Dans la catégorie traduction arabe-français, Ilyass Amharar a remporté la troisième place pour avoir traduit le livre "Al-Mahssoul fi Ilm al-Ossoul" d'Abu Bakr Ibn al-Arabi, alors que Hocine Benouhachim a décroché la deuxième place dans la catégorie traduction français-arabe pour sa traduction du livre "L'empire Khattabi" de Chaïm Perelman. Leur compatriote Mohamed Ait Hanna a également obtenu la deuxième place dans cette même catégorie pour avoir traduit du français vers l'arabe "Le comte de Monte-Cristo" d'Alexandre Dumas.
Lors de la cérémonie de remise des prix, Abdelouahed Alami a reçu le prix d’encouragement dans la catégorie traduction français-arabe pour sa traduction de l'ouvrage "Le Prophète de l'Islam" de Muhammad Hamidullah. Dans des déclarations à la MAP, les lauréats marocains ont exprimé leur fierté et leur joie d’avoir remporté ce prestigieux prix, relevant que la forte présence du Maroc parmi les lauréats de cette compétition témoigne de la maîtrise des langues et de l’ouverture d’esprit des traducteurs marocains. En 2024, quelque 35 pays ont présenté des candidatures pour prendre part à cette compétition, dont 17 pays arabes. Le français et l'anglais étaient les langues principales dans la catégorie des livres uniques, tandis que les langues moins courantes comme le baloutchi, le tatar, le hongrois et le yoruba ont été classées comme étant des langues secondaires.
Lors de la cérémonie de remise des prix, Abdelouahed Alami a reçu le prix d’encouragement dans la catégorie traduction français-arabe pour sa traduction de l'ouvrage "Le Prophète de l'Islam" de Muhammad Hamidullah. Dans des déclarations à la MAP, les lauréats marocains ont exprimé leur fierté et leur joie d’avoir remporté ce prestigieux prix, relevant que la forte présence du Maroc parmi les lauréats de cette compétition témoigne de la maîtrise des langues et de l’ouverture d’esprit des traducteurs marocains. En 2024, quelque 35 pays ont présenté des candidatures pour prendre part à cette compétition, dont 17 pays arabes. Le français et l'anglais étaient les langues principales dans la catégorie des livres uniques, tandis que les langues moins courantes comme le baloutchi, le tatar, le hongrois et le yoruba ont été classées comme étant des langues secondaires.