Pour comprendre l’enthousiasme qu’elle suscite, il faut rappeler que la 5G n’est pas une simple montée en puissance de la 4G. Elle constitue une rupture fondée sur trois fondamentaux : un débit jusqu’à 100 fois plus rapide, une latence quasi nulle et l’Edge Computing, c’est-à-dire la capacité de traiter les données au plus près de l’utilisateur.
Cette architecture ouvre la voie à la massification de l’Internet des Objets, aux expériences immersives (réalité augmentée, réalité virtuelle), à l’automatisation industrielle ou encore à la connexion en simultané de millions d’appareils. Comme le résume Amine Khyattei, fondateur de KWIKS, «la 5G n’est pas seulement la rapidité. C’est la gestion simultanée de volumes massifs de data, une latence extrêmement faible, et l’entrée dans une ère où le traitement se fait quasiment en temps réel grâce à l’Edge Computing».
Ces avancées bousculent l’ensemble des secteurs : santé, finance, logistique, éducation, industrie, commerce, agriculture. Et elles établissent un nouveau socle pour la productivité des entreprises marocaines.
Cette architecture ouvre la voie à la massification de l’Internet des Objets, aux expériences immersives (réalité augmentée, réalité virtuelle), à l’automatisation industrielle ou encore à la connexion en simultané de millions d’appareils. Comme le résume Amine Khyattei, fondateur de KWIKS, «la 5G n’est pas seulement la rapidité. C’est la gestion simultanée de volumes massifs de data, une latence extrêmement faible, et l’entrée dans une ère où le traitement se fait quasiment en temps réel grâce à l’Edge Computing».
Ces avancées bousculent l’ensemble des secteurs : santé, finance, logistique, éducation, industrie, commerce, agriculture. Et elles établissent un nouveau socle pour la productivité des entreprises marocaines.
L'enjeu d'accélération de l’écosystème startup
L’État a fixé des objectifs clairs. À l’horizon 2030, le royaume ambitionne de mobiliser 7 milliards de dirhams de financement, de faire émerger 10 «gazelles» (entreprises réalisant plus de 5 millions de dollars de chiffre d’affaires) et 1 à 2 licornes marocaines. Cette stratégie repose sur trois piliers :
- Former massivement les talents.
- Créer une offre nationale de services cloud compétitive.
- Soutenir les PME technologiques via le label «PME Tech» et des programmes d’appui aux projets innovants, notamment en IA.
Dans cette logique, la 5G apparaît comme la condition sine qua non pour déclencher de nouvelles dynamiques entrepreneuriales. Pour Nadia El Moudden, experte en stratégie numérique, «dans l’histoire économique moderne, chaque révolution technologique a déclenché un boom entrepreneurial. La 5G est l’infrastructure qui peut permettre au Maroc de changer d’échelle en innovation».
La 5G comme catalyseur d’innovation : une fenêtre de tir unique pour les startups
Pour les startups, l’arrivée de la 5G n’est pas simplement bénéfique : elle est décisive. «C’est maintenant ou jamais», affirme un jeune fondateur d’une startup marocaine en fintech. Il explique dans ce sens que «la 5G ouvre des possibilités techniques que nous n’avions jamais eues. On peut tester, développer et déployer beaucoup plus vite. Cela change littéralement les règles du jeu». L’une des principales transformations se situe dans la réduction massive du churn, c’est-à-dire le taux d’utilisateurs qui quittent une application.
Grâce à l’absence de latence, l’expérience devient fluide, immédiate, satisfaisante. L'invité de «L'Info en Face» en témoigne : «Une application lente perd ses utilisateurs. Avec la 5G, nous pouvons diviser le churn par deux. C’est du chiffre d’affaires en plus, mais surtout une fidélisation durable». Pour une startup, réduire un churn de 20 % à 10 % peut représenter des centaines de milliers de dirhams économisés.
Grâce à l’absence de latence, l’expérience devient fluide, immédiate, satisfaisante. L'invité de «L'Info en Face» en témoigne : «Une application lente perd ses utilisateurs. Avec la 5G, nous pouvons diviser le churn par deux. C’est du chiffre d’affaires en plus, mais surtout une fidélisation durable». Pour une startup, réduire un churn de 20 % à 10 % peut représenter des centaines de milliers de dirhams économisés.
Des agents IA plus rapides et plus intelligents : la révolution KWIKS
La 5G permet l’émergence d’une nouvelle génération d’assistants intelligents. KWIKS, spécialiste de la talent acquisition via l’IA, illustre parfaitement cette révolution. L’entreprise développe une série d’agents spécialisés : préqualification en visio, simulation d’entretien, analyse du marché en temps réel... Et l’arrivée de la 5G accélère tout. «Grâce à l’Edge Computing, l’analyse et la réponse de l’agent IA se font en temps réel. Cela change toute l’expérience candidat. Nous sommes même capables de développer un agent IA en 4 ou 5 jours», explique M. Khyattei. Cette rapidité d’exécution fait écho au principal défi des startups marocaines : l’accès au financement.
«Le problème n’est pas seulement l’argent, mais la lenteur des processus », explique-t-il. Lorsque la technologie avance très vite, « attendre un an pour débloquer 500.000 dirhams, c’est se tirer une balle dans le pied».
«Le problème n’est pas seulement l’argent, mais la lenteur des processus », explique-t-il. Lorsque la technologie avance très vite, « attendre un an pour débloquer 500.000 dirhams, c’est se tirer une balle dans le pied».
Des startuppers témoignent
1. HealthTech-la télémédecine sans latence : Pour Driss El Hanafi, fondateur d’une startup de télémédecine, «avec la 5G, on peut envisager des diagnostics en visioconférence haute définition, sans coupure, même depuis des zones éloignées. Cela révolutionne l’accès aux soins». La latence réduite permet de transmettre en direct des données biométriques, des images haute résolution ou des signaux vitaux. La télé-expertise devient plus fiable et plus accessible.
2. EdTech-une nouvelle expérience d’apprentissage : Selon Samia Lahlou, fondatrice d’une startup EdTech, «imaginez une classe où les étudiants utilisent la réalité augmentée pour manipuler des objets scientifiques, explorer des modèles 3D ou visiter des lieux historiques en immersion. La 5G rend cela possible à grande échelle». L’interactivité et la qualité de l’image deviennent dignes des meilleures plateformes internationales.
3. Logistique-le Maroc, hub africain de smart supply chain : Pour Yassir Boukhriss, entrepreneur dans la logistique, «la 5G, c’est la possibilité de suivre chaque colis en temps réel, avec une précision jamais atteinte. Cela nous rapproche des standards de Singapour ou de Rotterdam». Le Maroc pourrait ainsi renforcer l’écosystème autour de Tanger Med, déjà considéré comme l’un des hubs portuaires les plus performants au monde.
2. EdTech-une nouvelle expérience d’apprentissage : Selon Samia Lahlou, fondatrice d’une startup EdTech, «imaginez une classe où les étudiants utilisent la réalité augmentée pour manipuler des objets scientifiques, explorer des modèles 3D ou visiter des lieux historiques en immersion. La 5G rend cela possible à grande échelle». L’interactivité et la qualité de l’image deviennent dignes des meilleures plateformes internationales.
3. Logistique-le Maroc, hub africain de smart supply chain : Pour Yassir Boukhriss, entrepreneur dans la logistique, «la 5G, c’est la possibilité de suivre chaque colis en temps réel, avec une précision jamais atteinte. Cela nous rapproche des standards de Singapour ou de Rotterdam». Le Maroc pourrait ainsi renforcer l’écosystème autour de Tanger Med, déjà considéré comme l’un des hubs portuaires les plus performants au monde.
La 5G au service d’une économie plus productive
Le principal axe de Maroc Digital 2030 concernant la transformation des entreprises repose sur trois leviers :
- Former les talents, notamment en IA, cybersécurité, cloud et analyse de données.
- Créer un marché national de solutions numériques, développé par des entreprises marocaines.
- Accompagner les TPME dans leur transition digitale, avec des subventions et un outil d’évaluation de leur maturité numérique.
La 5G se positionne comme l’accélérateur de tout cela. Elle permettra ainsi une automatisation plus poussée des process industriels, des solutions cloud plus performantes et moins coûteuses, une cybersécurité renforcée grâce aux traitements distribués et des expériences nouvelles pour le e-commerce, le tourisme ou la culture. Pour l’expert en transformation digitale Hassan Faraji, «la 5G n’est pas un gadget. C’est l’infrastructure qui conditionne la compétitivité de demain. Les entreprises marocaines qui ne s’y préparent pas seront dépassées».
En intégrant la 5G au cœur de Maroc Digital 2030, le Maroc se place résolument sur la voie des nations qui investissent dans l’avenir.
Les promesses sont claires : plus d’emplois digitaux, plus de compétitivité, plus d’innovations locales, plus de startups capables de rayonner internationalement. L’arrivée de la 5G doit être vue comme un «moment fondateur», un virage qui peut :
En intégrant la 5G au cœur de Maroc Digital 2030, le Maroc se place résolument sur la voie des nations qui investissent dans l’avenir.
Les promesses sont claires : plus d’emplois digitaux, plus de compétitivité, plus d’innovations locales, plus de startups capables de rayonner internationalement. L’arrivée de la 5G doit être vue comme un «moment fondateur», un virage qui peut :
- Faire ire émerger les futures licornes marocaines.
- Renforcer le positionnement du pays comme hub technologique africain.
- Accélérer la transformation des entreprises.
- Préparer le basculement vers la 6G dans la prochaine décennie.
Comme le résume un startupper de la HealthTech : «La 5G, ce n’est pas une opportunité. C’est une obligation. Si nous ne la saisissons pas maintenant, d’autres le feront à notre place».
Amine Khyattei : La 5G est une véritable révolution pour les startups marocaines
Fondé par Amine Khyattei, KWIKS s’impose comme l’une des startups marocaines pionnières dans l’utilisation de l’IA pour le recrutement. À l’heure où le Maroc active le déploiement de la 5G, l’entrepreneur y voit une opportunité stratégique majeure pour l’écosystème. Dans cet entretien accordé à L’Info en Face, il explique pourquoi.
Quels usages très concrets cela permet pour KWIKS ?
Nous développons plusieurs agents IA spécialisés. Par exemple, Nour, notre agent de préqualification en visioconférence, doit analyser, traiter et répondre instantanément. Aujourd’hui encore, une partie du traitement se fait sur des serveurs éloignés. Avec la 5G et l’Edge Computing, tout devient quasi immédiat. Nous prévoyons de lancer cinq ou six agents d’ici fin 2026, chacun avec un rôle précis : préqualification, simulation d’entretien, analyse temps réel du marché, etc.
Au-delà de la technologie, quels bénéfices pour une startup ?
Productivité, performance et rentabilité. Une application lente perd ses utilisateurs : c’est le fameux churn. Aujourd’hui, il peut atteindre 20%. Avec la 5G, nous pouvons descendre à 10%. Cela change tout : une expérience fluide fidélise, et fidéliser, c’est gagner de l’argent.
La CAN approche. Est-il réaliste de développer rapidement des solutions basées sur la 5G ?
Oui, totalement. Avec les technologies actuelles, une première version d’un agent IA peut être prête en quatre ou cinq jours. La CAN pourrait servir de laboratoire pour tester des services innovants destinés ensuite à la Coupe du monde 2030. Ce serait un énorme levier pour la visibilité du Maroc.
Pensez-vous que les startups marocaines mesurent vraiment le potentiel de la 5G ?
Pas encore. Pourtant, le moment est idéal. Les utilisateurs marocains – et encore plus la diaspora – consomment du digital et de l’IA au quotidien. La 5G permet enfin de proposer des expériences immersives : réalité augmentée autour des stades, guidage intelligent, assistants IA contextuels... On aurait pu voir émerger déjà des solutions, comme au Qatar en 2022.
Une partie du débat public reste focalisée sur la crainte de pertes d’emplois liées à l’IA...
C’est un faux débat. Nous entrons dans une ère du copilotage : un humain, un agent IA. Dans certains pays, des règles émergent pour limiter le recours excessif à l’IA afin de protéger l’emploi, comme en Arabie saoudite. Ce sont des enjeux politiques, mais technologiquement, nous allons vers une multiplication des agents IA spécialisés – peut-être 20 000 d’ici deux ans.
Quelle est la prochaine étape technique ?
L’interconnexion. Quand un candidat effectue une simulation d’entretien avec un agent, celui-ci pourra échanger automatiquement avec l’agent chargé de la préqualification. Cette communication fluide entre agents IA nécessite un réseau ultra-rapide, exactement ce qu’offre la 5G.
Les startups évoquent régulièrement les difficultés d’accès au financement. Le voyez-vous au quotidien ?
Oui, clairement. Obtenir 500 000 dirhams peut prendre un an... alors que nous pouvons développer une innovation majeure en un mois. Il y a un décalage entre le rythme de l’administration et celui de la technologie. Le fonds catalytique annoncé est une excellente nouvelle, mais tout dépendra de la rapidité d’exécution.
La 5G est très liée à l’industrie 4.0. Est-ce un terrain fertile pour les startups marocaines ?
Oui, mais seulement sur des briques spécifiques. L’industrie implique souvent des investissements lourds, notamment en robotisation. Les startups marocaines peuvent se positionner sur des niches : automatisation, analyse, gestion de process. On n’a pas besoin d’inventer la roue : on peut importer le savoir-faire et l’adapter.
La massification de la data augmente aussi les risques. Le Maroc est-il prêt ?
Il faut distinguer la circulation de la data – qui est un facteur de performance – et sa sécurisation. La récente cyberattaque de la CNSS montre qu’il faut des standards internationaux, et une labellisation des entreprises respectant l’éthique et la sécurité. Les utilisateurs sont prêts au partage, mais pas à l’insécurité.
En conclusion, que représente la 5G pour l’écosystème ?
Une opportunité historique. La connectivité n’est plus un frein : fibre, 5G, bientôt 6G. Maintenant, c’est aux startups de jouer. Inventer, créer, adapter, tester. Le Maroc a les talents, l’énergie, et désormais l’infrastructure. C’est à nous d’en faire une force.
Le Matin : Le Maroc vient de lancer le déploiement de la 5G. Est-ce déjà une opportunité concrète pour les startups ?
Amine Khyattei : Absolument. Et c’est même surprenant qu’on n’en parle pas davantage. La 5G n’est pas qu’une histoire de vitesse. Elle repose sur trois piliers : un débit beaucoup plus élevé, une latence quasi nulle, et surtout l’Edge Computing, c’est-à-dire la possibilité d’installer des serveurs au plus près des utilisateurs. Pour les startups, cela ouvre la voie à de nouveaux services, notamment des agents IA ultra-personnalisés, capables de fonctionner en temps réel.
Quels usages très concrets cela permet pour KWIKS ?
Nous développons plusieurs agents IA spécialisés. Par exemple, Nour, notre agent de préqualification en visioconférence, doit analyser, traiter et répondre instantanément. Aujourd’hui encore, une partie du traitement se fait sur des serveurs éloignés. Avec la 5G et l’Edge Computing, tout devient quasi immédiat. Nous prévoyons de lancer cinq ou six agents d’ici fin 2026, chacun avec un rôle précis : préqualification, simulation d’entretien, analyse temps réel du marché, etc.
Au-delà de la technologie, quels bénéfices pour une startup ?
Productivité, performance et rentabilité. Une application lente perd ses utilisateurs : c’est le fameux churn. Aujourd’hui, il peut atteindre 20%. Avec la 5G, nous pouvons descendre à 10%. Cela change tout : une expérience fluide fidélise, et fidéliser, c’est gagner de l’argent.
La CAN approche. Est-il réaliste de développer rapidement des solutions basées sur la 5G ?
Oui, totalement. Avec les technologies actuelles, une première version d’un agent IA peut être prête en quatre ou cinq jours. La CAN pourrait servir de laboratoire pour tester des services innovants destinés ensuite à la Coupe du monde 2030. Ce serait un énorme levier pour la visibilité du Maroc.
Pensez-vous que les startups marocaines mesurent vraiment le potentiel de la 5G ?
Pas encore. Pourtant, le moment est idéal. Les utilisateurs marocains – et encore plus la diaspora – consomment du digital et de l’IA au quotidien. La 5G permet enfin de proposer des expériences immersives : réalité augmentée autour des stades, guidage intelligent, assistants IA contextuels... On aurait pu voir émerger déjà des solutions, comme au Qatar en 2022.
Une partie du débat public reste focalisée sur la crainte de pertes d’emplois liées à l’IA...
C’est un faux débat. Nous entrons dans une ère du copilotage : un humain, un agent IA. Dans certains pays, des règles émergent pour limiter le recours excessif à l’IA afin de protéger l’emploi, comme en Arabie saoudite. Ce sont des enjeux politiques, mais technologiquement, nous allons vers une multiplication des agents IA spécialisés – peut-être 20 000 d’ici deux ans.
Quelle est la prochaine étape technique ?
L’interconnexion. Quand un candidat effectue une simulation d’entretien avec un agent, celui-ci pourra échanger automatiquement avec l’agent chargé de la préqualification. Cette communication fluide entre agents IA nécessite un réseau ultra-rapide, exactement ce qu’offre la 5G.
Les startups évoquent régulièrement les difficultés d’accès au financement. Le voyez-vous au quotidien ?
Oui, clairement. Obtenir 500 000 dirhams peut prendre un an... alors que nous pouvons développer une innovation majeure en un mois. Il y a un décalage entre le rythme de l’administration et celui de la technologie. Le fonds catalytique annoncé est une excellente nouvelle, mais tout dépendra de la rapidité d’exécution.
La 5G est très liée à l’industrie 4.0. Est-ce un terrain fertile pour les startups marocaines ?
Oui, mais seulement sur des briques spécifiques. L’industrie implique souvent des investissements lourds, notamment en robotisation. Les startups marocaines peuvent se positionner sur des niches : automatisation, analyse, gestion de process. On n’a pas besoin d’inventer la roue : on peut importer le savoir-faire et l’adapter.
La massification de la data augmente aussi les risques. Le Maroc est-il prêt ?
Il faut distinguer la circulation de la data – qui est un facteur de performance – et sa sécurisation. La récente cyberattaque de la CNSS montre qu’il faut des standards internationaux, et une labellisation des entreprises respectant l’éthique et la sécurité. Les utilisateurs sont prêts au partage, mais pas à l’insécurité.
En conclusion, que représente la 5G pour l’écosystème ?
Une opportunité historique. La connectivité n’est plus un frein : fibre, 5G, bientôt 6G. Maintenant, c’est aux startups de jouer. Inventer, créer, adapter, tester. Le Maroc a les talents, l’énergie, et désormais l’infrastructure. C’est à nous d’en faire une force.
Comment la 5G transforme le terrain de jeu des startups
La 5G ne se limite pas à une amélioration de la vitesse : elle redéfinit les possibilités technologiques des startups en combinant trois atouts majeurs :
1. Ultra-débit : des applications plus riches
Le débit 100 fois supérieur à la 4G permet de développer des services immersifs en réalité augmentée et virtuelle des plateformes cloud plus rapides ainsi que des expériences utilisateurs sans rupture.
2. Latence quasi nulle : l’instantané devient la norme
Idéal pour les agents d’intelligence artificielle, la télémédecine en haute définition, les véhicules autonomes et les services financiers en temps réel.
3. Edge Computing : le traitement des données au plus près
Il permet une sécurité renforcée, moins de congestion et un traitement ultra-rapide sans passer par des serveurs éloignés.
1. Ultra-débit : des applications plus riches
Le débit 100 fois supérieur à la 4G permet de développer des services immersifs en réalité augmentée et virtuelle des plateformes cloud plus rapides ainsi que des expériences utilisateurs sans rupture.
2. Latence quasi nulle : l’instantané devient la norme
Idéal pour les agents d’intelligence artificielle, la télémédecine en haute définition, les véhicules autonomes et les services financiers en temps réel.
3. Edge Computing : le traitement des données au plus près
Il permet une sécurité renforcée, moins de congestion et un traitement ultra-rapide sans passer par des serveurs éloignés.
