Cette soirée musicale, qui s'est déroulée en présence du Conseiller de S.M. le Roi et président fondateur de l'Association Essaouira-Mogador, M. André Azoulay, du président du conseil communal, Tarik Ottmani, ainsi que d'autres éminentes personnalités, marocaines et étrangères des sphères diplomatique, culturelle et artistique, a parfaitement incarné l’élégance musicale d’Essaouira dans toute sa splendeur.
Dans une atmosphère envoûtante lors de cette deuxième journée du Festival des Andalousies Atlantiques, les mélodies andalouses ont fait rayonner l’esprit d’ouverture et de vivre ensemble qui caractérise ce rendez-vous annuel prestigieux, unissant les rives de la Méditerranée à travers des répertoires musicaux aussi variés qu’enchanteurs. Ainsi, les Chœurs d’Essaouira ont ouvert le bal avec un medley unique, rassemblant des voix puissantes dans une prestation qui a brillamment mis en lumière la richesse culturelle et la diversité musicale de la ville.
Accompagnés par de talentueux musiciens souiris et tangérois, les choristes ont émerveillé l'assistance avec une interprétation riche et variée, mêlant avec brio des chants traditionnels marocains, des influences andalouses et des compositions modernes.
La scène principale du Festival, aménagée dans la Salle omnisports d'Essaouira, a ensuite accueilli Carmen París et Nabyla Maan pour un concert baptisé «Dos Medinas Blancas», un hommage musical à Ibn Bâjja, figure éminente de la philosophie et de la poésie d'Al-Andalus.
Dans une fusion de flamenco, de jota aragonaise, de jazz et de musique arabo-andalouse, les deux chanteuses ont incarné l’esprit d’ouverture et de tolérance d’Al-Andalus, éblouissant l'auditoire avec des interprétations d'œuvres classiques, telles que le «Poème du Zéphyr» et «Lamma Bada Yatathanna».
Sous les applaudissements et les murmures d'admiration, ce spectacle a fait revivre l'héritage d'une Andalousie médiévale ouverte et tolérante, unissant le Maroc et l’Espagne par la musique dans une fusion artistique d'une rare beauté.
Enfin, la soirée s’est achevée dans l'intimité de l'espace socioculturel «Dar Souiri», où des artistes surprises ont offert une performance émotive, rendant ce festival encore plus unique et singulier.
Véritable espace de retrouvailles et de rapprochement interculturel, le Festival des Andalousies Atlantiques a ainsi permis, une fois de plus, de raviver les liens entre les musiciens marocains et étrangers, faisant d’Essaouira un carrefour de rencontre musicale et culturelle unique où la magie andalouse continue de résonner.
Initiée par l'Association Essaouira-Mogador, cette dix-neuvième édition, qui se poursuit jusqu'au 2 novembre, promet encore d'autres moments enchanteurs, invitant les épris de musique andalouse à poursuivre cette exploration des richesses culturelles partagées, consolidant ainsi l’identité plurielle et vivante de la Cité des alizés.
Dans une atmosphère envoûtante lors de cette deuxième journée du Festival des Andalousies Atlantiques, les mélodies andalouses ont fait rayonner l’esprit d’ouverture et de vivre ensemble qui caractérise ce rendez-vous annuel prestigieux, unissant les rives de la Méditerranée à travers des répertoires musicaux aussi variés qu’enchanteurs. Ainsi, les Chœurs d’Essaouira ont ouvert le bal avec un medley unique, rassemblant des voix puissantes dans une prestation qui a brillamment mis en lumière la richesse culturelle et la diversité musicale de la ville.
Accompagnés par de talentueux musiciens souiris et tangérois, les choristes ont émerveillé l'assistance avec une interprétation riche et variée, mêlant avec brio des chants traditionnels marocains, des influences andalouses et des compositions modernes.
La scène principale du Festival, aménagée dans la Salle omnisports d'Essaouira, a ensuite accueilli Carmen París et Nabyla Maan pour un concert baptisé «Dos Medinas Blancas», un hommage musical à Ibn Bâjja, figure éminente de la philosophie et de la poésie d'Al-Andalus.
Dans une fusion de flamenco, de jota aragonaise, de jazz et de musique arabo-andalouse, les deux chanteuses ont incarné l’esprit d’ouverture et de tolérance d’Al-Andalus, éblouissant l'auditoire avec des interprétations d'œuvres classiques, telles que le «Poème du Zéphyr» et «Lamma Bada Yatathanna».
Sous les applaudissements et les murmures d'admiration, ce spectacle a fait revivre l'héritage d'une Andalousie médiévale ouverte et tolérante, unissant le Maroc et l’Espagne par la musique dans une fusion artistique d'une rare beauté.
Enfin, la soirée s’est achevée dans l'intimité de l'espace socioculturel «Dar Souiri», où des artistes surprises ont offert une performance émotive, rendant ce festival encore plus unique et singulier.
Véritable espace de retrouvailles et de rapprochement interculturel, le Festival des Andalousies Atlantiques a ainsi permis, une fois de plus, de raviver les liens entre les musiciens marocains et étrangers, faisant d’Essaouira un carrefour de rencontre musicale et culturelle unique où la magie andalouse continue de résonner.
Initiée par l'Association Essaouira-Mogador, cette dix-neuvième édition, qui se poursuit jusqu'au 2 novembre, promet encore d'autres moments enchanteurs, invitant les épris de musique andalouse à poursuivre cette exploration des richesses culturelles partagées, consolidant ainsi l’identité plurielle et vivante de la Cité des alizés.