Réunis du 22 au 25 juillet au siège du Centre cinématographique marocain (CCM), les membres de la commission chargée du soutien aux festivals ont étudié 49 dossiers de candidature. À l’issue de leurs travaux, 40 projets ont été retenus, bénéficiant d’une enveloppe globale de 25.840.000 dirhams.
En tête des bénéficiaires, le Festival international du film de Marrakech obtient la subvention la plus importante, soit 12 millions de dirhams, représentant près de 46 % de l’enveloppe totale. Il est suivi par le Festival national du film à Tanger, soutenu à hauteur de 7,5 millions de dirhams, et par des rendez-vous plus spécialisés comme le Festival de Salé dédié aux films de femmes (1 million de dirhams) et le Festival du cinéma d’auteur de Rabat (800.000 dirhams).
Le reste du soutien est réparti sur 36 festivals, souvent à plus petite échelle, organisés dans diverses régions du Royaume. De Zagora à Tiznit, en passant par Oujda, Imouzzer, Bir Mezoui, Fès, Oued Zem ou Ouarzazate, ces événements explorent une grande variété de thématiques : cinéma amazigh, cinéma et migration, handicap, mémoire collective, ou encore éducation à l’image. Certains festivals sont destinés à des publics ciblés, notamment les jeunes, les enfants ou les amateurs.
La commission était présidée par Khadija Alami Laaroussi, accompagnée de sept autres membres issus des milieux du cinéma, de la critique et de la production : Asmaa Grimiche, Imane Mesbahi, Malika Maalainine, Sabah El Faïçali, Ahmed Affach, Bouazza El Bouchtaoui et Mohamed Lamouissi. La sélection s’est basée sur des critères liés à la qualité artistique des projets, leur ancrage territorial et leur capacité à mobiliser les publics.
En tête des bénéficiaires, le Festival international du film de Marrakech obtient la subvention la plus importante, soit 12 millions de dirhams, représentant près de 46 % de l’enveloppe totale. Il est suivi par le Festival national du film à Tanger, soutenu à hauteur de 7,5 millions de dirhams, et par des rendez-vous plus spécialisés comme le Festival de Salé dédié aux films de femmes (1 million de dirhams) et le Festival du cinéma d’auteur de Rabat (800.000 dirhams).
Le reste du soutien est réparti sur 36 festivals, souvent à plus petite échelle, organisés dans diverses régions du Royaume. De Zagora à Tiznit, en passant par Oujda, Imouzzer, Bir Mezoui, Fès, Oued Zem ou Ouarzazate, ces événements explorent une grande variété de thématiques : cinéma amazigh, cinéma et migration, handicap, mémoire collective, ou encore éducation à l’image. Certains festivals sont destinés à des publics ciblés, notamment les jeunes, les enfants ou les amateurs.
La commission était présidée par Khadija Alami Laaroussi, accompagnée de sept autres membres issus des milieux du cinéma, de la critique et de la production : Asmaa Grimiche, Imane Mesbahi, Malika Maalainine, Sabah El Faïçali, Ahmed Affach, Bouazza El Bouchtaoui et Mohamed Lamouissi. La sélection s’est basée sur des critères liés à la qualité artistique des projets, leur ancrage territorial et leur capacité à mobiliser les publics.
