«L’enfant pauvre de Takaddoum, issu d’une fratrie de neuf enfants dans ce quartier de Rabat, est devenu l’un des personnages clés de la culture au Maroc», souligne la publication française. La culture a été sa chance, c’est par elle qu’il a pansé «sa fêlure d’enfant raillé», note le quotidien, rappelant que M. Qotbi a enseigné l’art plastique pendant trente ans.
«Son audace à aller vers l’autre va devenir sa force», soutient-on. «M’ouvrir a été une nécessité, d’abord pour survivre, puis pour pouvoir respirer au quotidien», confie M. Qotbi au journal.
Pour ses 55 ans de peinture, en octobre prochain, l’Institut du monde arabe (IMA) à Paris va lui consacrer une rétrospective et un biopic aussi est en préparation, rappelle le journal. «C’est une boule d’énergie ! Un artiste, un érudit, passionné par la France et le Maroc», relève Jack Lang, président de l’IMA, cité par «Le Figaro», qui précise que, pour la première fois, l’IMA a fait sortir des pièces de sa collection pour les exposer dans le nouvel espace d’art contemporain de la casbah de Tanger.
Un an après l’ouverture du Musée Dar Niaba, Mehdi Qotbi veut mettre en lumière ce lieu situé «face à une synagogue et adossé à une église», note le quotidien.«Delacroix y a séjourné un mois» et il expose aujourd’hui 350 œuvres et objets «d’artistes voyageurs» rassemblés par un Français, Didier Sentis de Montoussy, qui en a fait don, souligne «Le Figaro», mettant en avant la réouverture à Marrakech du Musée des confluences Dar El-Bacha, qui avait souffert du séisme, le 8 septembre dernier, ainsi que l’inauguration de deux prochains Musées, de l’art islamique et de la culture juive, fin décembre à Fès.
«En dix ans d’existence de la Fondation nationale des musées, Sa Majesté le Roi Mohammed VI a eu cette lumière exceptionnelle de la créer et de me donner un bonheur infini de pouvoir la servir, de servir la culture, qu’Il a mise à la portée de chaque Marocain et pour les visiteurs du Royaume qui découvrent toute sa diversité», affirme M. Qotbi.
«Son audace à aller vers l’autre va devenir sa force», soutient-on. «M’ouvrir a été une nécessité, d’abord pour survivre, puis pour pouvoir respirer au quotidien», confie M. Qotbi au journal.
Pour ses 55 ans de peinture, en octobre prochain, l’Institut du monde arabe (IMA) à Paris va lui consacrer une rétrospective et un biopic aussi est en préparation, rappelle le journal. «C’est une boule d’énergie ! Un artiste, un érudit, passionné par la France et le Maroc», relève Jack Lang, président de l’IMA, cité par «Le Figaro», qui précise que, pour la première fois, l’IMA a fait sortir des pièces de sa collection pour les exposer dans le nouvel espace d’art contemporain de la casbah de Tanger.
Un an après l’ouverture du Musée Dar Niaba, Mehdi Qotbi veut mettre en lumière ce lieu situé «face à une synagogue et adossé à une église», note le quotidien.«Delacroix y a séjourné un mois» et il expose aujourd’hui 350 œuvres et objets «d’artistes voyageurs» rassemblés par un Français, Didier Sentis de Montoussy, qui en a fait don, souligne «Le Figaro», mettant en avant la réouverture à Marrakech du Musée des confluences Dar El-Bacha, qui avait souffert du séisme, le 8 septembre dernier, ainsi que l’inauguration de deux prochains Musées, de l’art islamique et de la culture juive, fin décembre à Fès.
«En dix ans d’existence de la Fondation nationale des musées, Sa Majesté le Roi Mohammed VI a eu cette lumière exceptionnelle de la créer et de me donner un bonheur infini de pouvoir la servir, de servir la culture, qu’Il a mise à la portée de chaque Marocain et pour les visiteurs du Royaume qui découvrent toute sa diversité», affirme M. Qotbi.