Seront à découvrir ou redécouvrir les célèbres algues abstraites de Malika Agueznay, qui a su fusionner dans ses toiles les traditions artistiques marocaines avec une
modernité féminine.
>> Lire aussi : Le musée YSL Marrakech présente les expositions "Serpent" et "Uli Gassmann"
Malika Agueznay, par ses créations profondément enracinées dans l’identité marocaine moderniste, a toujours su captiver son public.
Cette exposition met en lumière les aventures artistiques du mouvement moderniste post-protectorat des années 60, au travers de l’œuvre de Malika Agueznay, élève et proche amie du trio originel de l’École de Casablanca, qu’étaient Mohamed Melehi, Mohamed Chabâa et Belkahia...
Malika Agueznay a su créer un espace artistique pour elle-même au sein d’un milieu largement dominé par les hommes, en mettant en avant une expression féminine de
la modernité par le prisme de son travail sur les algues, qui la suivra tout au long de son évolution artistique.
L’École de Casablanca, actuellement mise à l’honneur à la Tate St Ives, en Cornouailles au Royaume-Uni, et ce jusqu'à janvier 2024, s’inscrit dans le mouvement moderniste
de l’abstraction et revendique une identité et un héritage marocains profonds, pourtant marqués par divers mouvements internationaux, tels que l’action painting, la
cybernétique, ou encore le soufisme.
Héritière de ce mouvement, Malika Agueznay a su se mouvoir entre ces influences, fouillant le passé à la recherche de sa vision unique du modernisme.
Plusieurs rencontres et ateliers seront organisés tout au long de l’exposition pour approfondir la compréhension de l’œuvre de Malika Agueznay. Notamment une table ronde
accompagnée d’un court-métrage sur le travail de l’artiste.
modernité féminine.
>> Lire aussi : Le musée YSL Marrakech présente les expositions "Serpent" et "Uli Gassmann"
Malika Agueznay, par ses créations profondément enracinées dans l’identité marocaine moderniste, a toujours su captiver son public.
Cette exposition met en lumière les aventures artistiques du mouvement moderniste post-protectorat des années 60, au travers de l’œuvre de Malika Agueznay, élève et proche amie du trio originel de l’École de Casablanca, qu’étaient Mohamed Melehi, Mohamed Chabâa et Belkahia...
Malika Agueznay a su créer un espace artistique pour elle-même au sein d’un milieu largement dominé par les hommes, en mettant en avant une expression féminine de
la modernité par le prisme de son travail sur les algues, qui la suivra tout au long de son évolution artistique.
L’École de Casablanca, actuellement mise à l’honneur à la Tate St Ives, en Cornouailles au Royaume-Uni, et ce jusqu'à janvier 2024, s’inscrit dans le mouvement moderniste
de l’abstraction et revendique une identité et un héritage marocains profonds, pourtant marqués par divers mouvements internationaux, tels que l’action painting, la
cybernétique, ou encore le soufisme.
Héritière de ce mouvement, Malika Agueznay a su se mouvoir entre ces influences, fouillant le passé à la recherche de sa vision unique du modernisme.
Plusieurs rencontres et ateliers seront organisés tout au long de l’exposition pour approfondir la compréhension de l’œuvre de Malika Agueznay. Notamment une table ronde
accompagnée d’un court-métrage sur le travail de l’artiste.