L’Autorité nationale de régulation de l’électricité (ANRE) ouvrira bientôt le chantier d’actualisation du Code du réseau électrique national de transport (CRENT). L’institution doit procéder ce 4 novembre à la sélection d’une expertise technique afin de l’accompagner dans cette opération. Celle-ci consistera à mener une analyse critique et approfondie du CRENT actuel, y compris les aspects techniques et opérationnels, en vue de s’assurer qu’il réponde aux normes de sécurité, de fiabilité et d’efficacité du réseau électrique de transport.
L’ANRE cherche ainsi à moderniser les prescriptions techniques en mettant à jour les exigences pour le raccordement des unités de production et en adaptant les prescriptions techniques pour inclure les unités de production basées sur des technologies modernes et renouvelables. Il s’agit également d’harmoniser les standards pour les unités de production conventionnelles et non conventionnelles et procéder à une évaluation des nouvelles technologies en vue d’intégrer les systèmes de stockage sur batteries (BESS) et les systèmes de régulation réactive flexible (FACTS) dans les prescriptions techniques. «Le développement du parc de production et du réseau électrique de transport au Maroc ainsi que les évolutions technologiques récentes de la production non conventionnelle exigent l’actualisation de l’ensemble des éléments techniques du CRENT, en particulier pour les Codes d’équilibrage, de services système et de défense», explique l’Autorité.
De même, il sera question de définir des critères de performance pour ces nouvelles technologies afin de garantir leur contribution optimale à la stabilité du réseau. Le chantier d’actualisation vise, également, une amélioration de l’efficacité et de la fiabilité du réseau de transport électrique à travers la mise à jour des normes du CRENT actuel et l’analyse de l’efficacité du code d’équilibrage, de services système et de défense. L’expertise technique à mandater devra, par ailleurs, proposer de nouvelles prescriptions adaptées à l’état actuel et futur proche sur base de simulations avec des logiciels reconnus internationalement et approuvés préalablement par l’ANRE.
De même, l’expertise technique retenue orientera l’ANRE dans l’intégration des meilleures pratiques internationales en procédant à un benchmarking international afin de comparer les meilleures pratiques normatives sur les spécifications d’exigences adaptées aux technologies présentes ou planifiées au Maroc (éolien terrestre et marin, solaire photovoltaïque et CSP, BESS et Station d’épuration des eaux usées hydroélectrique, etc.). La consultation devra en outre comparer les différentes structures normatives pour des pays ou régions à la pointe de la transition énergétique, notamment les avantages et inconvénients du système à niveau d’exigence minimal, négociable et automatique utilisé en Australie.
S’agissant de la flexibilité et la clarté administrative, l’expertise technique est appelée, dans le cadre de sa mission, à développer des procédures administratives claires pour l’intégration des nouvelles technologies et assurer une flexibilité dans les normes et les standards pour s’adapter aux évolutions technologiques futures en adoptant autant que possible une approche technologiquement neutre qui permette de réduire la dépendance des exigences aux évolutions technologiques futures.
L’ANRE cherche ainsi à moderniser les prescriptions techniques en mettant à jour les exigences pour le raccordement des unités de production et en adaptant les prescriptions techniques pour inclure les unités de production basées sur des technologies modernes et renouvelables. Il s’agit également d’harmoniser les standards pour les unités de production conventionnelles et non conventionnelles et procéder à une évaluation des nouvelles technologies en vue d’intégrer les systèmes de stockage sur batteries (BESS) et les systèmes de régulation réactive flexible (FACTS) dans les prescriptions techniques. «Le développement du parc de production et du réseau électrique de transport au Maroc ainsi que les évolutions technologiques récentes de la production non conventionnelle exigent l’actualisation de l’ensemble des éléments techniques du CRENT, en particulier pour les Codes d’équilibrage, de services système et de défense», explique l’Autorité.
De même, il sera question de définir des critères de performance pour ces nouvelles technologies afin de garantir leur contribution optimale à la stabilité du réseau. Le chantier d’actualisation vise, également, une amélioration de l’efficacité et de la fiabilité du réseau de transport électrique à travers la mise à jour des normes du CRENT actuel et l’analyse de l’efficacité du code d’équilibrage, de services système et de défense. L’expertise technique à mandater devra, par ailleurs, proposer de nouvelles prescriptions adaptées à l’état actuel et futur proche sur base de simulations avec des logiciels reconnus internationalement et approuvés préalablement par l’ANRE.
De même, l’expertise technique retenue orientera l’ANRE dans l’intégration des meilleures pratiques internationales en procédant à un benchmarking international afin de comparer les meilleures pratiques normatives sur les spécifications d’exigences adaptées aux technologies présentes ou planifiées au Maroc (éolien terrestre et marin, solaire photovoltaïque et CSP, BESS et Station d’épuration des eaux usées hydroélectrique, etc.). La consultation devra en outre comparer les différentes structures normatives pour des pays ou régions à la pointe de la transition énergétique, notamment les avantages et inconvénients du système à niveau d’exigence minimal, négociable et automatique utilisé en Australie.
S’agissant de la flexibilité et la clarté administrative, l’expertise technique est appelée, dans le cadre de sa mission, à développer des procédures administratives claires pour l’intégration des nouvelles technologies et assurer une flexibilité dans les normes et les standards pour s’adapter aux évolutions technologiques futures en adoptant autant que possible une approche technologiquement neutre qui permette de réduire la dépendance des exigences aux évolutions technologiques futures.