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Butec veut faire du Maroc son centre d’activités africain. Le spécialiste international des domaines de l’eau et de l’électricité, dont Aramco et Qatar Energy font partie de ses clients, compte ainsi capitaliser sur l’expertise des sociétés qu’il a acquis ces dernières années. Il s’agit en l’occurrence des Eaux de Marseille Maroc (EMM), rachetée en janvier dernier et qui devrait faire bénéficier le groupe de son savoir-faire en détection de fuites d'eau et en optimisation du rendement, complétant ainsi la division des services publics de Butec, l'un des quatre piliers du groupe.
Selon des données révélées par le top management du groupe à la presse internationale, cette acquisition avait pour objectif de renforcer la division des services publics, à continuer de croître sur le marché marocain, à étendre ses activités en Afrique en utilisant les structures existantes en Côte d'Ivoire et en Afrique du Sud, et finalement à exporter cette expertise du Maroc vers le Moyen-Orient. De même, le groupe prévoit de développer les activités d'efficacité énergétique des filiales africaines de services énergétiques d'Engie, acquises en 2022, en capitalisant sur son expertise dans la réduction des pertes sur les réseaux électriques. Depuis cette acquisition, il y a deux ans, le groupe poursuit ses investissements dans les ressources humaines, l'équipement et la technologie pour renforcer ses différentes divisions, et devrait atteindre 20 millions d'euros de dépenses dans ces rubriques au cours des 5 prochaines années. Programmée pour 2025, le prochain palier de croissance du groupe portera sur le financement des clients pour les infrastructures ou les projets, suivant le modèle du financement de projets de production indépendante d'électricité (IPP), notamment dans les énergies renouvelables, la climatisation et l'éclairage routier. Encore une fois, le Maroc servira de plateforme de lancement, puisqu’il servira de zone pilote pour le lancement de ce modèle de financement avant d’être étendu selon les besoins de chaque marché.
Pour réaliser toutes ces ambitions, Butec compte s'appuyer sur son équipe africaine, répartie entre le Maroc, la Côte d'Ivoire et l'Afrique du Sud.
Alors qu’à ses débuts, Butec opérait principalement dans l'ingénierie, les achats et la construction au Moyen-Orient, le groupe s’est ensuite diversifié -il y a deux décennies- en commençant à fournir des services publics pour l'électricité, la distribution et le traitement de l'eau. Plus récemment, le groupe offre aussi des solutions électromécaniques et des services de maintenance et d'efficacité énergétique. Et avec ses récentes acquisitions, le groupe, historiquement présent au Moyen-Orient, a marqué son entrée en Afrique qui représente désormais 40% de son chiffre d'affaires, avec 18 entreprises et 3.000 des 7.000 salariés du groupe.
Selon des données révélées par le top management du groupe à la presse internationale, cette acquisition avait pour objectif de renforcer la division des services publics, à continuer de croître sur le marché marocain, à étendre ses activités en Afrique en utilisant les structures existantes en Côte d'Ivoire et en Afrique du Sud, et finalement à exporter cette expertise du Maroc vers le Moyen-Orient. De même, le groupe prévoit de développer les activités d'efficacité énergétique des filiales africaines de services énergétiques d'Engie, acquises en 2022, en capitalisant sur son expertise dans la réduction des pertes sur les réseaux électriques. Depuis cette acquisition, il y a deux ans, le groupe poursuit ses investissements dans les ressources humaines, l'équipement et la technologie pour renforcer ses différentes divisions, et devrait atteindre 20 millions d'euros de dépenses dans ces rubriques au cours des 5 prochaines années. Programmée pour 2025, le prochain palier de croissance du groupe portera sur le financement des clients pour les infrastructures ou les projets, suivant le modèle du financement de projets de production indépendante d'électricité (IPP), notamment dans les énergies renouvelables, la climatisation et l'éclairage routier. Encore une fois, le Maroc servira de plateforme de lancement, puisqu’il servira de zone pilote pour le lancement de ce modèle de financement avant d’être étendu selon les besoins de chaque marché.
Pour réaliser toutes ces ambitions, Butec compte s'appuyer sur son équipe africaine, répartie entre le Maroc, la Côte d'Ivoire et l'Afrique du Sud.
Alors qu’à ses débuts, Butec opérait principalement dans l'ingénierie, les achats et la construction au Moyen-Orient, le groupe s’est ensuite diversifié -il y a deux décennies- en commençant à fournir des services publics pour l'électricité, la distribution et le traitement de l'eau. Plus récemment, le groupe offre aussi des solutions électromécaniques et des services de maintenance et d'efficacité énergétique. Et avec ses récentes acquisitions, le groupe, historiquement présent au Moyen-Orient, a marqué son entrée en Afrique qui représente désormais 40% de son chiffre d'affaires, avec 18 entreprises et 3.000 des 7.000 salariés du groupe.
