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Le ministre de la Jeunesse, de la culture et de la communication, Mohammed Mehdi Bensaïd, a partagé le 7 novembre à l’Université Mundiapolis la stratégie de son département favorisant l’inclusion des jeunes dans l’écosystème culturel. Lors d’une table ronde organisée par l'Institut des sciences politiques, juridiques et sociales (ISPJS) sur le thème «Jeunesse africaine et Culture», Bensaïd a parlé de différents projets et réalisations dans l’industrie cinématographique, dans les secteurs du gaming, des services digitalisés et de l’infrastructure culturelle. Il a aussi loué les avantages du «Pass Jeunes» qui vise à faciliter l’accès des jeunes à la culture, aux moyens de transport, au sport, aux loisirs et à bien d'autres services.
Selon Bensaïd, le cinéma, en tant que composante du soft power (festivals, tournages, etc.), contribue à la création de divers emplois, au développement de compétences, et à la promotion de la coopération internationale. Il a rappelé le projet visant à établir 150 nouvelles salles de cinéma dans différentes villes du Royaume.
Cette initiative engendrera 500 emplois directs et 1.000 emplois indirects au cours de la première année. Selon le ministre de la Culture, la réconciliation du Marocain avec les salles obscures et l’augmentation du budget réservé à la production cinématographique permettrait de réaliser des films historiques et pour enfants. Le public national pourrait alors des héros locaux et des histoires reflétant son patrimoine culturel. «Pour avoir des séries historiques, j’ai essayé d’intéresser les plateformes internationales de streaming tel que “Netflix” et “Canal+” qui veulent accaparer le public marocain. On leur conseille, comme on l’a fait avec “Shahid”, de produire des séries marocaines. Ces plateformes ont les moyens d’investir et ont surtout un marché international», a expliqué le ministre de la Culture.
Le département de Bensaïd collabore également avec plusieurs pays africains pour partager son expertise dans l'industrie cinématographique et optimiser l’exploitation du patrimoine culturel matériel et immatériel du continent. S’agissant de l'industrie du jeu vidéo, le ministre a rappelé l'objectif du Maroc d'atteindre d'ici 2030 un chiffre d'affaires d'un milliard de dollars. Cette industrie devrait créer de nombreux emplois, et le ministre est convaincu que les jeunes Marocains ont le potentiel pour devenir des champions dans ce domaine. La table ronde sur «La Jeunesse africaine et la Culture» était également une occasion pour Bensaïd de rappeler aux jeunes l’importance de l’engagement politique. Animant ce débat, Ali Lahrichi a rappelé que les étudiants sont les futurs leaders et les catalyseurs du changement au sein de notre société.
Selon Bensaïd, le cinéma, en tant que composante du soft power (festivals, tournages, etc.), contribue à la création de divers emplois, au développement de compétences, et à la promotion de la coopération internationale. Il a rappelé le projet visant à établir 150 nouvelles salles de cinéma dans différentes villes du Royaume.
Cette initiative engendrera 500 emplois directs et 1.000 emplois indirects au cours de la première année. Selon le ministre de la Culture, la réconciliation du Marocain avec les salles obscures et l’augmentation du budget réservé à la production cinématographique permettrait de réaliser des films historiques et pour enfants. Le public national pourrait alors des héros locaux et des histoires reflétant son patrimoine culturel. «Pour avoir des séries historiques, j’ai essayé d’intéresser les plateformes internationales de streaming tel que “Netflix” et “Canal+” qui veulent accaparer le public marocain. On leur conseille, comme on l’a fait avec “Shahid”, de produire des séries marocaines. Ces plateformes ont les moyens d’investir et ont surtout un marché international», a expliqué le ministre de la Culture.
Le département de Bensaïd collabore également avec plusieurs pays africains pour partager son expertise dans l'industrie cinématographique et optimiser l’exploitation du patrimoine culturel matériel et immatériel du continent. S’agissant de l'industrie du jeu vidéo, le ministre a rappelé l'objectif du Maroc d'atteindre d'ici 2030 un chiffre d'affaires d'un milliard de dollars. Cette industrie devrait créer de nombreux emplois, et le ministre est convaincu que les jeunes Marocains ont le potentiel pour devenir des champions dans ce domaine. La table ronde sur «La Jeunesse africaine et la Culture» était également une occasion pour Bensaïd de rappeler aux jeunes l’importance de l’engagement politique. Animant ce débat, Ali Lahrichi a rappelé que les étudiants sont les futurs leaders et les catalyseurs du changement au sein de notre société.
