Pour Leila Meziane, doyenne de la Faculté et présidente du Festival, cette édition marque un tournant : «Aujourd’hui, la culture ne se limite plus à une expression symbolique : elle est devenue un moteur fondamental de développement et un outil efficace de diplomatie douce, renforçant les valeurs de coexistence, d’ouverture et de dialogue.»
Un espace de formation et de rayonnement
Depuis sa création en 1988, le FITUC s’est imposé comme l’un des plus anciens et prestigieux festivals universitaires du monde arabe et d’Afrique. À chaque édition, des étudiants issus de diverses cultures s’y rencontrent pour partager leurs visions, leurs pratiques scéniques et leurs langages artistiques.
Cette année, des troupes venues d’Italie, d’Allemagne, de Tunisie ou encore de différentes universités marocaines monteront sur les planches, avec des pièces aux formats variés, parfois engagées, parfois expérimentales. En parallèle, le Festival propose une série d’ateliers de formation, animés par des experts internationaux. Théâtre d’image, travail du masque, langage du corps ou encore dramaturgies hybrides : autant d’axes de recherche artistique explorés durant cinq jours de rencontres intenses.
Un hommage à la transmission
L’un des temps forts de cette édition a été le double hommage rendu à deux personnalités qui incarnent l’esprit du Festival : le professeur et homme de théâtre Abdelmajid Fennich, salué pour son engagement indéfectible en faveur des arts et de la formation des jeunes, et la journaliste Nezha Hamidi Idrissi, dont les écrits ont accompagné le Festival avec une rare fidélité et une plume pleine de sensibilité.
En honorant ces figures du monde artistique et médiatique, le FITUC souligne le rôle transversal de la culture dans la construction d’une société ouverte, éclairée et solidaire.
Casablanca, scène ouverte au monde
À travers ce Festival, Casablanca continue d’affirmer son rôle de carrefour culturel et universitaire. Le FITUC s’inscrit pleinement dans le renouveau culturel de la métropole et dans les mutations que connaissent les universités marocaines, de plus en plus investies dans les sciences humaines, les arts et les pratiques créatives.
Selon Leila Meziane, cette édition est plus qu’un événement. «C’est un manifeste vivant de ce que peut être une université engagée dans son époque : un lieu où l’art sert la diplomatie, où les jeunes deviennent les ambassadeurs d’un Maroc créatif et ouvert sur le monde.»
Un espace de formation et de rayonnement
Depuis sa création en 1988, le FITUC s’est imposé comme l’un des plus anciens et prestigieux festivals universitaires du monde arabe et d’Afrique. À chaque édition, des étudiants issus de diverses cultures s’y rencontrent pour partager leurs visions, leurs pratiques scéniques et leurs langages artistiques.
Cette année, des troupes venues d’Italie, d’Allemagne, de Tunisie ou encore de différentes universités marocaines monteront sur les planches, avec des pièces aux formats variés, parfois engagées, parfois expérimentales. En parallèle, le Festival propose une série d’ateliers de formation, animés par des experts internationaux. Théâtre d’image, travail du masque, langage du corps ou encore dramaturgies hybrides : autant d’axes de recherche artistique explorés durant cinq jours de rencontres intenses.
Un hommage à la transmission
L’un des temps forts de cette édition a été le double hommage rendu à deux personnalités qui incarnent l’esprit du Festival : le professeur et homme de théâtre Abdelmajid Fennich, salué pour son engagement indéfectible en faveur des arts et de la formation des jeunes, et la journaliste Nezha Hamidi Idrissi, dont les écrits ont accompagné le Festival avec une rare fidélité et une plume pleine de sensibilité.
En honorant ces figures du monde artistique et médiatique, le FITUC souligne le rôle transversal de la culture dans la construction d’une société ouverte, éclairée et solidaire.
Casablanca, scène ouverte au monde
À travers ce Festival, Casablanca continue d’affirmer son rôle de carrefour culturel et universitaire. Le FITUC s’inscrit pleinement dans le renouveau culturel de la métropole et dans les mutations que connaissent les universités marocaines, de plus en plus investies dans les sciences humaines, les arts et les pratiques créatives.
Selon Leila Meziane, cette édition est plus qu’un événement. «C’est un manifeste vivant de ce que peut être une université engagée dans son époque : un lieu où l’art sert la diplomatie, où les jeunes deviennent les ambassadeurs d’un Maroc créatif et ouvert sur le monde.»
