C’est imminent ! Le Conseil d’administration de la Banque mondiale doit se réunir cette semaine pour valider le nouveau financement destiné à renforcer le capital humain et la résilience du Maroc.
Initialement fixé à 500 millions de dollars, ce financement pourrait être revu à la hausse pour atteindre 600 millions de dollars, à la suite de nouvelles négociations entre l’Institution financière et le gouvernement marocain. Comme nous l’annoncions en exclusivité en février dernier, il s’agit du dernier prêt d’une série de trois opérations soutenant le même programme de réformes. Ce dernier vise à améliorer la protection des populations vulnérables face aux risques sanitaires et climatiques, à élargir le système de protection sociale et à renforcer la résilience du pays face aux catastrophes naturelles.
Les deux premières opérations de cette série de financements, chacune dotée de 500 millions de dollars, avaient été approuvées par la Banque mondiale en juin 2022 et décembre 2023. Ces fonds ont permis de mettre en place plusieurs réformes essentielles pour faire face aux chocs successifs qu’a connus le Maroc ces dernières années, notamment la pandémie de la Covid-19, la sécheresse, l’inflation, les tensions géopolitiques internationales et le séisme d’Al Haouz. Cette troisième opération, dont le montant définitif devrait être confirmé lors de l’approbation imminente par la Banque mondiale, vise à consolider ces acquis sur la période 2025-2027.
Initialement fixé à 500 millions de dollars, ce financement pourrait être revu à la hausse pour atteindre 600 millions de dollars, à la suite de nouvelles négociations entre l’Institution financière et le gouvernement marocain. Comme nous l’annoncions en exclusivité en février dernier, il s’agit du dernier prêt d’une série de trois opérations soutenant le même programme de réformes. Ce dernier vise à améliorer la protection des populations vulnérables face aux risques sanitaires et climatiques, à élargir le système de protection sociale et à renforcer la résilience du pays face aux catastrophes naturelles.
Les deux premières opérations de cette série de financements, chacune dotée de 500 millions de dollars, avaient été approuvées par la Banque mondiale en juin 2022 et décembre 2023. Ces fonds ont permis de mettre en place plusieurs réformes essentielles pour faire face aux chocs successifs qu’a connus le Maroc ces dernières années, notamment la pandémie de la Covid-19, la sécheresse, l’inflation, les tensions géopolitiques internationales et le séisme d’Al Haouz. Cette troisième opération, dont le montant définitif devrait être confirmé lors de l’approbation imminente par la Banque mondiale, vise à consolider ces acquis sur la période 2025-2027.
Ce nouveau prêt soutiendra plusieurs mesures structurantes. L’un des principaux objectifs est l’élargissement de la couverture de l’AMO (Assurance Maladie obligatoire) à 90% de la population. Une attention particulière sera accordée aux populations les plus vulnérables, en visant notamment les travailleurs non salariés et les ménages les plus défavorisés, dont la couverture devrait atteindre 65% d’ici 2027. Pour garantir une amélioration effective de l’accès aux soins, le gouvernement prévoit d’augmenter le nombre de professionnels de santé et de moderniser le système de soins, en mettant l’accent sur les zones rurales.
En parallèle, la réforme vise à élargir la couverture du programme de transferts monétaires destinés aux familles avec enfants à 80% des bénéficiaires potentiels. Un autre volet clé concerne l’intégration de six millions de travailleurs à un régime de retraite, offrant ainsi une meilleure sécurité financière aussi bien aux actifs qu’aux retraités.
Enfin, pour renforcer la résilience du pays face aux catastrophes naturelles, le programme prévoit la mise en place d’un dispositif de gestion des risques plus efficace, notamment en améliorant les mécanismes de financement des risques liés aux catastrophes, comme les inondations. L’objectif est d’assurer une protection plus fiable et accessible à toutes les populations exposées.
Avec ce troisième financement, la Banque mondiale réaffirme son soutien aux réformes clés de la protection sociale et de la santé, en vue d’accélérer la couverture universelle de l’assurance maladie, de renforcer les aides sociales directes et d’élargir les régimes de retraite afin de réduire la pauvreté chez les personnes âgées.
En parallèle, la réforme vise à élargir la couverture du programme de transferts monétaires destinés aux familles avec enfants à 80% des bénéficiaires potentiels. Un autre volet clé concerne l’intégration de six millions de travailleurs à un régime de retraite, offrant ainsi une meilleure sécurité financière aussi bien aux actifs qu’aux retraités.
Enfin, pour renforcer la résilience du pays face aux catastrophes naturelles, le programme prévoit la mise en place d’un dispositif de gestion des risques plus efficace, notamment en améliorant les mécanismes de financement des risques liés aux catastrophes, comme les inondations. L’objectif est d’assurer une protection plus fiable et accessible à toutes les populations exposées.
Avec ce troisième financement, la Banque mondiale réaffirme son soutien aux réformes clés de la protection sociale et de la santé, en vue d’accélérer la couverture universelle de l’assurance maladie, de renforcer les aides sociales directes et d’élargir les régimes de retraite afin de réduire la pauvreté chez les personnes âgées.