Cet événement, organisé par le ministère de la Jeunesse, de la culture et de la communication, a réuni un large public composé de figures du monde littéraire, académique et culturel, venu saluer l'héritage d'un homme qui a profondément marqué la scène littéraire marocaine et arabe.
À travers un discours empreint d’émotion, Mohamed Berrada a non seulement exprimé sa gratitude à l’égard de l’initiative du ministère, mais a également évoqué les défis persistants auxquels sont confrontés les écrivains au Maroc. Il a, également, appelé à un renouveau au sein de l’Union des écrivains du Maroc rappelant l'influence de cette institution fondamentale dans la structuration de la critique littéraire moderne au Maroc, ainsi que dans la défense des droits des écrivains. Mohamed Berrada a dirigé l’Union à plusieurs reprises, un engagement qui témoigne de sa volonté de renforcer les liens entre le Maroc et le monde arabe, et de promouvoir la place de l'écrivain dans la société marocaine.
Les interventions des différentes personnalités présentes lors de l’hommage ont unanimement salué l’impact durable de Mohamed Berrada. Son engagement constant dans l’enseignement, la traduction et la transmission de la passion du roman a été particulièrement mis en avant. Le moment fort de la soirée a été la remise d’un trophée honorifique par Latifa Mouftakir, commissaire du SIEL, un geste symbolique chaleureusement applaudi par l’assistance.
Mohamed Berrada, né en 1938, est l’auteur d'œuvres phares telles que «Lumière fuyante», «Comme un été qui ne reviendra pas», «Vies voisines» et «Le jeu de l’oubli». Des titres qui restent des références majeures dans le paysage littéraire marocain et arabe. À travers ces œuvres et son engagement, il s’est imposé comme une figure incontournable de la littérature moderne.
Ainsi, cette cérémonie ne s'est pas seulement limitée à un hommage personnel, mais s’est transformée en un plaidoyer pour la nécessité de réformes profondes dans la culture et la littérature marocaines. Mohamed Berrada, par sa voix et son œuvre, continue d'inspirer les générations futures tout en restant un acteur clé dans les débats intellectuels et sociopolitiques du pays.
À travers un discours empreint d’émotion, Mohamed Berrada a non seulement exprimé sa gratitude à l’égard de l’initiative du ministère, mais a également évoqué les défis persistants auxquels sont confrontés les écrivains au Maroc. Il a, également, appelé à un renouveau au sein de l’Union des écrivains du Maroc rappelant l'influence de cette institution fondamentale dans la structuration de la critique littéraire moderne au Maroc, ainsi que dans la défense des droits des écrivains. Mohamed Berrada a dirigé l’Union à plusieurs reprises, un engagement qui témoigne de sa volonté de renforcer les liens entre le Maroc et le monde arabe, et de promouvoir la place de l'écrivain dans la société marocaine.
Les interventions des différentes personnalités présentes lors de l’hommage ont unanimement salué l’impact durable de Mohamed Berrada. Son engagement constant dans l’enseignement, la traduction et la transmission de la passion du roman a été particulièrement mis en avant. Le moment fort de la soirée a été la remise d’un trophée honorifique par Latifa Mouftakir, commissaire du SIEL, un geste symbolique chaleureusement applaudi par l’assistance.
Mohamed Berrada, né en 1938, est l’auteur d'œuvres phares telles que «Lumière fuyante», «Comme un été qui ne reviendra pas», «Vies voisines» et «Le jeu de l’oubli». Des titres qui restent des références majeures dans le paysage littéraire marocain et arabe. À travers ces œuvres et son engagement, il s’est imposé comme une figure incontournable de la littérature moderne.
Ainsi, cette cérémonie ne s'est pas seulement limitée à un hommage personnel, mais s’est transformée en un plaidoyer pour la nécessité de réformes profondes dans la culture et la littérature marocaines. Mohamed Berrada, par sa voix et son œuvre, continue d'inspirer les générations futures tout en restant un acteur clé dans les débats intellectuels et sociopolitiques du pays.