"Trésors des Arts Traditionnels Marocains" est un programme conjoint avec l’UNESCO, visant la sauvegarde et la transmission des savoir-faire artisanaux menacés de disparition. Présidant le 2ème comité de pilotage de l'initiative, Fatima-Zahra Ammor a réaffirmé l’engagement du ministère à réussir ce nouveau volet et à atteindre à terme, l’objectif fixé de préservation et transmission de 32 métiers menacés.
>> Lire aussi : Métiers de l'artisanat: Lancement du programme de formation "Trésors des arts traditionnels marocains"
Compte tenu du succès rencontré lors de l’édition précédente, il a été décidé d’augmenter le nombre de métiers pour cette 2ème édition à 10 au lieu de 6 initialement prévus. Ainsi, le comité de pilotage a statué sur les métiers suivants : Le pisé, la vannerie du Sud, le caftan rbati, le Tataoui, le deg essouiri, le soufflet, le feutrage de laine, le pouf en cuir brodé, le cuir Ziouani, et la céramique de Meknès. Les prochaines étapes concerneront dans un premier temps, l’identification des 10 maîtres artisans et 100 apprentis pour ensuite passer à l’étape de formation.
Pour rappel, la première édition du programme a permis de sélectionner six maîtres artisans représentant des métiers emblématiques tels que la Blousa Oujdia, les Selles Brodées, la Lutherie, le Zellige de Tétouan, le Tissage des tentes et la Broderie de Salé. Grâce au programme mis en place, les six maîtres artisans ont pu partager leur expertise avec 57 apprentis, dont 72% de femmes.
Le comité a également examiné les recommandations pour accompagner ces jeunes apprentis, notamment en les organisant en coopératives, en les aidant à trouver des locaux équipés, en les formant pour accéder au financement et en les accompagnant pour participer à des foires et salons internationaux.
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Compte tenu du succès rencontré lors de l’édition précédente, il a été décidé d’augmenter le nombre de métiers pour cette 2ème édition à 10 au lieu de 6 initialement prévus. Ainsi, le comité de pilotage a statué sur les métiers suivants : Le pisé, la vannerie du Sud, le caftan rbati, le Tataoui, le deg essouiri, le soufflet, le feutrage de laine, le pouf en cuir brodé, le cuir Ziouani, et la céramique de Meknès. Les prochaines étapes concerneront dans un premier temps, l’identification des 10 maîtres artisans et 100 apprentis pour ensuite passer à l’étape de formation.
Pour rappel, la première édition du programme a permis de sélectionner six maîtres artisans représentant des métiers emblématiques tels que la Blousa Oujdia, les Selles Brodées, la Lutherie, le Zellige de Tétouan, le Tissage des tentes et la Broderie de Salé. Grâce au programme mis en place, les six maîtres artisans ont pu partager leur expertise avec 57 apprentis, dont 72% de femmes.
Le comité a également examiné les recommandations pour accompagner ces jeunes apprentis, notamment en les organisant en coopératives, en les aidant à trouver des locaux équipés, en les formant pour accéder au financement et en les accompagnant pour participer à des foires et salons internationaux.