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«Ombres de mon passé» est la nouvelle exposition de Noureddine El Warari à la Fondation Hassan II. Dans l’espace Rivages de la Fondation à Rabat, on peut explorer, jusqu’au 29 septembre, les photographies en noir et blanc de l’artiste maroco-américain qui présentent plus de quatre décennies de création artistique. À travers ces œuvres, Noureddine El Warari nous invite à plonger dans une exploration visuelle profonde, marquée par une maîtrise technique et une sensibilité unique. Chaque cliché, soigneusement capturé et imprimé, est le reflet d’un long cheminement artistique, où l’évolution de son regard et de ses techniques se mêle à une constante recherche d’émotion.
Mais cette exposition ne se limite pas à un simple étalage de technique photographique. Elle s’inscrit avant tout dans une démarche profondément personnelle et introspective. En effet, «L’Ombre de mon passé» est bien plus qu’une rétrospective : c’est une histoire intime que l’artiste dévoile au fil de ses images.
À travers ses photographies, El Warari rend hommage aux lieux et aux visages qui ont façonné son enfance, notamment le quartier de Derb Soltane, qui occupe une place centrale dans ses souvenirs. Les femmes de son quartier y apparaissent comme des figures symboliques, empreintes de force et de résilience. Leur présence dans l’œuvre de l’artiste est un hommage sincère, un dialogue silencieux entre le passé et le présent. «Ces femmes sont ma famille et celles qui habitent mon quartier. Ces femmes marocaines représentent ma source d’inspiration. En créant, j’essaie de garder et de préserver leur courage ! Les scènes de vie que je photographie sont une grande source d’inspiration. C’est grâce à elles que je suis là !», explique El Warari. En tant qu’étudiant de l’image, cet artiste a commencé par le classique pour arriver au numérique. Il utilise toutes les techniques possibles pour créer ses projets. «J’aime travailler dans ma chambre noire et faire l’impression de façon classique et aussi numérique en utilisant les nouvelles technologies. Les possibilités aujourd’hui sont énormes. On peut créer des merveilles avec les nouveaux outils qui nous facilitent la tâche !», précise-t-il.
El Warari a choisi le noir et blanc pour donner «une âme» à ses œuvres.
Ce choix esthétique transcende la simple représentation visuelle pour engager une conversation profonde avec l’esprit. Le noir et blanc crée un contraste riche et dramatique mettant en lumière les formes, les textures et les nuances d’une manière qui peut à la fois simplifier et complexifier l’interprétation de l’image.
Cette forme d’expression artistique capte l’essence des choses d’une manière pure et poignante. Avec «Ombres de mon passé», Noureddine El Warari, qui a travaillé pendant trente-cinq ans avec de grands photographes et cinéastes à Hollywood, ouvre une fenêtre sur son univers intime d’artiste établi aux États-Unis depuis les années 1980.
El Warari réside actuellement à Santa Monica, en Californie, où il poursuit sa carrière de maître-imprimeur, photographe et conférencier au Santa Monica College. Il élargit la palette de son travail et explore d’autres domaines de la photographie comme l’utilisation de l’appareil photographique comme un outil à la fois argentique et numérique pour l’impression photographique.
Mais cette exposition ne se limite pas à un simple étalage de technique photographique. Elle s’inscrit avant tout dans une démarche profondément personnelle et introspective. En effet, «L’Ombre de mon passé» est bien plus qu’une rétrospective : c’est une histoire intime que l’artiste dévoile au fil de ses images.
À travers ses photographies, El Warari rend hommage aux lieux et aux visages qui ont façonné son enfance, notamment le quartier de Derb Soltane, qui occupe une place centrale dans ses souvenirs. Les femmes de son quartier y apparaissent comme des figures symboliques, empreintes de force et de résilience. Leur présence dans l’œuvre de l’artiste est un hommage sincère, un dialogue silencieux entre le passé et le présent. «Ces femmes sont ma famille et celles qui habitent mon quartier. Ces femmes marocaines représentent ma source d’inspiration. En créant, j’essaie de garder et de préserver leur courage ! Les scènes de vie que je photographie sont une grande source d’inspiration. C’est grâce à elles que je suis là !», explique El Warari. En tant qu’étudiant de l’image, cet artiste a commencé par le classique pour arriver au numérique. Il utilise toutes les techniques possibles pour créer ses projets. «J’aime travailler dans ma chambre noire et faire l’impression de façon classique et aussi numérique en utilisant les nouvelles technologies. Les possibilités aujourd’hui sont énormes. On peut créer des merveilles avec les nouveaux outils qui nous facilitent la tâche !», précise-t-il.
El Warari a choisi le noir et blanc pour donner «une âme» à ses œuvres.
Ce choix esthétique transcende la simple représentation visuelle pour engager une conversation profonde avec l’esprit. Le noir et blanc crée un contraste riche et dramatique mettant en lumière les formes, les textures et les nuances d’une manière qui peut à la fois simplifier et complexifier l’interprétation de l’image.
Cette forme d’expression artistique capte l’essence des choses d’une manière pure et poignante. Avec «Ombres de mon passé», Noureddine El Warari, qui a travaillé pendant trente-cinq ans avec de grands photographes et cinéastes à Hollywood, ouvre une fenêtre sur son univers intime d’artiste établi aux États-Unis depuis les années 1980.
Biographie de l’artiste Noureddine El Warari
Noureddine El Warari réside aux États-Unis depuis les années 1980, à Austin puis à Los Angeles et, actuellement, à Santa Monica en Californie. En 1985, il obtient le Diplôme des sciences appliquées en photographie du Programme des beaux-arts, à Austin, Université du Texas. Il intègre, ensuite et pour deux ans, le Creart Photo Laboratory de Los Angeles où il travaille en collaboration avec les géants Universal Studios et Warner Brothers et se distingue par la qualité de son travail photographique et sur les tournages de films aussi bien pour les majors que pour plusieurs agences de publicité. Il poursuit son ascension chez Photo Impact de 1988 à 2003 en tant que maître-imprimeur spécialisé en noir et blanc.El Warari réside actuellement à Santa Monica, en Californie, où il poursuit sa carrière de maître-imprimeur, photographe et conférencier au Santa Monica College. Il élargit la palette de son travail et explore d’autres domaines de la photographie comme l’utilisation de l’appareil photographique comme un outil à la fois argentique et numérique pour l’impression photographique.
