La sélection de cette 13ᵉ édition fait la part belle à la diversité géographique et stylistique du monde arabe. Elle rassemble des écrivaines et écrivains issus de sept pays (Égypte, Liban, Libye, Maroc, Palestine, Tunisie et Algérie), avec des textes publiés entre septembre 2024 et septembre 2025 par des maisons d’édition françaises de renom.
Des rencontres littéraires avec les auteur(e)s finalistes se tiendront, de septembre à novembre 2025, à la Bibliothèque de l’Institut du Monde arabe (IMA) à Paris, offrant au public un espace d’échange et de découverte. Le jury, composé de personnalités issues des milieux médiatique, artistique, académique, ainsi que de spécialistes du monde arabe, se réunira à l’automne sous la présidence d’Alexandre Najjar – avocat, écrivain et lauréat du Grand Prix de la francophonie 2020 – afin de délibérer et désigner le ou la lauréat(e) de cette nouvelle édition. Le nom du ou de la lauréat(e) sera dévoilé le 18 novembre 2025, à l’occasion d’une cérémonie officielle organisée à l’IMA.
Un Prix unique en son genre
Créé en 2013 par la Fondation Jean-Luc Lagardère et l’Institut du Monde arabe, le Prix de la littérature arabe est l’une des rares distinctions françaises à valoriser la création littéraire venue du monde arabe, qu’elle soit écrite en arabe et traduite en français, ou directement rédigée en français. Dotée de 8.000 euros, cette récompense vise à faire découvrir au public francophone des voix puissantes et singulières.
Cette année, une attention particulière sera également portée à la traduction, avec un Prix spécifique de 2.000 euros décerné à l’un(e)des traducteurs ou traductrices des œuvres arabes sélectionnées.
Dans une volonté d’élargir l’accès à la culture et à la diversité littéraire, une édition spéciale du Prix à destination des lycéens a été créée en 2023. En 2025, quatre établissements secondaires participent à cette initiative éducative en votant pour leur œuvre préférée.
Des rencontres littéraires avec les auteur(e)s finalistes se tiendront, de septembre à novembre 2025, à la Bibliothèque de l’Institut du Monde arabe (IMA) à Paris, offrant au public un espace d’échange et de découverte. Le jury, composé de personnalités issues des milieux médiatique, artistique, académique, ainsi que de spécialistes du monde arabe, se réunira à l’automne sous la présidence d’Alexandre Najjar – avocat, écrivain et lauréat du Grand Prix de la francophonie 2020 – afin de délibérer et désigner le ou la lauréat(e) de cette nouvelle édition. Le nom du ou de la lauréat(e) sera dévoilé le 18 novembre 2025, à l’occasion d’une cérémonie officielle organisée à l’IMA.
Un Prix unique en son genre
Créé en 2013 par la Fondation Jean-Luc Lagardère et l’Institut du Monde arabe, le Prix de la littérature arabe est l’une des rares distinctions françaises à valoriser la création littéraire venue du monde arabe, qu’elle soit écrite en arabe et traduite en français, ou directement rédigée en français. Dotée de 8.000 euros, cette récompense vise à faire découvrir au public francophone des voix puissantes et singulières.
Cette année, une attention particulière sera également portée à la traduction, avec un Prix spécifique de 2.000 euros décerné à l’un(e)des traducteurs ou traductrices des œuvres arabes sélectionnées.
Dans une volonté d’élargir l’accès à la culture et à la diversité littéraire, une édition spéciale du Prix à destination des lycéens a été créée en 2023. En 2025, quatre établissements secondaires participent à cette initiative éducative en votant pour leur œuvre préférée.
Œuvres sélectionnées
• «Je suis ma liberté» (Hikayat jidar), de Nasser Abu Srour (Palestine), traduit de l’arabe par Stéphanie Dujols, Gallimard.
• «Un goût de thé amer», de Mohammed Alnaas (Libye), traduit de l’arabe par Sara Roffo, Éditins Le Bruit du monde.
• «La Naturalisation», de Zied Bakir (Tunisie), Éditions Grasset.
• «Je me regarderai dans les yeux», de Rim Battal (Maroc), Éditions Bayard.
• «La Danse du paon», de Hanan El-Cheikh (Liban), traduit par Khaled Osman, Éditions Sindbad /Actes Sud.
• «La Fin du Sahara», de Said Khatibi (Algérie), traduit de l’arabe par Lotfi Nia, Série Noire, Gallimard.
• «Brève histoire de la Création et de l’Est du Caire», de Shady Lewis (Égypte), traduit de l’arabe par May Rostom et Sophie Pommier, Éditions Sindbad /Actes Sud.
• «Pays amer», de Georgia Makhlouf (Liban), Éditions Les Presses de la Cité.
• «Un goût de thé amer», de Mohammed Alnaas (Libye), traduit de l’arabe par Sara Roffo, Éditins Le Bruit du monde.
• «La Naturalisation», de Zied Bakir (Tunisie), Éditions Grasset.
• «Je me regarderai dans les yeux», de Rim Battal (Maroc), Éditions Bayard.
• «La Danse du paon», de Hanan El-Cheikh (Liban), traduit par Khaled Osman, Éditions Sindbad /Actes Sud.
• «La Fin du Sahara», de Said Khatibi (Algérie), traduit de l’arabe par Lotfi Nia, Série Noire, Gallimard.
• «Brève histoire de la Création et de l’Est du Caire», de Shady Lewis (Égypte), traduit de l’arabe par May Rostom et Sophie Pommier, Éditions Sindbad /Actes Sud.
• «Pays amer», de Georgia Makhlouf (Liban), Éditions Les Presses de la Cité.
