La Fondation du Forum d’Assilah organise, sous le Haut Patronage de S.M. le Roi Mohammed VI, la session d’automne de la 46ᵉ édition du Moussem culturel international, du 26 septembre au 12 octobre 2025. Cet événement, placé sous le signe du dialogue et de la créativité, réunit plus de 350 personnalités issues de la diplomatie, de la culture, de l’art et des médias.
Un hommage à Mohamed Benaïssa
L’ouverture de cette session sera marquée par un colloque inaugural (26-28 septembre) intitulé «Mohamed Benaïssa, homme d’État et icône de la culture», un moment fort destiné à honorer la mémoire du fondateur du Forum. Amis, collègues, chercheurs, hommes politiques et journalistes venus des quatre coins du monde partageront leurs témoignages et réflexions autour de l’héritage laissé par Feu Mohamed Benaïssa.
Des débats de haut niveau
Le programme de cette session prévoit également plusieurs rencontres intellectuelles, dont un colloque, en partenariat avec le Policy Center for the New South, le 30 septembre, sur «L’Initiative atlantique : vers une vision africaine intégrée de l’espace atlantique».
Les invités du Moussem participeront aussi, le 5 octobre, à une table ronde en hommage au plasticien marocain Abdelkrim Ouazzani. Par ailleurs, deux colloques seront dédiés aux arts plastiques : «L’art et le pouvoir de la technique» (3-4 octobre) et «L’institution artistique : concept et réalisation» (10-11 octobre).
Le volet littéraire sera marqué par la 13ᵉ édition du Prix Tchicaya U Tam’si de la poésie africaine, qui sera décerné le 9 octobre, ainsi que par des séances de signature d’ouvrages de l’écrivain mauritanien Abdallah Ould Mohamedi et des auteurs marocains Mohamed Saâd Alami et Mohamed El Maâzouz.
Les invités du Moussem participeront aussi, le 5 octobre, à une table ronde en hommage au plasticien marocain Abdelkrim Ouazzani. Par ailleurs, deux colloques seront dédiés aux arts plastiques : «L’art et le pouvoir de la technique» (3-4 octobre) et «L’institution artistique : concept et réalisation» (10-11 octobre).
Le volet littéraire sera marqué par la 13ᵉ édition du Prix Tchicaya U Tam’si de la poésie africaine, qui sera décerné le 9 octobre, ainsi que par des séances de signature d’ouvrages de l’écrivain mauritanien Abdallah Ould Mohamedi et des auteurs marocains Mohamed Saâd Alami et Mohamed El Maâzouz.
Les arts plastiques au cœur du Moussem
Comme à chaque édition, les arts visuels occuperont une place de choix. Trente-deux artistes venus d’Afrique, du monde arabe et d’Europe prendront part à des ateliers de gravure, de peinture et de lithographie. Le Centre Hassan II des Rencontres internationales accueillera des expositions consacrées aux artistes Loubna Al Amin (Bahreïn), Khalid Al Saai (Syrie) et Abdelkrim Ouazzani, tandis que la Fondation présentera une exposition de ses propres publications. Un hommage visuel à Mohamed Benaïssa sera également proposé à travers une exposition photographique.
Parallèlement, plusieurs ateliers destinés aux enfants et aux jeunes – écriture, théâtre, arts plastiques et développement personnel – viendront nourrir la dimension pédagogique et citoyenne de ce rendez-vous.
Parallèlement, plusieurs ateliers destinés aux enfants et aux jeunes – écriture, théâtre, arts plastiques et développement personnel – viendront nourrir la dimension pédagogique et citoyenne de ce rendez-vous.
Une continuité culturelle tout au long de l’année
Cette session d’automne s’inscrit dans la continuité des rendez-vous annuels du Moussem. La session de printemps (avril) avait mis en lumière les arts plastiques à travers des expositions et ateliers de création, tandis que la session estivale (juin-juillet) s’était distinguée par les célèbres ateliers de peinture murale et des formations en théâtre et développement personnel.
Depuis plus de quatre décennies, le Moussem d’Assilah contribue à l’enrichissement du paysage culturel marocain et international, confirmant la vocation de la ville à être un carrefour de la pensée, des arts et du dialogue interculturel.
Depuis plus de quatre décennies, le Moussem d’Assilah contribue à l’enrichissement du paysage culturel marocain et international, confirmant la vocation de la ville à être un carrefour de la pensée, des arts et du dialogue interculturel.
