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Un milliard de dirhams. C’est la somme que le groupe Attijariwafa bank envisage de lever à travers l’émission de 10.000 obligations subordonnées d’une valeur nominale de 100.000 dirhams chacune. Cette opération, qui a obtenu le feu vert de l’Autorité marocaine du marché des capitaux (AMMC) le 14 juin dernier, se divise en deux tranches non cotées à la Bourse de Casablanca : une tranche «A» d’une maturité de 7 ans, à taux fixe, avec une prime de risque de 50 points de base, et une tranche «B» d’une maturité de 7 ans, à taux révisable annuellement, avec une prime de risque de 45 points de base.
Le montant total alloué aux deux tranches ne doit en aucun cas excéder la somme de 1 milliard de dirhams. Si l’emprunt obligataire n’est pas totalement souscrit, le montant de l’émission sera limité au montant effectivement souscrit. La souscription à cette émission est réservée aux investisseurs qualifiés de droit marocain afin de faciliter la gestion des souscriptions sur le marché primaire. «Il reste entendu que tout investisseur désirant acquérir les obligations pourra s’en procurer sur le marché secondaire», est-il souligné dans la note de l’opération.
La période de souscription à cette émission débutera le 21 juin 2024 et se clôturera le 25 juin 2024 inclus. La date de jouissance est fixée au 28 juin 2024. À travers cette émission, Attijariwafa bank vise à renforcer ses fonds propres réglementaires actuels et, par conséquent, à améliorer son ratio de solvabilité. Le groupe a également pour objectif de financer le développement organique de la banque au Maroc et à l’international, tout en anticipant les différentes évolutions réglementaires dans les pays où il est présent.
Cette émission, décidée le 11 juin 2024 par le conseil d’administration de la banque, s’inscrit dans le cadre du programme autorisé par l’assemblée générale ordinaire du 29 juin 2020, permettant à Attijariwafa bank de lever jusqu’à 10 milliards de dirhams. À ce jour, plusieurs émissions ont déjà été réalisées dans ce cadre, avec un reliquat actuel de 3,55 milliards de dirhams après cette émission.
Pour rappel, l’obligation subordonnée se distingue de l’obligation classique en raison du rang de créances contractuellement défini par la clause de subordination. En cas de liquidation de l’émetteur, la clause de subordination conditionne le remboursement de l’obligation au désintéressement de toutes les autres dettes classiques, privilégiées ou chirographaires.
Le montant total alloué aux deux tranches ne doit en aucun cas excéder la somme de 1 milliard de dirhams. Si l’emprunt obligataire n’est pas totalement souscrit, le montant de l’émission sera limité au montant effectivement souscrit. La souscription à cette émission est réservée aux investisseurs qualifiés de droit marocain afin de faciliter la gestion des souscriptions sur le marché primaire. «Il reste entendu que tout investisseur désirant acquérir les obligations pourra s’en procurer sur le marché secondaire», est-il souligné dans la note de l’opération.
La période de souscription à cette émission débutera le 21 juin 2024 et se clôturera le 25 juin 2024 inclus. La date de jouissance est fixée au 28 juin 2024. À travers cette émission, Attijariwafa bank vise à renforcer ses fonds propres réglementaires actuels et, par conséquent, à améliorer son ratio de solvabilité. Le groupe a également pour objectif de financer le développement organique de la banque au Maroc et à l’international, tout en anticipant les différentes évolutions réglementaires dans les pays où il est présent.
Cette émission, décidée le 11 juin 2024 par le conseil d’administration de la banque, s’inscrit dans le cadre du programme autorisé par l’assemblée générale ordinaire du 29 juin 2020, permettant à Attijariwafa bank de lever jusqu’à 10 milliards de dirhams. À ce jour, plusieurs émissions ont déjà été réalisées dans ce cadre, avec un reliquat actuel de 3,55 milliards de dirhams après cette émission.
Pour rappel, l’obligation subordonnée se distingue de l’obligation classique en raison du rang de créances contractuellement défini par la clause de subordination. En cas de liquidation de l’émetteur, la clause de subordination conditionne le remboursement de l’obligation au désintéressement de toutes les autres dettes classiques, privilégiées ou chirographaires.
