Organisée sur le thème «La Méditerranée, une mer de cinéma», le Festival «MedFilm», qui constitue une étape internationale majeure de l'événement prévu à Rome en novembre prochain, vise à renforcer le partenariat solide et fructueux entre l’Ambassade d’Italie et l’Institut culturel italien de Rabat, d’une part, et les opérateurs culturels marocains, tels que la Fondation Hiba, le cinéma Renaissance et l’Institut supérieur des métiers de l’audiovisuel et du cinéma de Rabat (ISMAC), d’autre part.
S’exprimant à cette occasion, l’ambassadeur d’Italie au Maroc, Pasquale Salzano, a souligné que le Festival MedFilm se veut une occasion d’honorer une histoire diplomatique solide entre les deux pays et de célébrer une amitié vivante, qui trouve dans le cinéma et la formation des jeunes un terrain privilégié de dialogue et de créativité, sous le signe de la Méditerranée, une mer qui unit.
De son côté, la directrice de l’Institut culturel italien de Rabat, Carmela Callea, a fait savoir que cette 4e édition du festival, tout comme les précédentes, est née de la coopération artistique entre opérateurs culturels et cinéastes italiens et marocains. Elle a noté que le 7e art peut franchir les frontières linguistiques et géographiques, devenant ainsi l’expression d’une identité méditerranéenne fondée sur la compréhension de l’autre et la rencontre entre cultures, langues et religions différentes.
Cette soirée d’ouverture a été marquée par la remise du Prix du Festival «MedFilm» au jeune réalisateur Omar Zaâfaoui, de l’ISMAC, pour son court métrage «Mrija», projeté devant le public.
Dans une déclaration à la presse, le jeune réalisateur a indiqué que cette distinction représente un véritable coup de pouce pour sa carrière, ajoutant que cette expérience avait une saveur particulière, dans la mesure où le film parle de son grand-père, décédé deux semaines après la fin du tournage, et aborde les thèmes de la mort et de l’enfance.
La cérémonie d’ouverture a également été marquée par la projection, en avant-première au Maroc et dans la région MENA (Moyen-Orient et Afrique du Nord), du film italien «Testa o croce ?»
Le Festival propose au public de la capitale un programme cinématographique reflétant le dynamisme du cinéma italien contemporain. La salle de l’ISMAC projette trois longs-métrages en première marocaine.
Il s’agit de «Ciao bambino» du réalisateur Edgardo Pistone, et «Delta» et «La città proibita», montés par l’expert Di Stefano.
L’ISMAC accueillera, en outre, deux master classes : la première sur la réalisation et le scénario, animée jeudi par Edgardo Pistone, et la seconde sur le montage, animée par Di Stefano.
La 4ᵉ édition du Festival se clôturera vendredi, avec des projections à l’ISMAC de films italiens de renom, ouvertes au public.
S’exprimant à cette occasion, l’ambassadeur d’Italie au Maroc, Pasquale Salzano, a souligné que le Festival MedFilm se veut une occasion d’honorer une histoire diplomatique solide entre les deux pays et de célébrer une amitié vivante, qui trouve dans le cinéma et la formation des jeunes un terrain privilégié de dialogue et de créativité, sous le signe de la Méditerranée, une mer qui unit.
De son côté, la directrice de l’Institut culturel italien de Rabat, Carmela Callea, a fait savoir que cette 4e édition du festival, tout comme les précédentes, est née de la coopération artistique entre opérateurs culturels et cinéastes italiens et marocains. Elle a noté que le 7e art peut franchir les frontières linguistiques et géographiques, devenant ainsi l’expression d’une identité méditerranéenne fondée sur la compréhension de l’autre et la rencontre entre cultures, langues et religions différentes.
Cette soirée d’ouverture a été marquée par la remise du Prix du Festival «MedFilm» au jeune réalisateur Omar Zaâfaoui, de l’ISMAC, pour son court métrage «Mrija», projeté devant le public.
Dans une déclaration à la presse, le jeune réalisateur a indiqué que cette distinction représente un véritable coup de pouce pour sa carrière, ajoutant que cette expérience avait une saveur particulière, dans la mesure où le film parle de son grand-père, décédé deux semaines après la fin du tournage, et aborde les thèmes de la mort et de l’enfance.
La cérémonie d’ouverture a également été marquée par la projection, en avant-première au Maroc et dans la région MENA (Moyen-Orient et Afrique du Nord), du film italien «Testa o croce ?»
Le Festival propose au public de la capitale un programme cinématographique reflétant le dynamisme du cinéma italien contemporain. La salle de l’ISMAC projette trois longs-métrages en première marocaine.
Il s’agit de «Ciao bambino» du réalisateur Edgardo Pistone, et «Delta» et «La città proibita», montés par l’expert Di Stefano.
L’ISMAC accueillera, en outre, deux master classes : la première sur la réalisation et le scénario, animée jeudi par Edgardo Pistone, et la seconde sur le montage, animée par Di Stefano.
La 4ᵉ édition du Festival se clôturera vendredi, avec des projections à l’ISMAC de films italiens de renom, ouvertes au public.
