Cette œuvre "rend hommage aux artistes de la Cité des Alizés, ceux qui vivent entre nous et continuent à produire, ainsi que ceux qui nous ont quittés en laissant des traces picturales de leur production artistique", souligne-t-on dans une note de présentation de ce film.
"Ces créateurs, de par le travail artistique que leur a inspiré la ville de Mogador, ont porté les messages naturels et humains de cette ville, vers les différentes régions du Royaume du Maroc, ainsi que dans leurs diverses expositions à travers le monde, tout comme ils ont participé singulièrement à son rayonnement et à la promotion du patrimoine singulier, matériel et immatériel, par lequel elle se distingue, et ceci en demeurant vigilants et fermes parmi ses vrais gardiens", ajoute-t-on.
Ainsi, les co-auteurs du sujet de ce documentaire à savoir, Abdelhakim Jehouani et Ahmed Harrouz, respectivement cinéaste et artiste chercheur, "ont su éveiller et animer avec une douzaine d’artistes le discours artistique de ce témoignage humain, en soulignant la culture du vivre ensemble dans laquelle ils se sont baignés durant leurs divers parcours, représentant les diverses tendances d’expressions artistiques à Essaouira et au Maroc, en général".
M. Jehouani a précisé qu’il s’agit de son premier documentaire et dans lequel il s’est focalisé sur trois composantes essentielles à savoir, la ville, les artistes plasticiens et la thématique du vivre ensemble. Cette œuvre se veut, d’abord, une célébration de la ville d’Essaouira et de ses artistes ainsi que des valeurs universelles, notamment celles du vivre ensemble et de coexistence, a-t-il souligné, tout en s’attardant sur la signification profonde de l’intitulé du film "Les gardiens de Mogador".
Dans une déclaration similaire, M. Harrouz a indiqué que ce film représente une relecture de l’histoire d’Essaouira, à travers la production et les œuvres de plusieurs figures représentant les différentes tendances et expressions artistiques au sein de cette ville millénaire. Les messages véhiculés, notamment à travers la relation des artistes avec la ville, mettent en avant ces valeurs universelles qui font l’ADN d’Essaouira, en particulier le vivre en commun et la dimension spirituelle qui se manifeste de manière éloquente dans les œuvres de ces créateurs, a-t-il fait savoir. Il s’agit d’une œuvre souirie qui traduit la dynamique culturelle et artistique de la scène locale et nationale, car ce produit aborde Essaouira et le Maroc en général, avec un focus sur le discours artistique et culturel profond, a-t-il conclu.
Ce produit artistique et cinématographique, réalisé avec le soutien de divers milieux et institutions, dont l’Association Essaouira Mogador, le conseil communal et la province d’Essaouira, est une reconnaissance des efforts des artistes de Mogador et une contribution à la préservation du patrimoine culturel et humain de la perle de l’Atlantique.
"Ces créateurs, de par le travail artistique que leur a inspiré la ville de Mogador, ont porté les messages naturels et humains de cette ville, vers les différentes régions du Royaume du Maroc, ainsi que dans leurs diverses expositions à travers le monde, tout comme ils ont participé singulièrement à son rayonnement et à la promotion du patrimoine singulier, matériel et immatériel, par lequel elle se distingue, et ceci en demeurant vigilants et fermes parmi ses vrais gardiens", ajoute-t-on.
Ainsi, les co-auteurs du sujet de ce documentaire à savoir, Abdelhakim Jehouani et Ahmed Harrouz, respectivement cinéaste et artiste chercheur, "ont su éveiller et animer avec une douzaine d’artistes le discours artistique de ce témoignage humain, en soulignant la culture du vivre ensemble dans laquelle ils se sont baignés durant leurs divers parcours, représentant les diverses tendances d’expressions artistiques à Essaouira et au Maroc, en général".
M. Jehouani a précisé qu’il s’agit de son premier documentaire et dans lequel il s’est focalisé sur trois composantes essentielles à savoir, la ville, les artistes plasticiens et la thématique du vivre ensemble. Cette œuvre se veut, d’abord, une célébration de la ville d’Essaouira et de ses artistes ainsi que des valeurs universelles, notamment celles du vivre ensemble et de coexistence, a-t-il souligné, tout en s’attardant sur la signification profonde de l’intitulé du film "Les gardiens de Mogador".
Dans une déclaration similaire, M. Harrouz a indiqué que ce film représente une relecture de l’histoire d’Essaouira, à travers la production et les œuvres de plusieurs figures représentant les différentes tendances et expressions artistiques au sein de cette ville millénaire. Les messages véhiculés, notamment à travers la relation des artistes avec la ville, mettent en avant ces valeurs universelles qui font l’ADN d’Essaouira, en particulier le vivre en commun et la dimension spirituelle qui se manifeste de manière éloquente dans les œuvres de ces créateurs, a-t-il fait savoir. Il s’agit d’une œuvre souirie qui traduit la dynamique culturelle et artistique de la scène locale et nationale, car ce produit aborde Essaouira et le Maroc en général, avec un focus sur le discours artistique et culturel profond, a-t-il conclu.
Ce produit artistique et cinématographique, réalisé avec le soutien de divers milieux et institutions, dont l’Association Essaouira Mogador, le conseil communal et la province d’Essaouira, est une reconnaissance des efforts des artistes de Mogador et une contribution à la préservation du patrimoine culturel et humain de la perle de l’Atlantique.