Accompagné de cinq musiciens talentueux, Jordan Rakei a subjugué la Scène 21 par son univers musical à la croisée de la soul, du jazz et de l’électronique. S’installant tour à tour aux claviers et à la guitare, il a enveloppé le public d’une aura éthérée, distillant ses mélodies raffinées et sa voix feutrée avec une maîtrise impressionnante.
Sur fond de nappes instrumentales aériennes et de rythmes syncopés, l’artiste basé à Londres a interprété plusieurs morceaux issus de son dernier album "The Loop", notamment "Royal" et "Freedom", accueillis avec ferveur par une foule captivée. Il a également livré une version poignante du classique "Mad World", dans une relecture sensible et intimiste qui a fait frissonner l’auditoire.
Plus tôt dans la soirée, l’artiste tunisienne Emel avait ouvert le bal avec intensité. Connue pour ses performances habitées, la chanteuse tunisienne a fait jouer la puissance de sa voix et son énergie exceptionnelle sur scène.
Emel a en effet livré un concert à la fois mystique et bouillonnant. Entre électro, rock et musique traditionnelle nord-africaine, elle a interprété avec fougue ses titres les plus emblématiques.
Interrogée par la MAP avant sa montée sur scène sur la façon dont elle mélange les sonorités traditionnelles arabes et électro-punk, Emel a expliqué qu’elle a toujours eu une facilité pour apprécier et absorber les différents styles musicaux.
"Je réfléchis dans la diversité et j’aime beaucoup les explorations. Ce qui m’amuse quand je fais de la musique c’est d’essayer de nouvelles combinaisons et d’apporter quelque chose de nouveau", a-t-elle confié.
Ce double plateau a ainsi parfaitement illustré l’esprit du Jazzablanca : un festival ouvert sur le monde, célébrant la diversité des sons, des langues et des émotions. Une nuit de magie musicale qui restera longtemps gravée dans les mémoires des mélomanes présents.
Dans le cadre de la 18e édition du Festival Jazzablanca, la scène "Nouveau Souffle" a été installée au Parc de la Ligue arabe pour accueillir quatre concerts gratuits, animés par Daraa Tribes, Mehdi Qamoum, Anas Chlih Quintet et Soukaina Fahsi.
Sur fond de nappes instrumentales aériennes et de rythmes syncopés, l’artiste basé à Londres a interprété plusieurs morceaux issus de son dernier album "The Loop", notamment "Royal" et "Freedom", accueillis avec ferveur par une foule captivée. Il a également livré une version poignante du classique "Mad World", dans une relecture sensible et intimiste qui a fait frissonner l’auditoire.
Plus tôt dans la soirée, l’artiste tunisienne Emel avait ouvert le bal avec intensité. Connue pour ses performances habitées, la chanteuse tunisienne a fait jouer la puissance de sa voix et son énergie exceptionnelle sur scène.
Emel a en effet livré un concert à la fois mystique et bouillonnant. Entre électro, rock et musique traditionnelle nord-africaine, elle a interprété avec fougue ses titres les plus emblématiques.
Interrogée par la MAP avant sa montée sur scène sur la façon dont elle mélange les sonorités traditionnelles arabes et électro-punk, Emel a expliqué qu’elle a toujours eu une facilité pour apprécier et absorber les différents styles musicaux.
"Je réfléchis dans la diversité et j’aime beaucoup les explorations. Ce qui m’amuse quand je fais de la musique c’est d’essayer de nouvelles combinaisons et d’apporter quelque chose de nouveau", a-t-elle confié.
Ce double plateau a ainsi parfaitement illustré l’esprit du Jazzablanca : un festival ouvert sur le monde, célébrant la diversité des sons, des langues et des émotions. Une nuit de magie musicale qui restera longtemps gravée dans les mémoires des mélomanes présents.
Dans le cadre de la 18e édition du Festival Jazzablanca, la scène "Nouveau Souffle" a été installée au Parc de la Ligue arabe pour accueillir quatre concerts gratuits, animés par Daraa Tribes, Mehdi Qamoum, Anas Chlih Quintet et Soukaina Fahsi.
