Le 13 novembre, au Megarama Casablanca. Un frisson collectif parcourt la salle lorsque les premières notes retentissent à l'écran : «Gladiator II» vient de débuter, mais dans cette avant-première, ce n'est pas seulement l'œuvre de Ridley Scott qui retient l'attention. Les regards des membres de l'équipe marocaine de production exécutive, représentant Dune Films, témoignent d'une fierté palpable, presque solennelle. Partenaires discrets de cette grande épopée, ils ont apporté au film une richesse qui va bien au-delà du simple décor installé à Ouarzazate. Pour eux, les scènes auxquelles ils ont participé sont le résultat de mois de préparation et de défis relevés.
Pour les Marocains, cette épopée résonne autrement : ils y reconnaissent leur terre, leurs paysages, et, pour certains, leur travail minutieux. En assistant à cette projection entouré de membres de l’équipe marocaine, on ressent le poids de leur contribution, une fierté presque tangible. «Chaque membre de l’équipe marocaine, dans l’ombre, a joué un rôle clé, apportant à cette méga-production une touche unique que seul le Maroc pouvait offrir», souligne un membre de l’équipe de production exécutive de Dune Films.
Pour Sanaa El Kilani, productrice déléguée de «Gladiator II» pour le tournage au Maroc, c'était une production réussie sur tous les plans. «Le Maroc continue d’attirer des productions étrangères, et cela est en grande partie dû à la qualité de notre industrie cinématographique, qui repose sur des instituts de formation solides et sur l'expérience accumulée par nos techniciens. Grâce aux nombreux tournages internationaux, ces derniers ont pu acquérir une expertise considérable», précise-t-elle. Et d’ajouter que, malgré la montée en puissance du Moyen-Orient dans ce domaine, le Maroc demeure une destination privilégiée pour les productions étrangères. Cette attractivité pour les producteurs et cinéastes internationaux s'explique par la diversité unique des décors locaux et par les incitations financières, comme la taxe rebate. Les techniciens nationaux possèdent également une expertise qui rivalise désormais avec les standards internationaux, ce qui contribue grandement au rayonnement du Maroc sur la scène mondiale.
Présent à l’avant-première de «Gladiator II», Jimmy Abounouom, co-producteur du film au Maroc, a évoqué la relation particulière que le réalisateur entretient avec le pays : «Ridley Scott est un véritable ami du Maroc. Il est tombé sous le charme du pays il y a plusieurs années, et c’est devenu pour lui un lieu privilégié pour ses productions.» En effet, Ridley Scott a confié que le Maroc occupe une place unique dans son cœur. «À chaque visite, je suis touché par la beauté de ses paysages, l’excellence de ses équipes et la chaleur de son peuple. Revenir ici pour tourner “Gladiator II” était bien plus qu’un simple choix de décor – c’était une évidence, un retour vers un lieu qui m’inspire profondément. Je suis honoré de pouvoir célébrer, à travers ce film, tout ce que le Maroc a à offrir au monde du cinéma.»
Le co-producteur marocain souligne que la préparation locale de cette production, qui a coûté au total 300 millions de dollars, a duré plus de six mois à Ouarzazate pour effectuer les repérages, mettre en place les équipements et préparer les décors, dont l’arène géante, le port et la ville de Carthage. Jimmy met aussi en lumière l'ampleur du projet : «Certains jours, nous gérions jusqu’à 500 personnes. Notre équipe locale était en charge de nombreux détails essentiels, allant des coiffures aux aspects logistiques. Cela demande une coordination et une expertise sans faille, des qualités dont nous sommes fiers au Maroc».
Pour les Marocains, cette épopée résonne autrement : ils y reconnaissent leur terre, leurs paysages, et, pour certains, leur travail minutieux. En assistant à cette projection entouré de membres de l’équipe marocaine, on ressent le poids de leur contribution, une fierté presque tangible. «Chaque membre de l’équipe marocaine, dans l’ombre, a joué un rôle clé, apportant à cette méga-production une touche unique que seul le Maroc pouvait offrir», souligne un membre de l’équipe de production exécutive de Dune Films.
Pour Sanaa El Kilani, productrice déléguée de «Gladiator II» pour le tournage au Maroc, c'était une production réussie sur tous les plans. «Le Maroc continue d’attirer des productions étrangères, et cela est en grande partie dû à la qualité de notre industrie cinématographique, qui repose sur des instituts de formation solides et sur l'expérience accumulée par nos techniciens. Grâce aux nombreux tournages internationaux, ces derniers ont pu acquérir une expertise considérable», précise-t-elle. Et d’ajouter que, malgré la montée en puissance du Moyen-Orient dans ce domaine, le Maroc demeure une destination privilégiée pour les productions étrangères. Cette attractivité pour les producteurs et cinéastes internationaux s'explique par la diversité unique des décors locaux et par les incitations financières, comme la taxe rebate. Les techniciens nationaux possèdent également une expertise qui rivalise désormais avec les standards internationaux, ce qui contribue grandement au rayonnement du Maroc sur la scène mondiale.
Présent à l’avant-première de «Gladiator II», Jimmy Abounouom, co-producteur du film au Maroc, a évoqué la relation particulière que le réalisateur entretient avec le pays : «Ridley Scott est un véritable ami du Maroc. Il est tombé sous le charme du pays il y a plusieurs années, et c’est devenu pour lui un lieu privilégié pour ses productions.» En effet, Ridley Scott a confié que le Maroc occupe une place unique dans son cœur. «À chaque visite, je suis touché par la beauté de ses paysages, l’excellence de ses équipes et la chaleur de son peuple. Revenir ici pour tourner “Gladiator II” était bien plus qu’un simple choix de décor – c’était une évidence, un retour vers un lieu qui m’inspire profondément. Je suis honoré de pouvoir célébrer, à travers ce film, tout ce que le Maroc a à offrir au monde du cinéma.»
Le co-producteur marocain souligne que la préparation locale de cette production, qui a coûté au total 300 millions de dollars, a duré plus de six mois à Ouarzazate pour effectuer les repérages, mettre en place les équipements et préparer les décors, dont l’arène géante, le port et la ville de Carthage. Jimmy met aussi en lumière l'ampleur du projet : «Certains jours, nous gérions jusqu’à 500 personnes. Notre équipe locale était en charge de nombreux détails essentiels, allant des coiffures aux aspects logistiques. Cela demande une coordination et une expertise sans faille, des qualités dont nous sommes fiers au Maroc».