Dans quelle filière/spécialité de l’agroalimentaire investir au Maroc ? C’est l’objet de la rencontre qu’a animé Eyad Sobh, directeur de Redmac Consulting et président de la Commission Commerce extérieur de la Fédération nationale de l’agroalimentaire (Fenagri), vendredi dernier, lors de la septième édition du Salon international de l’agroalimentaire, machinerie et emballage (Siema Morocco 2024). L’édition de cette année s’est tenue du 25 au 27 septembre à Casablanca.
Additifs alimentaires, champignons en conserve, valorisation des oignons, œufs en poudre, miel, fromages... font partie des exemples cités par le représentant de la Fenagri. Pour les fromages par exemple, explique ce dernier, «les importations sont encore très importantes». De ce fait, il existe une marge de manœuvre pour investir dans des unités de production locales.
C’est d’ailleurs pour cette raison que ces «spécialités» figurent parmi les 400 fiches-projets de la banque de projets «Import-Substitution» dans l’agroalimentaire disponible chez le ministère de l’Industrie et du commerce et mises à disposition de tout investisseur intéressé, marocain ou international.
Ces projets tournent autour de 6 filières prioritaires, rappelle Sobh : Pates & Couscous, Fruits & Légumes, Viandes, Produits laitiers, Biscuiterie-Confiserie-Chocolaterie et Huile d’olive.
Mais si la plupart des opportunités d’investissement (fiches-projets) portent sur des filières, segments ou spécialités traditionnellement très présentes dans le Royaume, d’autres concernent des produits relativement nouveaux au Maroc.
C’est le cas, par exemple, des aliments pour animaux de compagnie (Pet Food), spécialement ceux destinés aux chats. Et pour cause, la demande sur ces produits a significativement augmenté : les importations de ces produits ont totalisé 600 millions de DH, selon les derniers chiffres dont dispose le président de la commission Commerce extérieur de la Fenagri. Idem pour les fromages, explique Sobh, où les importations restent assez importantes.
Globalement, rappelle-t-il, la production agroalimentaire des 2.000 entreprises de l’agroalimentaire ne couvre que 70% des besoins nationaux en produits transformés, le restant (30%) étant alimenté par de l’importation. «C’est dans ces 30% qu’il y a des opportunités», insiste-t-il. Et c’est la raison d’être de ces 400 projets/opportunités. L’investissement cumulé nécessaire pour leur réalisation est d’un milliard de dollars, pour 2,5 milliards de ventes additionnelles (750 millions de dollars d’export) et 30.000 emplois, rappelle Sobh.
En plus des fiches-projets, le président de la commission Commerce extérieur a également rappelé les objectifs de la Charte d’investissement ainsi que l’offre de foncier existante à travers les zones dédiées (agropoles).
Rappelons que Siema Food se positionne comme un rendez-vous international qui réunit les professionnels de l’agroalimentaire autour des dernières tendances et technologies relatives à la production et à l’emballage.
Additifs alimentaires, champignons en conserve, valorisation des oignons, œufs en poudre, miel, fromages... font partie des exemples cités par le représentant de la Fenagri. Pour les fromages par exemple, explique ce dernier, «les importations sont encore très importantes». De ce fait, il existe une marge de manœuvre pour investir dans des unités de production locales.
C’est d’ailleurs pour cette raison que ces «spécialités» figurent parmi les 400 fiches-projets de la banque de projets «Import-Substitution» dans l’agroalimentaire disponible chez le ministère de l’Industrie et du commerce et mises à disposition de tout investisseur intéressé, marocain ou international.
Ces projets tournent autour de 6 filières prioritaires, rappelle Sobh : Pates & Couscous, Fruits & Légumes, Viandes, Produits laitiers, Biscuiterie-Confiserie-Chocolaterie et Huile d’olive.
Mais si la plupart des opportunités d’investissement (fiches-projets) portent sur des filières, segments ou spécialités traditionnellement très présentes dans le Royaume, d’autres concernent des produits relativement nouveaux au Maroc.
C’est le cas, par exemple, des aliments pour animaux de compagnie (Pet Food), spécialement ceux destinés aux chats. Et pour cause, la demande sur ces produits a significativement augmenté : les importations de ces produits ont totalisé 600 millions de DH, selon les derniers chiffres dont dispose le président de la commission Commerce extérieur de la Fenagri. Idem pour les fromages, explique Sobh, où les importations restent assez importantes.
Globalement, rappelle-t-il, la production agroalimentaire des 2.000 entreprises de l’agroalimentaire ne couvre que 70% des besoins nationaux en produits transformés, le restant (30%) étant alimenté par de l’importation. «C’est dans ces 30% qu’il y a des opportunités», insiste-t-il. Et c’est la raison d’être de ces 400 projets/opportunités. L’investissement cumulé nécessaire pour leur réalisation est d’un milliard de dollars, pour 2,5 milliards de ventes additionnelles (750 millions de dollars d’export) et 30.000 emplois, rappelle Sobh.
En plus des fiches-projets, le président de la commission Commerce extérieur a également rappelé les objectifs de la Charte d’investissement ainsi que l’offre de foncier existante à travers les zones dédiées (agropoles).
Rappelons que Siema Food se positionne comme un rendez-vous international qui réunit les professionnels de l’agroalimentaire autour des dernières tendances et technologies relatives à la production et à l’emballage.