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Initiée par l’Association des amis d’Ibn Zaidoun et le Laboratoire Traductologie, Communication et Littérature (TCL) de la Faculté des lettres et des sciences humaines de l’Université Chouaïb Doukkali, cette manifestation se veut une vitrine de la littérature dans toute sa diversité.
Au programme : rencontres, ateliers, débats professionnels, soirées musicales, exposition d’art et visites guidées.
Plus qu’un simple événement littéraire et artistique, «Koutoub», comme son nom l’indique, invite à découvrir toutes les formes de littérature, dans la pluralité de ses genres. Il se veut à la fois convivial, festif, et un lieu de convergence unique des cultures, des actions et des réflexions autour du livre. Mais les ambitions des organisateurs vont bien au-delà. Il s’agit de perpétuer l’héritage littéraire d’une ville aux racines profondes, de réunir auteurs et artistes marocains et internationaux dans ce lieu unique où l’océan embrasse les cultures, et de former, à l’image d’un laboratoire des futurs possibles, une nouvelle génération de conteurs, d’écrivains, de poètes et de penseurs.
Pour atteindre ces objectifs fondamentaux, cette édition réunira, durant trois jours, penseurs, écrivains, poètes, conteurs, conférenciers, éditeurs, libraires, artistes et musiciens de divers horizons autour d’un programme riche, soigné et conçu avec passion, afin de répondre aux attentes des amoureux du livre et de l’art.
«Nous proposons une immersion totale dans l’intime solidarité d’auteur à auteur, ce pacte invisible où chacun devient le promoteur de l’autre. De la transmission exigeante, à travers des ateliers dirigés par des maîtres, aux livres mis en mouvement dialoguant avec la peinture et la musique, jusqu’aux conférences-hommages liant mémoire et modernité», précisent les organisateurs dans un communiqué de presse.
Des conférenciers du Maroc et d’ailleurs se réuniront ainsi pour des débats riches et variés autour de la littérature, de la culture et de l’écriture, tandis que des mélodies inspirées et des expositions de tableaux composeront une symphonie artistique où chaque discipline nourrit l’autre.
Parmi les temps forts de cette édition figurent plusieurs conférences-débats sur des thèmes d’actualité : «L’IA, nouveau fantôme dans la machine à écrire ?», «Écrire l’anthropocène ou la nouvelle grammaire du désastre», ou encore «Le roman est-il encore le maître-genre ?» Deux conférences seront également consacrées à l’art : «Artistes à l’ère des algorithmes» et «L’art après la fin du monde et les imaginaires esthétiques de l’effondrement». Une conférence engagée, intitulée «Réécrire les canons», mettra l’accent sur la déconstruction des références occidentales et la mise en lumière d’artistes et d’auteurs marginalisés, notamment marocains.
Un moment particulièrement émouvant de cette édition sera l’hommage rendu à l’écrivain, poète et journaliste Said Mountassib, lauréat du Prix de la Nouvelle 2024.
En marge de l’événement, les cimaises du Complexe culturel de l’OCP d’El Jadida accueilleront, du 16 au 18 octobre courant, les œuvres récentes de deux plasticiens inspirés : Abdelkarim Elazhar et El Mostafa Akil.
Au programme : rencontres, ateliers, débats professionnels, soirées musicales, exposition d’art et visites guidées.
Plus qu’un simple événement littéraire et artistique, «Koutoub», comme son nom l’indique, invite à découvrir toutes les formes de littérature, dans la pluralité de ses genres. Il se veut à la fois convivial, festif, et un lieu de convergence unique des cultures, des actions et des réflexions autour du livre. Mais les ambitions des organisateurs vont bien au-delà. Il s’agit de perpétuer l’héritage littéraire d’une ville aux racines profondes, de réunir auteurs et artistes marocains et internationaux dans ce lieu unique où l’océan embrasse les cultures, et de former, à l’image d’un laboratoire des futurs possibles, une nouvelle génération de conteurs, d’écrivains, de poètes et de penseurs.
Pour atteindre ces objectifs fondamentaux, cette édition réunira, durant trois jours, penseurs, écrivains, poètes, conteurs, conférenciers, éditeurs, libraires, artistes et musiciens de divers horizons autour d’un programme riche, soigné et conçu avec passion, afin de répondre aux attentes des amoureux du livre et de l’art.
«Nous proposons une immersion totale dans l’intime solidarité d’auteur à auteur, ce pacte invisible où chacun devient le promoteur de l’autre. De la transmission exigeante, à travers des ateliers dirigés par des maîtres, aux livres mis en mouvement dialoguant avec la peinture et la musique, jusqu’aux conférences-hommages liant mémoire et modernité», précisent les organisateurs dans un communiqué de presse.
Des conférenciers du Maroc et d’ailleurs se réuniront ainsi pour des débats riches et variés autour de la littérature, de la culture et de l’écriture, tandis que des mélodies inspirées et des expositions de tableaux composeront une symphonie artistique où chaque discipline nourrit l’autre.
Parmi les temps forts de cette édition figurent plusieurs conférences-débats sur des thèmes d’actualité : «L’IA, nouveau fantôme dans la machine à écrire ?», «Écrire l’anthropocène ou la nouvelle grammaire du désastre», ou encore «Le roman est-il encore le maître-genre ?» Deux conférences seront également consacrées à l’art : «Artistes à l’ère des algorithmes» et «L’art après la fin du monde et les imaginaires esthétiques de l’effondrement». Une conférence engagée, intitulée «Réécrire les canons», mettra l’accent sur la déconstruction des références occidentales et la mise en lumière d’artistes et d’auteurs marginalisés, notamment marocains.
Un moment particulièrement émouvant de cette édition sera l’hommage rendu à l’écrivain, poète et journaliste Said Mountassib, lauréat du Prix de la Nouvelle 2024.
En marge de l’événement, les cimaises du Complexe culturel de l’OCP d’El Jadida accueilleront, du 16 au 18 octobre courant, les œuvres récentes de deux plasticiens inspirés : Abdelkarim Elazhar et El Mostafa Akil.
