La ville de Kénitra a vibré récemment au rythme de la musique du Malhoun. Organisée par l’Association des amateurs de l’art pour l’éducation et la culture, à l’occasion du 50ᵉ anniversaire de la Marche Verte et de la Fête de l’Indépendance, la deuxième édition du Festival national du Malhoun a réuni les ténors de cet art musical ancestral.
Cet événement festif a été l’occasion de rendre hommage à des figures emblématiques du Malhoun. On cite à cet égard les artistes Touria Hadrioui, Abdelkrim Sadiki et le chercheur Pʳ Noureddine Chammas.
Dédiée à l’âme du défunt Dʳ Abbas Jirari, fondateur de la recherche académique sur le Malhoun, «l’objectif majeur de ce Festival est de raviver cet art très apprécié à Kénitra et de contribuer à sa préservation, sachant que le Malhoun constitue l’une des pierres angulaires de l’identité patrimoniale du Royaume», souligne la célèbre chanteuse de Malhoun et présidente de l’Association des amateurs de l’art pour l’éducation et la culture, Fatima Hadad.
En effet, au cœur de cette édition, une pléiade d’artistes venus de diverses villes du Royaume ont pris part à des soirées artistiques et à des séminaires scientifiques consacrés à l’art du Malhoun. Les grandes salles de la direction provinciale de la Culture et de la commune de Kénitra ont été les espaces où s’est exprimée la richesse de l’art du Malhoun. Faut-il rappeler l’importance de cet héritage culturel national, inscrit le 6 décembre 2023 sur la Liste du patrimoine culturel immatériel de l’humanité de l’Unesco.
Le volet académique du Festival national du Malhoun s’est illustré par la signature du recueil du poète Hassan Slimani, «L’art du Malhoun, patrimoine de l’humanité». La rencontre a été animée par Abdelmajid Fennich, dramaturge et expert en arts patrimoniaux, et le professeur-chercheur et musicologue Ouahib Zenfoukh.
À noter que les soirées d’ouverture et de clôture de cette deuxième édition du Festival, organisée en partenariat avec le Conseil de la commune de Kénitra, avec le soutien du ministère de la Jeunesse, de la culture et de la communication – département de la Culture – et en collaboration avec la Direction provinciale de la Culture de Kénitra, ont été animées par l’animatrice télé et cantatrice de Malhoun Majda El Yahiaoui, et le journaliste Amine Nadifi.
Cet événement festif a été l’occasion de rendre hommage à des figures emblématiques du Malhoun. On cite à cet égard les artistes Touria Hadrioui, Abdelkrim Sadiki et le chercheur Pʳ Noureddine Chammas.
Dédiée à l’âme du défunt Dʳ Abbas Jirari, fondateur de la recherche académique sur le Malhoun, «l’objectif majeur de ce Festival est de raviver cet art très apprécié à Kénitra et de contribuer à sa préservation, sachant que le Malhoun constitue l’une des pierres angulaires de l’identité patrimoniale du Royaume», souligne la célèbre chanteuse de Malhoun et présidente de l’Association des amateurs de l’art pour l’éducation et la culture, Fatima Hadad.
En effet, au cœur de cette édition, une pléiade d’artistes venus de diverses villes du Royaume ont pris part à des soirées artistiques et à des séminaires scientifiques consacrés à l’art du Malhoun. Les grandes salles de la direction provinciale de la Culture et de la commune de Kénitra ont été les espaces où s’est exprimée la richesse de l’art du Malhoun. Faut-il rappeler l’importance de cet héritage culturel national, inscrit le 6 décembre 2023 sur la Liste du patrimoine culturel immatériel de l’humanité de l’Unesco.
Le volet académique du Festival national du Malhoun s’est illustré par la signature du recueil du poète Hassan Slimani, «L’art du Malhoun, patrimoine de l’humanité». La rencontre a été animée par Abdelmajid Fennich, dramaturge et expert en arts patrimoniaux, et le professeur-chercheur et musicologue Ouahib Zenfoukh.
À noter que les soirées d’ouverture et de clôture de cette deuxième édition du Festival, organisée en partenariat avec le Conseil de la commune de Kénitra, avec le soutien du ministère de la Jeunesse, de la culture et de la communication – département de la Culture – et en collaboration avec la Direction provinciale de la Culture de Kénitra, ont été animées par l’animatrice télé et cantatrice de Malhoun Majda El Yahiaoui, et le journaliste Amine Nadifi.
