L’humour au service de la critique sociale : C’est résolument le style de shows préféré des Marocains. Durant cette heure que dure le spectacle, aucun éclat de rire ne sera gratuit, car Waly Dia se livre à son sport préféré : la critique acerbe des absurdités et des injustices qui façonnent le quotidien. Plus politique que jamais, l’humoriste s’attaque à des sujets divers, depuis le phénomène du «Macronisme» aux dysfonctionnements de la police, en passant par la montée du racisme décomplexé, le sexisme et l’homophobie. Tout le monde en prend pour son grade !
Co-écrit avec Mickaël Quiroga, le spectacle se caractérise par un sens aigu de l’observation et le talent de transformer les revendications populaires en punchlines percutantes. «Il n’y a sans doute pas de meilleure catharsis pour les gens de gauche que le nouveau spectacle de Waly Dia», écrit «Le Monde», soulignant l’habileté avec laquelle l’artiste aborde les sujets clivants de notre époque.
Mais on peut compter sur l’adaptabilité de l’artiste, qui n’est pas un inconnu au Maroc. Depuis sa première apparition au «Marrakech du rire» en 2013, il s’est produit à plusieurs reprises dans le pays, notamment au Festival Moca de Rabat en 2023. Cette expérience lui permet de mieux comprendre le public local. En outre, son humour aborde des sujets universels comme l’injustice et les inégalités, qui résonnent aussi au Maroc.
Seule constante chez ce touche-à-tout : son engagement infaillible pour la justice. Il est d’ailleurs chroniqueur régulier sur «France Inter», avec Charline Vanhoenacker, au «Grand Dimanche soir». S’il est l’un des rares à ne pas avoir quitté la station après le licenciement controversé de Guillaume Meurice, c’est parce que «le propos devient de plus en plus rare. Dans les grandes caisses de résonance, ce type d’humour, de discours n’existe plus, que ce soit sur “RTL”, sur “Europe 1”... “France Inter”, c’est le dernier espace et il est voué à être détruit, mais tant qu’il existe encore, autant y aller», déclare-t-il au «Parisien».
Pour info, plus de 80% des tickets sont d’ores et déjà vendus. Les dernières places sont disponibles sur ticket.ma.
Co-écrit avec Mickaël Quiroga, le spectacle se caractérise par un sens aigu de l’observation et le talent de transformer les revendications populaires en punchlines percutantes. «Il n’y a sans doute pas de meilleure catharsis pour les gens de gauche que le nouveau spectacle de Waly Dia», écrit «Le Monde», soulignant l’habileté avec laquelle l’artiste aborde les sujets clivants de notre époque.
Un défi pour le public marocain
Mais si Waly Dia a su séduire le public français avec «Une heure à tuer», conquérir le public marocain représente un défi particulier, principalement en raison des thématiques choisies qui restent très ancrées dans le contexte sociopolitique français. Même si beaucoup de Marocains suivent de près l’actualité française, les autres peuvent se perdre en références.Mais on peut compter sur l’adaptabilité de l’artiste, qui n’est pas un inconnu au Maroc. Depuis sa première apparition au «Marrakech du rire» en 2013, il s’est produit à plusieurs reprises dans le pays, notamment au Festival Moca de Rabat en 2023. Cette expérience lui permet de mieux comprendre le public local. En outre, son humour aborde des sujets universels comme l’injustice et les inégalités, qui résonnent aussi au Maroc.
L’engagement, toujours
Waly Dia s’est imposé sur la scène humoristique grâce à son talent unique pour l’improvisation et son engagement social. S’il a fait ses débuts dans l’émission de Laurent Ruquier «On n’demande qu’à en rire», l’artiste a fait un carton dans le «Jamel Comedy Club», avant de multiplier les shows et les apparitions à la télévision et au cinéma.Seule constante chez ce touche-à-tout : son engagement infaillible pour la justice. Il est d’ailleurs chroniqueur régulier sur «France Inter», avec Charline Vanhoenacker, au «Grand Dimanche soir». S’il est l’un des rares à ne pas avoir quitté la station après le licenciement controversé de Guillaume Meurice, c’est parce que «le propos devient de plus en plus rare. Dans les grandes caisses de résonance, ce type d’humour, de discours n’existe plus, que ce soit sur “RTL”, sur “Europe 1”... “France Inter”, c’est le dernier espace et il est voué à être détruit, mais tant qu’il existe encore, autant y aller», déclare-t-il au «Parisien».
Pour info, plus de 80% des tickets sont d’ores et déjà vendus. Les dernières places sont disponibles sur ticket.ma.