoile montante de la soul ouest-africaine, a ancré la soirée dans une intensité émotionnelle rare. Ce croisement de sensibilités, entre douceur et puissance, entre tradition et modernité, esquisse ce que Neila Tazi, productrice du festival, décrit comme « un projet culturel national porteur d’une vision philosophique et humaine profonde. »
Dans son discours d’ouverture, elle a rappelé la portée symbolique et universelle de l’événement : « Ce festival n’est pas seulement un rendez-vous musical. C’est une célébration du patrimoine, du dialogue et de l’humanité partagée. La culture est l’une des forces les plus puissantes dont nous disposons pour rapprocher les peuples. »
Parmi les milliers de spectateurs massés devant la scène, plusieurs personnalités étaient présentes, notamment André Azoulay, Conseiller de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, toujours fidèle au rendez-vous souiri, ainsi que des artistes, diplomates, journalistes et festivaliers de tous horizons.
À Essaouira, les vents portent les musiques du monde. Et cette première nuit l’a prouvé : la magie opère toujours.
