«Je n’arrive pas encore à réaliser ce qui s’est passé aujourd’hui dans cette magnifique projection. Beaucoup d’amour, beaucoup d’émotions... Merci beaucoup aux Marocains à l’intérieur et à l’extérieur de la salle. Je vous aime. Vous avez rendu ma famille fière de tout cet effort», a déclaré Asmae El Moudir.
La jeune réalisatrice, qui a eu droit à une belle standing ovation, était émue par l’accueil du public. Il faut dire qu’Asmae El Moudir a une façon ingénieuse de raconter à la fois des moments personnels et d’autres marquants l’Histoire du Maroc. Pour ce faire, elle a mené une quête intime et collective. «Ce film nous réconcilie avec le cinéma marocain», a déclaré une grande partie du public.
Autre film marocain présenté le 28 novembre est «Mora est là» du réalisateur Khalid Zaïri. Ce documentaire, projeté dans la section Panorama du cinéma marocain, donne à voir les récits des anciens mineurs marocains qui travaillaient en France. Il explore leur histoire méconnue et met en lumière des récits poignants de lutte contre la discrimination, les dangers physiques et la précarité socio-économique. Il brosse ainsi un tableau complexe de la résilience et du courage de ces mineurs face aux défis intenses qu’ils ont connus.
Parmi les films présentés le 28 novembre, le long métrage australien «Limbo» d’Ivan Sen. Dans ce film, on retrouve un Simon Baker au look différent avec un crâne rasé et des tatouages au bras. Sur le tapis rouge de Marrakech, l’acteur australien a retrouvé son allure de Patrick Jane de «Mentalist».Le cinéma égyptien était également présent à cette cinquième journée du FIFM avec «Voy! Voy! Voy!» de Omar Hilal. Ce dernier visite la ville ocre avec l’acteur égyptien Mohamed Farag. Au programme du 28 novembre, il y avait également la projection de «Mambar Pierrette» («11e continent»), un film de la Camerounaise Rosine Mbakam. Cette fiction très personnelle est inspirée et interprétée par la cousine de la réalisatrice. Elle met la lumière sur les femmes qui luttent chaque jour pour vivre ou survivre. Dans le cadre de la compétition officielle, le public du FIFM a pu découvrir «Banel et Adama» de Ramata-Toulaye Sy. Pour son premier long métrage, la réalisatrice et scénariste franco-sénégalaise a posé sa caméra dans un village rural du nord du Sénégal pour raconter l’histoire d’une femme en quête d’émancipation.
La jeune réalisatrice, qui a eu droit à une belle standing ovation, était émue par l’accueil du public. Il faut dire qu’Asmae El Moudir a une façon ingénieuse de raconter à la fois des moments personnels et d’autres marquants l’Histoire du Maroc. Pour ce faire, elle a mené une quête intime et collective. «Ce film nous réconcilie avec le cinéma marocain», a déclaré une grande partie du public.
Autre film marocain présenté le 28 novembre est «Mora est là» du réalisateur Khalid Zaïri. Ce documentaire, projeté dans la section Panorama du cinéma marocain, donne à voir les récits des anciens mineurs marocains qui travaillaient en France. Il explore leur histoire méconnue et met en lumière des récits poignants de lutte contre la discrimination, les dangers physiques et la précarité socio-économique. Il brosse ainsi un tableau complexe de la résilience et du courage de ces mineurs face aux défis intenses qu’ils ont connus.
Parmi les films présentés le 28 novembre, le long métrage australien «Limbo» d’Ivan Sen. Dans ce film, on retrouve un Simon Baker au look différent avec un crâne rasé et des tatouages au bras. Sur le tapis rouge de Marrakech, l’acteur australien a retrouvé son allure de Patrick Jane de «Mentalist».Le cinéma égyptien était également présent à cette cinquième journée du FIFM avec «Voy! Voy! Voy!» de Omar Hilal. Ce dernier visite la ville ocre avec l’acteur égyptien Mohamed Farag. Au programme du 28 novembre, il y avait également la projection de «Mambar Pierrette» («11e continent»), un film de la Camerounaise Rosine Mbakam. Cette fiction très personnelle est inspirée et interprétée par la cousine de la réalisatrice. Elle met la lumière sur les femmes qui luttent chaque jour pour vivre ou survivre. Dans le cadre de la compétition officielle, le public du FIFM a pu découvrir «Banel et Adama» de Ramata-Toulaye Sy. Pour son premier long métrage, la réalisatrice et scénariste franco-sénégalaise a posé sa caméra dans un village rural du nord du Sénégal pour raconter l’histoire d’une femme en quête d’émancipation.