La ville de Casablanca se prépare à accueillir un événement artistique spécial alors qu’un éléphant géant s’apprête à arpenter ses rues lors d’une déambulation théâtrale captivante les 8 et 9 avril prochains. Cette initiative inédite, intitulée «Éléphant en Méditerranée», est le fruit d’une collaboration entre l’association Racines et la compagnie brésilienne Pigmalião (Escultura Que Mexe).
Au cœur de cette performance théâtrale se trouve une marionnette d’éléphant impressionnante mesurant 4 mètres de haut, 3 mètres de large et 1,5 mètre de profondeur. À bord de cette créature majestueuse se trouvent des comédiens qui partageront des histoires poignantes, des anecdotes inspirantes et des situations vécues par les migrants.«Éléphant en Méditerranée» ne se contente pas de divertir, il aspire à provoquer une réflexion profonde sur les enjeux de la migration, de l’altérité et du racisme. À travers les récits contés et les scènes jouées, les spectateurs seront invités à explorer les diverses réalités et expériences des migrants, créant ainsi une véritable catharsis collective.
Le choix de l’éléphant comme personnage principal de cette déambulation théâtrale n’est pas anodin. En effet, cette créature emblématique représente la force, la puissance et la sagesse, mais elle évoque également un sentiment de fragilité et de vulnérabilité face aux défis de la migration, de l’altérité et du racisme.
«Éléphant en Méditerranée» offre une opportunité exceptionnelle de dialogue et de connexion à travers l’art. Il vise à susciter une libération émotionnelle collective. «Les Marocains vivent de nouvelles configurations et transformations liées à la présence de nouvelles communautés de migrants dans l’espace public et dans leur vie quotidienne. “Elephant in the Mediterranean” remonte à la “Poétique” d’Aristote pour tenter de reconstruire la Catharsis à travers les deux émotions qui la constituent, l’horreur et la pitié.
Dans un contexte où une catégorie d’individus, porteurs d’identités et de cultures différentes, partage le même territoire, les mêmes réalités quotidiennes et les mêmes espaces, l’horreur et la pitié apparaissent comme deux éléments déterminants d’une nouvelle catharsis. L’horreur et la pitié sont deux composantes de la direction artistique de cette déambulation théâtrale», indique un communiqué de l’association Racines.
Les représentations auront lieu à des endroits emblématiques de Casablanca, y compris les anciens Abattoirs de Casablanca/L’battoir le 8 avril à 16 h 30 et la place Bechar El Kheir (Hay Mohammadi) le 9 avril à 16 h 30. Ces événements sont une occasion unique de vivre une expérience théâtrale immersive et engagée au cœur de la ville.
Après son passage à Casablanca, «Éléphant en Méditerranée» continuera son périple à travers le Maroc, avec des représentations prévues à Tiznit le 16 avril, à Zagora le 18 avril, et à M’hamid El Ghizlane le 1er novembre, lors de l’ouverture du Festival Taragalte. D’autres dates seront annoncées ultérieurement.
Au cœur de cette performance théâtrale se trouve une marionnette d’éléphant impressionnante mesurant 4 mètres de haut, 3 mètres de large et 1,5 mètre de profondeur. À bord de cette créature majestueuse se trouvent des comédiens qui partageront des histoires poignantes, des anecdotes inspirantes et des situations vécues par les migrants.«Éléphant en Méditerranée» ne se contente pas de divertir, il aspire à provoquer une réflexion profonde sur les enjeux de la migration, de l’altérité et du racisme. À travers les récits contés et les scènes jouées, les spectateurs seront invités à explorer les diverses réalités et expériences des migrants, créant ainsi une véritable catharsis collective.
Le choix de l’éléphant comme personnage principal de cette déambulation théâtrale n’est pas anodin. En effet, cette créature emblématique représente la force, la puissance et la sagesse, mais elle évoque également un sentiment de fragilité et de vulnérabilité face aux défis de la migration, de l’altérité et du racisme.
«Éléphant en Méditerranée» offre une opportunité exceptionnelle de dialogue et de connexion à travers l’art. Il vise à susciter une libération émotionnelle collective. «Les Marocains vivent de nouvelles configurations et transformations liées à la présence de nouvelles communautés de migrants dans l’espace public et dans leur vie quotidienne. “Elephant in the Mediterranean” remonte à la “Poétique” d’Aristote pour tenter de reconstruire la Catharsis à travers les deux émotions qui la constituent, l’horreur et la pitié.
Dans un contexte où une catégorie d’individus, porteurs d’identités et de cultures différentes, partage le même territoire, les mêmes réalités quotidiennes et les mêmes espaces, l’horreur et la pitié apparaissent comme deux éléments déterminants d’une nouvelle catharsis. L’horreur et la pitié sont deux composantes de la direction artistique de cette déambulation théâtrale», indique un communiqué de l’association Racines.
Les représentations auront lieu à des endroits emblématiques de Casablanca, y compris les anciens Abattoirs de Casablanca/L’battoir le 8 avril à 16 h 30 et la place Bechar El Kheir (Hay Mohammadi) le 9 avril à 16 h 30. Ces événements sont une occasion unique de vivre une expérience théâtrale immersive et engagée au cœur de la ville.
Après son passage à Casablanca, «Éléphant en Méditerranée» continuera son périple à travers le Maroc, avec des représentations prévues à Tiznit le 16 avril, à Zagora le 18 avril, et à M’hamid El Ghizlane le 1er novembre, lors de l’ouverture du Festival Taragalte. D’autres dates seront annoncées ultérieurement.