Le département de l’Agriculture poursuit le processus de reconversion des cultures en agriculture biologique. Le ministère s’apprête ainsi à accompagner les agriculteurs de la région de l’Oriental dans la reconversion en agriculture biologique. La superficie à reconvertir s’élève à 225 hectares. Ce projet s’inscrit dans la Stratégie nationale de développement agricole (Génération Green), alignée avec les principes de l’agroécologie et de la valorisation des produits du terroir. Le projet cible trois cultures principales dans la région à savoir l’olivier, l’amandier et le caroubier. Ces cultures présentent un fort potentiel économique et environnemental dans la région, tout en répondant à une demande croissante pour des produits certifiés biologiques sur les marchés national et international.
Le projet prévoit l’accompagnement des producteurs dans l’adoption des pratiques agricoles biologiques en respectant les normes et réglementations en vigueur. Pour obtenir la certification biologique, les agriculteurs seront guidés à travers le processus de certification, en assurant leur conformité avec les standards requis. Le dispositif portera également sur le renforcement des capacités des bénéficiaires à travers des formations sur les techniques spécifiques à l’agriculture biologique, la gestion des risques et les stratégies de valorisation économique des produits. Un suivi technique de la population d’agriculteurs cible sera assuré avec une évaluation continue des résultats afin de garantir la durabilité des actions entreprises.
Pour la valorisation des produits, des actions de promotion seront entreprises pour augmenter la valeur ajoutée sur le marché et diversifier les débouchés économiques des producteurs. «Ce projet s’inscrit dans une démarche intégrée visant à consolider les écosystèmes d’appui aux entrepreneurs agricoles dans la région tout en contribuant au développement territorial durable», souligne l’Agriculture. L’accompagnement s’inscrit dans le cadre du programme «Revitalisation des territoires ruraux marocains par l’emploi et l’entrepreneuriat dans le secteur agricole et para-agricole». Ce dernier a pour objectifs de développer les écosystèmes d’appui aux entrepreneurs et aux organisations de producteurs agricoles dans les territoires, doter les territoires d’infrastructures de commercialisation modernes et de zones d’activités para-agricoles, en tenant compte des besoins et renforcer l’environnement institutionnel dans les territoires.
Le projet prévoit l’accompagnement des producteurs dans l’adoption des pratiques agricoles biologiques en respectant les normes et réglementations en vigueur. Pour obtenir la certification biologique, les agriculteurs seront guidés à travers le processus de certification, en assurant leur conformité avec les standards requis. Le dispositif portera également sur le renforcement des capacités des bénéficiaires à travers des formations sur les techniques spécifiques à l’agriculture biologique, la gestion des risques et les stratégies de valorisation économique des produits. Un suivi technique de la population d’agriculteurs cible sera assuré avec une évaluation continue des résultats afin de garantir la durabilité des actions entreprises.
Pour la valorisation des produits, des actions de promotion seront entreprises pour augmenter la valeur ajoutée sur le marché et diversifier les débouchés économiques des producteurs. «Ce projet s’inscrit dans une démarche intégrée visant à consolider les écosystèmes d’appui aux entrepreneurs agricoles dans la région tout en contribuant au développement territorial durable», souligne l’Agriculture. L’accompagnement s’inscrit dans le cadre du programme «Revitalisation des territoires ruraux marocains par l’emploi et l’entrepreneuriat dans le secteur agricole et para-agricole». Ce dernier a pour objectifs de développer les écosystèmes d’appui aux entrepreneurs et aux organisations de producteurs agricoles dans les territoires, doter les territoires d’infrastructures de commercialisation modernes et de zones d’activités para-agricoles, en tenant compte des besoins et renforcer l’environnement institutionnel dans les territoires.
