Le Maroc a franchi une étape majeure dans la mise en œuvre de la nouvelle Charte de l’investissement, en validant ce jeudi l’un de ses dispositifs les plus attendus : le soutien ciblé aux très petites, petites et moyennes entreprises (TPME). Porté par l’article 20 de la loi-cadre 03-22, ce mécanisme vise à renforcer la compétitivité des TPME, acteur clé du tissu économique national, et à stimuler à la fois l’emploi, la justice territoriale et l’activité dans les filières stratégiques.
Considéré comme l’un des axes centraux de la nouvelle politique d’investissement, ce dispositif s’adresse à des milliers d’entreprises marocaines, dont le chiffre d’affaires est compris entre 1 million et 200 millions de dirhams. Il a été conçu pour répondre à trois priorités économiques et sociales à travers trois primes distinctes à l’investissement :
Ce soutien aux TPME s’inscrit dans un cadre plus large de relance, où ces entreprises occupent une place stratégique en matière de création de valeur, de dynamique territoriale et d’innovation. Le dispositif contribue aussi à la mise en œuvre de la feuille de route nationale pour l’emploi, en intégrant les TPME comme catalyseur du développement inclusif. Karim Zidane, ministre délégué chargé de l’Investissement, a souligné lors d’un point presse que ce mécanisme illustre la volonté du gouvernement d’ancrer la gouvernance régionale de l’investissement, en rapprochant les outils de soutien des réalités du terrain.
Avec ce dispositif, le Maroc engage une nouvelle génération de politiques publiques, plus ciblées, plus souples et à fort impact local. En dotant les TPME d’un cadre de soutien structuré, l’État affirme son ambition de bâtir une économie compétitive, inclusive et tournée vers l’avenir.
Considéré comme l’un des axes centraux de la nouvelle politique d’investissement, ce dispositif s’adresse à des milliers d’entreprises marocaines, dont le chiffre d’affaires est compris entre 1 million et 200 millions de dirhams. Il a été conçu pour répondre à trois priorités économiques et sociales à travers trois primes distinctes à l’investissement :
- Une prime pour la création d’emplois stables, destinée à renforcer l’embauche durable au sein des TPME ;
- Une prime territoriale, qui vise à réduire les disparités régionales et à promouvoir la justice territoriale en appuyant le développement local dans les provinces et préfectures ;
- Une prime pour les activités prioritaires, en lien avec les secteurs à fort potentiel structurant pour la relance économique.
Ce soutien aux TPME s’inscrit dans un cadre plus large de relance, où ces entreprises occupent une place stratégique en matière de création de valeur, de dynamique territoriale et d’innovation. Le dispositif contribue aussi à la mise en œuvre de la feuille de route nationale pour l’emploi, en intégrant les TPME comme catalyseur du développement inclusif. Karim Zidane, ministre délégué chargé de l’Investissement, a souligné lors d’un point presse que ce mécanisme illustre la volonté du gouvernement d’ancrer la gouvernance régionale de l’investissement, en rapprochant les outils de soutien des réalités du terrain.
Avec ce dispositif, le Maroc engage une nouvelle génération de politiques publiques, plus ciblées, plus souples et à fort impact local. En dotant les TPME d’un cadre de soutien structuré, l’État affirme son ambition de bâtir une économie compétitive, inclusive et tournée vers l’avenir.
