Connexion
À la tombée du jour, Rabat se pare de mille lumières pour mieux vous séduire. C’est dans cette lumière feutrée et mystérieuse que le beau livre «Rabat. Ville des lumières» choisit de traîner ses lecteurs. «À travers les photographies prises de nuit, Rabat dévoile son visage historique sous une lumière douce et mystérieuse», lit-on dans l’avant-propos de Saâd Hossini et de Mohammed Nabil Benabdallah, initiateurs de ce projet sensible.
Pour garantir la réussite de ce choix audacieux, qui va transformer la capitale en théâtre d’ombres et de reflets, trois photographes se sont attelés à la tâche d’en saisir la beauté vespérale. François Beaurain, Ali Hossini et Teddy Seguin se sont armés de leurs objectifs et de leur passion pour embrasser monuments emblématiques et scènes de vie nocturne.
Pour ne rien gâcher au projet, une constellation de plumes confirmées y a contribué. Entre prose poétique, chronique historique et description urbaine, les textes littéraires portent les signatures de Mohammed Alaoui Belrhiti, Mohammed Taoufik Ameziane, Mohammed Fikri Benabdallah, Abdelaâlem Dinia, Mustapha El Hor, Brahim El Mezned, Mohamed Es Semmar, Jamal Hajjam, Saâd Hossini, Ghizlane Mamouri, Mouna M’hammedi, Soumaya Mounsif Hajji, Mohamed Nahal, Mohamed Nait Youssef, Jalil Nouri, Mohamed Ouzahra et Fouad Souiba.
Quatre parties distinctes composent l’ouvrage. On y trouve un volet historique et patrimonial, un volet artisanat et art de vivre, un chapitre sur la vie culturelle et un dernier sur le tourisme.
Parmi les monuments emblématiques qui portent l’empreinte des civilisations évoquées et que le livre célèbre figurent les remparts almohades, la mosquée Hassan, le site antique de Chellah, ou encore la Casbah des Oudayas : tout un héritage digne d’être classé sur la liste du patrimoine mondial de l’Unesco, ce qui est le cas depuis 2012. Le livre continue à scruter la pierre, en jetant la lumière sur la vibrante médina, le Mellah et sa mémoire juive, les Habous et les demeures palatiales, jusqu’à l’héritage colonial art déco, avant de plonger dans l’infrastructure moderne et les nouveaux quartiers.
Capitale de l’art et de la culture, Rabat ne cesse de rayonner sur tout le Royaume.
Avec ses galeries et ses théâtres, ses musées, ses salles de cinéma et ses festivals de musique, la capitale règne en maîtresse absolue du pôle créatif. Rappelons d’ailleurs qu’elle sera, à juste titre, Capitale mondiale du livre en 2026, après le succès de ses éditions du Salon international de l’édition et du livre.
Enfin, le livre dévoile l’art de recevoir à Rabat, en mettant en avant hôtels prestigieux, tables gastronomiques, quartiers chics et populaires, mêlant l’authenticité marocaine au raffinement contemporain.
Pour garantir la réussite de ce choix audacieux, qui va transformer la capitale en théâtre d’ombres et de reflets, trois photographes se sont attelés à la tâche d’en saisir la beauté vespérale. François Beaurain, Ali Hossini et Teddy Seguin se sont armés de leurs objectifs et de leur passion pour embrasser monuments emblématiques et scènes de vie nocturne.
Pour ne rien gâcher au projet, une constellation de plumes confirmées y a contribué. Entre prose poétique, chronique historique et description urbaine, les textes littéraires portent les signatures de Mohammed Alaoui Belrhiti, Mohammed Taoufik Ameziane, Mohammed Fikri Benabdallah, Abdelaâlem Dinia, Mustapha El Hor, Brahim El Mezned, Mohamed Es Semmar, Jamal Hajjam, Saâd Hossini, Ghizlane Mamouri, Mouna M’hammedi, Soumaya Mounsif Hajji, Mohamed Nahal, Mohamed Nait Youssef, Jalil Nouri, Mohamed Ouzahra et Fouad Souiba.
Quatre parties distinctes composent l’ouvrage. On y trouve un volet historique et patrimonial, un volet artisanat et art de vivre, un chapitre sur la vie culturelle et un dernier sur le tourisme.
De la préhistoire à aujourd’hui
Habitée depuis la pré-histoire, et fondée sur des strates de plus de 2.000 ans d’Histoire, Rabat a fait halte aux peuples phéniciens, carthaginois, romains, puis aux dynasties musulmanes. Et lorsqu’elle s’est enrichie par le retour des Andalous, Rabat a pu s’imposer pour devenir capitale du Royaume Chérifien.Parmi les monuments emblématiques qui portent l’empreinte des civilisations évoquées et que le livre célèbre figurent les remparts almohades, la mosquée Hassan, le site antique de Chellah, ou encore la Casbah des Oudayas : tout un héritage digne d’être classé sur la liste du patrimoine mondial de l’Unesco, ce qui est le cas depuis 2012. Le livre continue à scruter la pierre, en jetant la lumière sur la vibrante médina, le Mellah et sa mémoire juive, les Habous et les demeures palatiales, jusqu’à l’héritage colonial art déco, avant de plonger dans l’infrastructure moderne et les nouveaux quartiers.
De savoir et de culture
Le troisième chapitre du livre fait honneur aux lieux de savoir comme l’Académie du Royaume, la Bibliothèque nationale, les universités ou les Archives du Maroc, qui composent une cartographie autrement lumineuse : celle de l’esprit et du dialogue.Capitale de l’art et de la culture, Rabat ne cesse de rayonner sur tout le Royaume.
Avec ses galeries et ses théâtres, ses musées, ses salles de cinéma et ses festivals de musique, la capitale règne en maîtresse absolue du pôle créatif. Rappelons d’ailleurs qu’elle sera, à juste titre, Capitale mondiale du livre en 2026, après le succès de ses éditions du Salon international de l’édition et du livre.
Enfin, le livre dévoile l’art de recevoir à Rabat, en mettant en avant hôtels prestigieux, tables gastronomiques, quartiers chics et populaires, mêlant l’authenticité marocaine au raffinement contemporain.
