En ce lieu incontournable pour la découverte des pépites de films francophones, le public est convié à découvrir la diversité de la création cinématographique marocaine et plonger dans les univers de différentes générations de cinéastes porteurs d’autant de visions de la société et du monde.
Leurs œuvres seront mises en avant tout au long du festival (27 août-1er septembre) à travers une rétrospective de films emblématiques, dont le tout premier long-métrage marocain «Fils maudit» de Mohamed Ousfour.
«Cette année, le Festival du film francophone à Angoulême rend hommage au cinéma marocain, en présentant une sélection de courts et longs métrages qui reflètent l’essence et l’évolution de l’industrie cinématographique du Royaume ces dernières années», précise la critique Jihane Bougrine en présentation de la section hommage du Festival.
Notant que, depuis les années 1950, le cinéma marocain s’est distingué par des films qui «dépeignent les réalités sociales du pays, réalisés par des cinéastes talentueux avec des visions uniques», celle qui a contribué à la conception de cet hommage souligne qu’en célébrant ce cinéma, le Festival du film francophone à Angoulême «offre au public une opportunité rare de découvrir et d’apprécier la richesse et la diversité du cinéma marocain contemporain, marqué par des œuvres à la fois audacieuses et profondément humaines».
Outre l’œuvre de Mohamed Ousfour, la rétrospective dédiée au cinéma marocain comprend, entre autres, des films comme «Le Grand Voyage» d'Ismaël Ferroukhi, «Ali Zaoua, prince de la rue» de Nabil Ayouch, «Marock» de Leila Marrakchi ou encore «Adam» de Maryam Touzani, présente aussi en tant que membre du jury présidé par la célèbre actrice et réalisatrice Kristin Scott Thomas.
Le FFA d'Angoulême 2024 propose également, «en première mondiale», le long métrage «La Damnée» d'Abel Danan, ainsi que le documentaire «De quelques évènements sans signification» de Mustapha Derkaoui. Au total, plus d’une soixantaine de films seront présentés lors de cette dix-septième édition du FFA, dont dix en compétition et une quinzaine en avant-première. «Everybody Loves Touda» passé par «Cannes Première», du réalisateur marocain Nabil Ayouch, sera projeté en avant-première tout comme la comédie «À l'Ancienne» d'Hervé Mimran, ou encore «Le Choix du pianiste», réalisé par Jacques Otmezguine.
En marge du FFA, qui promet une programmation riche et variée oscillant entre hommages et expositions, une série de photos de la photographe et vidéaste marocaine Leila Alaoui (1982-2016) seront exposées, en collaboration avec l'Institut du monde arabe (IMA). En parallèle de l'hommage au cinéma marocain, la Mairie d'Angoulême met en place dans la ville «un Marché marocain» invitant les festivaliers à «profiter de l’authenticité et du charme de l’artisanat marocain», avec au menu vanneries, poteries, bijoux, huile d’argan, caftans, salon de thé et des ateliers de tatouage au henné.
Créé en 2008 et consacré au cinéma francophone, le FFA se tient dans la ville d’Angoulême, en Charente dans le sud-ouest de la France. Chaque année, à la fin de l'été, il s'impose comme l'événement incontournable de la rentrée culturelle en France.
Leurs œuvres seront mises en avant tout au long du festival (27 août-1er septembre) à travers une rétrospective de films emblématiques, dont le tout premier long-métrage marocain «Fils maudit» de Mohamed Ousfour.
«Cette année, le Festival du film francophone à Angoulême rend hommage au cinéma marocain, en présentant une sélection de courts et longs métrages qui reflètent l’essence et l’évolution de l’industrie cinématographique du Royaume ces dernières années», précise la critique Jihane Bougrine en présentation de la section hommage du Festival.
Notant que, depuis les années 1950, le cinéma marocain s’est distingué par des films qui «dépeignent les réalités sociales du pays, réalisés par des cinéastes talentueux avec des visions uniques», celle qui a contribué à la conception de cet hommage souligne qu’en célébrant ce cinéma, le Festival du film francophone à Angoulême «offre au public une opportunité rare de découvrir et d’apprécier la richesse et la diversité du cinéma marocain contemporain, marqué par des œuvres à la fois audacieuses et profondément humaines».
Outre l’œuvre de Mohamed Ousfour, la rétrospective dédiée au cinéma marocain comprend, entre autres, des films comme «Le Grand Voyage» d'Ismaël Ferroukhi, «Ali Zaoua, prince de la rue» de Nabil Ayouch, «Marock» de Leila Marrakchi ou encore «Adam» de Maryam Touzani, présente aussi en tant que membre du jury présidé par la célèbre actrice et réalisatrice Kristin Scott Thomas.
Le FFA d'Angoulême 2024 propose également, «en première mondiale», le long métrage «La Damnée» d'Abel Danan, ainsi que le documentaire «De quelques évènements sans signification» de Mustapha Derkaoui. Au total, plus d’une soixantaine de films seront présentés lors de cette dix-septième édition du FFA, dont dix en compétition et une quinzaine en avant-première. «Everybody Loves Touda» passé par «Cannes Première», du réalisateur marocain Nabil Ayouch, sera projeté en avant-première tout comme la comédie «À l'Ancienne» d'Hervé Mimran, ou encore «Le Choix du pianiste», réalisé par Jacques Otmezguine.
En marge du FFA, qui promet une programmation riche et variée oscillant entre hommages et expositions, une série de photos de la photographe et vidéaste marocaine Leila Alaoui (1982-2016) seront exposées, en collaboration avec l'Institut du monde arabe (IMA). En parallèle de l'hommage au cinéma marocain, la Mairie d'Angoulême met en place dans la ville «un Marché marocain» invitant les festivaliers à «profiter de l’authenticité et du charme de l’artisanat marocain», avec au menu vanneries, poteries, bijoux, huile d’argan, caftans, salon de thé et des ateliers de tatouage au henné.
Créé en 2008 et consacré au cinéma francophone, le FFA se tient dans la ville d’Angoulême, en Charente dans le sud-ouest de la France. Chaque année, à la fin de l'été, il s'impose comme l'événement incontournable de la rentrée culturelle en France.