La Banque mondiale a approuvé, au titre de l’année fiscale 2024 qui s'est terminée en juin dernier, un financement de 1,76 milliard de dollars en faveur du Maroc.
Ce montant est légèrement inférieur aux financements annuels records successifs accordés en 2021 (1,80 milliard), 2022 (1,83 milliard) et 2023 (1,85 milliard). Ainsi, durant les cinq dernières années fiscales, qui coïncident avec le Cadre de partenariat Banque mondiale-Maroc 2019-2024, l’Institution de Bretton Woods a approuvé 8,35 milliards de dollars (dont 1,11 milliard en 2020).
Au titre de l’année fiscale 2024 (juillet 2023-juin 2024), les financements ont concerné plusieurs programmes pour le Royaume en appui essentiellement aux secteurs de l’eau, de l’enseignement supérieur, du capital humain et des services publics.
Dans le détail, le 24 juin 2024, la Banque mondiale a approuvé 350 millions de dollars pour appuyer la mise en œuvre de la réforme des établissements et entreprises publics (EEP) au Maroc. Ce programme vise à améliorer la gouvernance, la restructuration, la neutralité concurrentielle et le suivi des performances des EEP. De même, le 24 juin 2024, l’Institution a accordé un financement additionnel de 250 millions de dollars pour le programme «Performance du secteur public marocain» (Ennajaa). Ce projet continuera à soutenir les efforts du gouvernement pour améliorer la performance et la transparence, en se concentrant sur la modernisation de l’administration publique, notamment à travers la numérisation et les réformes de la gestion des finances publiques.
Par ailleurs, la Banque mondiale a mobilisé un financement de 500 millions de dollars pour le renforcement du capital humain, appuyant les réformes ambitieuses de la protection sociale et de la santé.
Ce montant est légèrement inférieur aux financements annuels records successifs accordés en 2021 (1,80 milliard), 2022 (1,83 milliard) et 2023 (1,85 milliard). Ainsi, durant les cinq dernières années fiscales, qui coïncident avec le Cadre de partenariat Banque mondiale-Maroc 2019-2024, l’Institution de Bretton Woods a approuvé 8,35 milliards de dollars (dont 1,11 milliard en 2020).
Au titre de l’année fiscale 2024 (juillet 2023-juin 2024), les financements ont concerné plusieurs programmes pour le Royaume en appui essentiellement aux secteurs de l’eau, de l’enseignement supérieur, du capital humain et des services publics.
Dans le détail, le 24 juin 2024, la Banque mondiale a approuvé 350 millions de dollars pour appuyer la mise en œuvre de la réforme des établissements et entreprises publics (EEP) au Maroc. Ce programme vise à améliorer la gouvernance, la restructuration, la neutralité concurrentielle et le suivi des performances des EEP. De même, le 24 juin 2024, l’Institution a accordé un financement additionnel de 250 millions de dollars pour le programme «Performance du secteur public marocain» (Ennajaa). Ce projet continuera à soutenir les efforts du gouvernement pour améliorer la performance et la transparence, en se concentrant sur la modernisation de l’administration publique, notamment à travers la numérisation et les réformes de la gestion des finances publiques.
Par ailleurs, la Banque mondiale a mobilisé un financement de 500 millions de dollars pour le renforcement du capital humain, appuyant les réformes ambitieuses de la protection sociale et de la santé.
Approuvé le 19 décembre 2023, ce prêt est destiné à améliorer la protection des populations les plus vulnérables contre les risques sanitaires et climatiques, étendre le système de protection sociale et renforcer la résilience face aux événements catastrophiques. Il soutient, dans ce cadre, la mise en œuvre du programme d’aides sociales directes.
En outre, un prêt a été validé le 14 décembre pour 300 millions de dollars destiné à appuyer le gouvernement dans la mise en œuvre de Plan national d’accélération de la transformation de l’écosystème de l’enseignement supérieur, de la recherche scientifique et de l’innovation. Le programme permettra de faire avancer une série d’approches innovantes et transformatrices en vue d’accroître l’impact de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique, au profit des Marocains, dans le contexte du nouveau modèle de développement.
Enfin, dans le cadre de l’année fiscale 2024, la Banque mondiale a également approuvé le 18 juillet 2023, un prêt de 350 millions de dollars afin de soutenir le gouvernement dans la mise en œuvre de son Programme national d’approvisionnement en eau potable et d’irrigation (PNAEPI, 2020-2027), dans le contexte du Plan national de l’eau conçu sur 30 ans (PNE, 2020-2050). En plus du soutien apporté au PNE, le programme contribuera à renforcer la gouvernance du secteur de l’eau et à améliorer la viabilité financière et l’efficacité de son utilisation. De plus, il vise à améliorer un environnement favorable au dessalement et à la réutilisation des eaux traitées, deux solutions quasiment incontournables pour augmenter les ressources en eau du Royaume.
En outre, un prêt a été validé le 14 décembre pour 300 millions de dollars destiné à appuyer le gouvernement dans la mise en œuvre de Plan national d’accélération de la transformation de l’écosystème de l’enseignement supérieur, de la recherche scientifique et de l’innovation. Le programme permettra de faire avancer une série d’approches innovantes et transformatrices en vue d’accroître l’impact de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique, au profit des Marocains, dans le contexte du nouveau modèle de développement.
Enfin, dans le cadre de l’année fiscale 2024, la Banque mondiale a également approuvé le 18 juillet 2023, un prêt de 350 millions de dollars afin de soutenir le gouvernement dans la mise en œuvre de son Programme national d’approvisionnement en eau potable et d’irrigation (PNAEPI, 2020-2027), dans le contexte du Plan national de l’eau conçu sur 30 ans (PNE, 2020-2050). En plus du soutien apporté au PNE, le programme contribuera à renforcer la gouvernance du secteur de l’eau et à améliorer la viabilité financière et l’efficacité de son utilisation. De plus, il vise à améliorer un environnement favorable au dessalement et à la réutilisation des eaux traitées, deux solutions quasiment incontournables pour augmenter les ressources en eau du Royaume.