Dakhla-Oued Eddahab est promise à une véritable révolution économique et sociale. La région jouera ainsi le rôle de locomotive dans la transition verte du Royaume puisqu’elle sera le réceptacle de quelque 248 projets d’investissement, essentiellement dans le secteur de l’énergie, sur une assiette foncière astronomique de 8.000 km². Ensemble, ces projets engloutiront un investissement global de 231 milliards de dirhams et devront générer à terme la création de 17.082 emplois.
La région devra ainsi permettre l’émergence d’une industrie nationale, basée sur l’hydrogène vert, en garantissant d’abord le remplacement des importations d’ammoniac par une production locale de cette matière première stratégique indispensable dans l’industrie des engrais. La région entend s’assurer, du coup, un positionnement de premier plan dans les exportations de produits issus de l’hydrogène vert vers les pays engagés dans les objectifs de décarbonation de leurs économies.
Concrètement, Dakhla-Oued Eddahab abritera une unité de production d’hydrogène vert et d’ammoniac, sur un foncier de 553.435 ha. Ce projet, porté par la société Dahamco SA, mobilisera un investissement de 254 millions de dirhams. Ce qui devrait permettre la création à terme de 3.100 emplois. Un autre projet devra également voir le jour dans la région. Il porte également sur la production d’hydrogène vert sur une superficie globale de 150.446 ha.
La plateforme est envisagée par la société Falcon pour un investissement de 100 milliards de dirhams. Sa mise en œuvre devra générer à terme 350 postes d’emploi. Et ce n’est pas tout. La région verra l’installation d’une centrale d’énergie renouvelable (EnR) pour la production de l’hydrogène vert et produits dérivés. Un projet porté par Taqa Morocco pour un investissement de 96 milliards de dirhams. Il couvrira une superficie de 70.000 ha et devra créer 56 emplois. Taqa Morocco planche également sur la mise en place dans la région d’un parc éolien de 300 mégawatts (MW) sur un foncier domanial de 7.940 ha. Ce parc devra drainer un investissement de 4,5 milliards de dirhams.
Power Sur SARL est également de la partie. La société est sur un projet de développement d’une unité de production d’hydrogène vert sur un foncier domanial de 15.000 ha, pour un investissement de 19,55 milliards de dirhams. Ce qui permettra la création à terme de 650 emplois.
La région devra ainsi permettre l’émergence d’une industrie nationale, basée sur l’hydrogène vert, en garantissant d’abord le remplacement des importations d’ammoniac par une production locale de cette matière première stratégique indispensable dans l’industrie des engrais. La région entend s’assurer, du coup, un positionnement de premier plan dans les exportations de produits issus de l’hydrogène vert vers les pays engagés dans les objectifs de décarbonation de leurs économies.
Concrètement, Dakhla-Oued Eddahab abritera une unité de production d’hydrogène vert et d’ammoniac, sur un foncier de 553.435 ha. Ce projet, porté par la société Dahamco SA, mobilisera un investissement de 254 millions de dirhams. Ce qui devrait permettre la création à terme de 3.100 emplois. Un autre projet devra également voir le jour dans la région. Il porte également sur la production d’hydrogène vert sur une superficie globale de 150.446 ha.
La plateforme est envisagée par la société Falcon pour un investissement de 100 milliards de dirhams. Sa mise en œuvre devra générer à terme 350 postes d’emploi. Et ce n’est pas tout. La région verra l’installation d’une centrale d’énergie renouvelable (EnR) pour la production de l’hydrogène vert et produits dérivés. Un projet porté par Taqa Morocco pour un investissement de 96 milliards de dirhams. Il couvrira une superficie de 70.000 ha et devra créer 56 emplois. Taqa Morocco planche également sur la mise en place dans la région d’un parc éolien de 300 mégawatts (MW) sur un foncier domanial de 7.940 ha. Ce parc devra drainer un investissement de 4,5 milliards de dirhams.
Power Sur SARL est également de la partie. La société est sur un projet de développement d’une unité de production d’hydrogène vert sur un foncier domanial de 15.000 ha, pour un investissement de 19,55 milliards de dirhams. Ce qui permettra la création à terme de 650 emplois.
8 parcs éoliens dans le pipe à Laâyoune Sakia El Hamra
Laâyoune-Sakia El Hamra est également dans la même course. La région a bénéficié en 2022 de la mobilisation de 371.675 ha, en vue de réaliser 104 projets pour un investissement global de 228 milliards de dirhams. Ces opérations permettront la création à terme de 13.667 emplois. L’énergie s’adjuge la part du lion dans le foncier mobilisé (99,5%). Ainsi, la société ORNX entend installer un parc éolien et une unité de production de l’hydrogène vert à Boujdour sur une superficie de 145.333 ha pour un investissement de 73,5 milliards de DH. Le groupe OCP, quant à lui, projette la mise en place d’une plateforme d’hydrogène vert dans la région sur une superficie de 100.350 ha. Un projet qui devra mobiliser 70 milliards de dirhams et générer 2.500 emplois. Dans les énergies renouvelables, Acwa Power entend s’offrir deux parcs éoliens dans la région, de 100 MW chacun sur une assiette foncière totale de 10.341 ha. Ce qui représente un investissement de 2,8 milliards de dirhams. À cela, s’ajoutent 4 autres projets de parcs éoliens. Le premier est porté par l’entreprise Tarouma Wind et sera développé sur une superficie de 4.471 ha pour un investissement de 2,5 milliards de dirhams. Le deuxième, d’une capacité de 100 MW, sera installé par la société Boujdour Wind Farm sur 3.869 ha et engloutira un investissement de 1,4 milliard de dirhams. Enfin, la filiale de Nareva, EEM, projette la construction de deux parcs éoliens. Le premier couvrira une superficie de près de 3.000 ha et nécessitera 740 millions de dirhams d’investissement alors que le deuxième sera installé sur 2.844 ha et mobilisera 1,5 milliard de dirhams d’investissement.